5150, Rue des Ormes

Par : Patrick Senécal
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  • Nombre de pages349
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.347 kg
  • Dimensions13,0 cm × 18,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-8122-0357-2
  • EAN9782812203572
  • Date de parution10/05/2022
  • ÉditeurRamsay

Résumé

Yannick Bérubé, vingt-trois ans, est séquestré au 5150, rue des Ormes, dans la ville de Montcharles, et c'est pourquoi il a décidé d'écrire son histoire. Or, si son récit débute par une banale chute à bicyclette, la suite bascule rapidement dans l'horreur, car la famille qui le retient prisonnier est loin d'être normale : Jacques Beaulieu, le père, est un psychopathe qui ne jure que par le jeu d'échecs et qui se prend pour le dernier des Justes et Maude, l'épouse et la mère, est obsédée par le Seigneur et elle obéit aveuglément à son mari.
Quant à la petite Anne, elle est muette et ses grands yeux immobiles ressemblent à des puits de néant. Mais c'est Michelle Beaulieu, l'adolescente, qui semble encore plus dangereuse que son père. Pour Yannick Bérubé, l'enjeu est simple : il doit s'évader à tout prix de cette maison de fous, sinon il va y laisser sa peau... ou sa raison !
Yannick Bérubé, vingt-trois ans, est séquestré au 5150, rue des Ormes, dans la ville de Montcharles, et c'est pourquoi il a décidé d'écrire son histoire. Or, si son récit débute par une banale chute à bicyclette, la suite bascule rapidement dans l'horreur, car la famille qui le retient prisonnier est loin d'être normale : Jacques Beaulieu, le père, est un psychopathe qui ne jure que par le jeu d'échecs et qui se prend pour le dernier des Justes et Maude, l'épouse et la mère, est obsédée par le Seigneur et elle obéit aveuglément à son mari.
Quant à la petite Anne, elle est muette et ses grands yeux immobiles ressemblent à des puits de néant. Mais c'est Michelle Beaulieu, l'adolescente, qui semble encore plus dangereuse que son père. Pour Yannick Bérubé, l'enjeu est simple : il doit s'évader à tout prix de cette maison de fous, sinon il va y laisser sa peau... ou sa raison !

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Une belle découverte
Un coup de génie pour un premier roman. Il s'agit d'un huis clos horrifique dans lequel la folie est au centre de l'histoire. De situations invraisemblables certes, mais desservant le récit à merveille. Les personnages sont magistralement bien fouillés. Un protagoniste confus, des antagonistes dérangeants avec des morales humaines douteuses. M'en vais lire "Aliss", sa suite indirecte, parait-il.
Un coup de génie pour un premier roman. Il s'agit d'un huis clos horrifique dans lequel la folie est au centre de l'histoire. De situations invraisemblables certes, mais desservant le récit à merveille. Les personnages sont magistralement bien fouillés. Un protagoniste confus, des antagonistes dérangeants avec des morales humaines douteuses. M'en vais lire "Aliss", sa suite indirecte, parait-il.
A découvrir de toute urgence !
Après avoir été quelque peu ébranlée, mais complètement fascinée par la lecture de « Hell.com », je poursuis ma découverte de l’univers de Patrick Senécal avec un deuxième titre : 5150, rue des Ormes. En cette belle journée d’été, c’est une aubaine de pouvoir visiter la ville de Montcharles à vélo, où Yannick Bérubé, étudiant en littérature, vient de s’installer. Une ballade qui va tourner court. En voulant éviter un chat -noir, bien évidemment- il donne un furieux coup de guidon et finit en vol plané. Rien de bien méchant, à peine quelques éraflures, mais son vélo a eu beaucoup moins de chance que lui. Il sollicite l’aide d’un riverain, Jacques Beaulieu, afin d’appeler un taxi. Mais dans la maison, Yannick voit quelque chose qu’il n’aurait pas dû voir. Il se retrouve alors séquestré, chez une famille pour le moins étrange. Jacques Beaulieu, le père, féru d’échecs, est un psychopathe qui se prend pour un justicier ; Maud, la mère, totalement soumise est obnubilée par la religion ; Michelle, l’adolescente, est une véritable prédatrice et la petite dernière, Anne, ressemble à un zombie avec des yeux qui ne reflètent rien qu’un gouffre noir et total. Pour Yannick Bérubé, une seule obsession le hante, s’enfuir coûte que coûte ! Mais Jacques Beaulieu lui fait une promesse, celle de le libérer s’il gagne une partie d’échecs contre lui, qui n’en a jamais perdu une seule … Ce qui commence par un banal accident devient rapidement une situation surréaliste, absurde et démente. Pour passer le temps, Yannick Bérubé, nous raconte son histoire, à travers un journal. L’écriture étant la seule chose qu’il peut encore contrôler, il couche sur le papier ses émotions, ses peurs, ses interrogations et ses espoirs. « A défaut de pouvoir semer la destruction autour de moi, je crache ma rage et mon mépris sur ce papier que je déchire avec mon crayon haineux, sur cette feuille misérable qui me sert de catharsis ! » 5150, rue des Ormes est un huis clos infernal où Patrick Senécal fait la part belle à la psychologie des personnages. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est du grand art ! Principalement avec le père. Après avoir eu une révélation, il se prend pour un justicier des temps modernes. Un homme, soi disant guidé par la justice, et dont chacun de ses gestes est justifié par cette « belle » valeur. Un roman cauchemardesque et macabre, mené de main de maître par un auteur remarquable.
Après avoir été quelque peu ébranlée, mais complètement fascinée par la lecture de « Hell.com », je poursuis ma découverte de l’univers de Patrick Senécal avec un deuxième titre : 5150, rue des Ormes. En cette belle journée d’été, c’est une aubaine de pouvoir visiter la ville de Montcharles à vélo, où Yannick Bérubé, étudiant en littérature, vient de s’installer. Une ballade qui va tourner court. En voulant éviter un chat -noir, bien évidemment- il donne un furieux coup de guidon et finit en vol plané. Rien de bien méchant, à peine quelques éraflures, mais son vélo a eu beaucoup moins de chance que lui. Il sollicite l’aide d’un riverain, Jacques Beaulieu, afin d’appeler un taxi. Mais dans la maison, Yannick voit quelque chose qu’il n’aurait pas dû voir. Il se retrouve alors séquestré, chez une famille pour le moins étrange. Jacques Beaulieu, le père, féru d’échecs, est un psychopathe qui se prend pour un justicier ; Maud, la mère, totalement soumise est obnubilée par la religion ; Michelle, l’adolescente, est une véritable prédatrice et la petite dernière, Anne, ressemble à un zombie avec des yeux qui ne reflètent rien qu’un gouffre noir et total. Pour Yannick Bérubé, une seule obsession le hante, s’enfuir coûte que coûte ! Mais Jacques Beaulieu lui fait une promesse, celle de le libérer s’il gagne une partie d’échecs contre lui, qui n’en a jamais perdu une seule … Ce qui commence par un banal accident devient rapidement une situation surréaliste, absurde et démente. Pour passer le temps, Yannick Bérubé, nous raconte son histoire, à travers un journal. L’écriture étant la seule chose qu’il peut encore contrôler, il couche sur le papier ses émotions, ses peurs, ses interrogations et ses espoirs. « A défaut de pouvoir semer la destruction autour de moi, je crache ma rage et mon mépris sur ce papier que je déchire avec mon crayon haineux, sur cette feuille misérable qui me sert de catharsis ! » 5150, rue des Ormes est un huis clos infernal où Patrick Senécal fait la part belle à la psychologie des personnages. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est du grand art ! Principalement avec le père. Après avoir eu une révélation, il se prend pour un justicier des temps modernes. Un homme, soi disant guidé par la justice, et dont chacun de ses gestes est justifié par cette « belle » valeur. Un roman cauchemardesque et macabre, mené de main de maître par un auteur remarquable.
Un huis clos dérangant
Un huis clos surprenant, dérangeant qui va là où on ne s'y attend pas. Patrick Sénécal fait du bon, du très bon thriller noir, noir, noir ...
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