Coup de coeur

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  • Nombre de pages234
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.312 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-02-105743-0
  • EAN9782021057430
  • Date de parution23/08/2012
  • ÉditeurSeuil
  • TraducteurNathalie Bauer

Résumé

70 % acrylique 30 % laine, c’est l'histoire de Camelia, 20 ans, et de sa mère, dans la froide ville de Leeds en Angleterre. Là, le temps s'est arrêté depuis que leur père et mari a été retrouvé mort, suite à un accident de voiture, en compagnie de sa maîtresse. Enfermées dans un mutisme absolu, les deux femmes ne communiquent qu’avec un alphabet composé de regards ; Camelia traduit des modes d’emploi de lave-linge et sa mère photographie des trous en tout genre.
Camelia cultive en outre un délire de violence, psychologique envers elle-même et physique envers les objets. Elle renie son corps, ses attentes de jeune fille, s’acharnant contre elle-même et ses vêtements. Un jour elle rencontre Wen, un jeune Chinois vendeur de vêtements, qui va lui apprendre sa langue. Les idéogrammes qu’elle dessine parviendront alors miraculeusement à insuffler un peu de beauté et de mystère dans sa vie, donnant un sens nouveau aux choses et lui permettant de retrouver l’usage des mots.
Viola Di Grado décrit subtilement l'enfermement physique et psychologique de son personnage, l'évolution de sa névrose et de ses peurs. Elle interroge le texte, le sens, en comparant ses mots à la langue chinoise, dont la construction différente fait varier et enrichit la compréhension.
70 % acrylique 30 % laine, c’est l'histoire de Camelia, 20 ans, et de sa mère, dans la froide ville de Leeds en Angleterre. Là, le temps s'est arrêté depuis que leur père et mari a été retrouvé mort, suite à un accident de voiture, en compagnie de sa maîtresse. Enfermées dans un mutisme absolu, les deux femmes ne communiquent qu’avec un alphabet composé de regards ; Camelia traduit des modes d’emploi de lave-linge et sa mère photographie des trous en tout genre.
Camelia cultive en outre un délire de violence, psychologique envers elle-même et physique envers les objets. Elle renie son corps, ses attentes de jeune fille, s’acharnant contre elle-même et ses vêtements. Un jour elle rencontre Wen, un jeune Chinois vendeur de vêtements, qui va lui apprendre sa langue. Les idéogrammes qu’elle dessine parviendront alors miraculeusement à insuffler un peu de beauté et de mystère dans sa vie, donnant un sens nouveau aux choses et lui permettant de retrouver l’usage des mots.
Viola Di Grado décrit subtilement l'enfermement physique et psychologique de son personnage, l'évolution de sa névrose et de ses peurs. Elle interroge le texte, le sens, en comparant ses mots à la langue chinoise, dont la construction différente fait varier et enrichit la compréhension.

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1 Coup de cœur
de nos libraires
Un brin de folie
Camélia vit seule avec sa mère dans une petite ville d'Angleterre moche, froide, triste, Leeds. Le décor est posé; cette jeune femme a stoppé ses études de chinois après le décès de son père dans un accident de voiture avec sa maîtresse. Depuis lors, Sa mère a cessé de parlé et les deux femmes communiquent uniquement par jeux de regards. L'obsession maternelle consiste à prendre tous les trous qu'elle croise en photo, au grand dam de Camélia. Enfermée dans cette étrange routine, sa vie va changé autour d'une poubelle pleine de vêtements cousus de manière excentriques. Ceux-ci vont l'amener à rencontrer Wen, un jeune chinois, commerçant d'une boutique de vêtements, où Camélia va retrouver goût à la vie et le plaisir d'apprendre le chinois. Un premier roman original à l'humour décalé et parfois noir, dans un style fluide et léger.
Camélia vit seule avec sa mère dans une petite ville d'Angleterre moche, froide, triste, Leeds. Le décor est posé; cette jeune femme a stoppé ses études de chinois après le décès de son père dans un accident de voiture avec sa maîtresse. Depuis lors, Sa mère a cessé de parlé et les deux femmes communiquent uniquement par jeux de regards. L'obsession maternelle consiste à prendre tous les trous qu'elle croise en photo, au grand dam de Camélia. Enfermée dans cette étrange routine, sa vie va changé autour d'une poubelle pleine de vêtements cousus de manière excentriques. Ceux-ci vont l'amener à rencontrer Wen, un jeune chinois, commerçant d'une boutique de vêtements, où Camélia va retrouver goût à la vie et le plaisir d'apprendre le chinois. Un premier roman original à l'humour décalé et parfois noir, dans un style fluide et léger.
  • Inattendu
  • Enivrant
  • Surprenant

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 4 notes dont 1 avis lecteur
Un deuil non assumé
Les premières pages m'ont bien plu. Un humour sympa. Une histoire de vêtements qui m'a accroché au moins au début. Les idéogrammes chinois qui colonisent une vie. Des regards grandiloquents de paroles. La vie qui renait après un long hiver de 3 ans. Et puis, et puis, et puis la magie s'est estompée au fil des pages. J'ai peiné à finir.
Les premières pages m'ont bien plu. Un humour sympa. Une histoire de vêtements qui m'a accroché au moins au début. Les idéogrammes chinois qui colonisent une vie. Des regards grandiloquents de paroles. La vie qui renait après un long hiver de 3 ans. Et puis, et puis, et puis la magie s'est estompée au fil des pages. J'ai peiné à finir.
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