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  • Nombre de pages360
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.46 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-7436-1070-0
  • EAN9782743610708
  • Date de parution01/01/2003
  • CollectionRivages Thriller
  • ÉditeurRivages

Résumé

Sept, le chiffre de l'apocalypse. 1977, l'année du Jubilé d'argent et de l'Eventreur du Yorkshire. Nous sommes de nouveau dans la région de Leeds, c'est l'été. Plusieurs prostituées sont assassinées ou victimes d'agressions. Lorsque le sergent Fraser est appelé sur la scène de l'un des crimes, il est pris de panique car il se trouve être l'amant d'une fille de joie de Chapeltown. Il n'est pas le seul. C'est aussi le cas de Jack Whitehead, le journaliste arriviste de 1974. Tous deux sont des hommes blessés. Bob Fraser, déchiré entre l'amour fou qu'il porte à sa maîtresse et celui qu'il éprouve pour son petit garçon, a du mal à concilier un certain désir de justice et le terrible cynisme qui prévaut dans la police. Quant à Jack Whitehead, désabusé, alcoolique, il est hanté par la disparition tragique d'une femme aimée. A mesure que l'on se rapproche des festivités du Jubilé, l'horreur s'amplifie. Quelles vérités le flic et le journaliste réussiront-ils à entrevoir dans un monde dominé par le mensonge et la corruption ? Deuxième volet de la tétralogie du Yorkshire, 1977 est une ode funèbre, une quête désespérée du sens. Malgré sa noirceur, on le dévore avec passion car l'auteur est, avec Robin Cook, le seul romancier britannique qui ose dépeindre le mal dans les couleurs les plus extrêmes pour réveiller les consciences endormies. Comme dans 1974, on trouve des personnages puissamment campés, un rythme hallucinatoire, mais aussi émotion au fond du désespoir. Les cauchemars de David Peace ne sont pas des élucubrations, ils sont l'expression d'une lucidité terriblement aiguisée et d'une remarquable personnalité d'écrivain.
Sept, le chiffre de l'apocalypse. 1977, l'année du Jubilé d'argent et de l'Eventreur du Yorkshire. Nous sommes de nouveau dans la région de Leeds, c'est l'été. Plusieurs prostituées sont assassinées ou victimes d'agressions. Lorsque le sergent Fraser est appelé sur la scène de l'un des crimes, il est pris de panique car il se trouve être l'amant d'une fille de joie de Chapeltown. Il n'est pas le seul. C'est aussi le cas de Jack Whitehead, le journaliste arriviste de 1974. Tous deux sont des hommes blessés. Bob Fraser, déchiré entre l'amour fou qu'il porte à sa maîtresse et celui qu'il éprouve pour son petit garçon, a du mal à concilier un certain désir de justice et le terrible cynisme qui prévaut dans la police. Quant à Jack Whitehead, désabusé, alcoolique, il est hanté par la disparition tragique d'une femme aimée. A mesure que l'on se rapproche des festivités du Jubilé, l'horreur s'amplifie. Quelles vérités le flic et le journaliste réussiront-ils à entrevoir dans un monde dominé par le mensonge et la corruption ? Deuxième volet de la tétralogie du Yorkshire, 1977 est une ode funèbre, une quête désespérée du sens. Malgré sa noirceur, on le dévore avec passion car l'auteur est, avec Robin Cook, le seul romancier britannique qui ose dépeindre le mal dans les couleurs les plus extrêmes pour réveiller les consciences endormies. Comme dans 1974, on trouve des personnages puissamment campés, un rythme hallucinatoire, mais aussi émotion au fond du désespoir. Les cauchemars de David Peace ne sont pas des élucubrations, ils sont l'expression d'une lucidité terriblement aiguisée et d'une remarquable personnalité d'écrivain.

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1 Coup de cœur
de nos libraires
Un véritable cauchemar éveillé
On retrouve Jack Whitehead et Bob Fraser, tous deux rescapés des enfers de 1974. Ce deuxième volet de la tétralogie du Red Riding Quartet rentre dans le vif du sujet : les crimes de l’éventreur du Yorkshire se multiplient, le désespoir se propage, et les protagonistes s’enfoncent toujours plus profondément dans un univers de violence et de corruption, très sombre, où il n’y a plus de lumière ni d’espoir. Dans le roman, deux voix s’entremêlent en une longue supplique douloureuse et angoissante : celle d’un sergent flic amoureux fou d’une prostituée et celle d’un journaliste alcoolique, ancienne gloire de l’Evening Post. Entre chaque chapitre, s’intercalent des extraits d’une émission de radio de l’époque, le John Shark Show, qui participent à poser l’ambiance poisseuse et glauque du polar – car c’est ce qui intéresse au fond David Peace : saisir l’atmosphère de la société anglaise à la fin des années 1970, malsaine et pourrie, qui suinte de toutes les pages... L’écriture est toujours autant rythmée, presque incantatoire, avec des souvenirs qui tournent en boucle dans l’esprit de nos deux anti héros, et des phrases toujours abruptes, sèches, lacunaires – sans sujet ni verbe.
On retrouve Jack Whitehead et Bob Fraser, tous deux rescapés des enfers de 1974. Ce deuxième volet de la tétralogie du Red Riding Quartet rentre dans le vif du sujet : les crimes de l’éventreur du Yorkshire se multiplient, le désespoir se propage, et les protagonistes s’enfoncent toujours plus profondément dans un univers de violence et de corruption, très sombre, où il n’y a plus de lumière ni d’espoir. Dans le roman, deux voix s’entremêlent en une longue supplique douloureuse et angoissante : celle d’un sergent flic amoureux fou d’une prostituée et celle d’un journaliste alcoolique, ancienne gloire de l’Evening Post. Entre chaque chapitre, s’intercalent des extraits d’une émission de radio de l’époque, le John Shark Show, qui participent à poser l’ambiance poisseuse et glauque du polar – car c’est ce qui intéresse au fond David Peace : saisir l’atmosphère de la société anglaise à la fin des années 1970, malsaine et pourrie, qui suinte de toutes les pages... L’écriture est toujours autant rythmée, presque incantatoire, avec des souvenirs qui tournent en boucle dans l’esprit de nos deux anti héros, et des phrases toujours abruptes, sèches, lacunaires – sans sujet ni verbe.
  • Terrifiant
  • XXe siècle
  • Bob Fraser
  • Jack Whitehead
  • Ka Su Peng
  • John Piggott
  • Janice Ryan
  • L'éventreur du Yorkshire
  • Le jubilé d'argent

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5/5
sur 4 notes dont 1 avis lecteur
Un véritable cauchemar éveillé
On retrouve Jack Whitehead et Bob Fraser, tous deux rescapés des enfers de 1974. Ce deuxième volet de la tétralogie du Red Riding Quartet rentre dans le vif du sujet : les crimes de l'éventreur du Yorkshire se multiplient, le désespoir se propage, et les protagonistes s'enfoncent toujours plus profondément dans un univers de violence et de corruption, très sombre, où il n'y a plus de lumière ni d'espoir. Dans le roman, deux voix s'entremêlent en une longue supplique douloureuse et angoissante : celle d'un sergent flic amoureux fou d'une prostituée et celle d'un journaliste alcoolique, ancienne gloire de l'Evening Post. Entre chaque chapitre, s'intercalent des extraits d'une émission de radio de l'époque, le John Shark Show, qui participent à poser l'ambiance poisseuse et glauque du polar car c'est ce qui intéresse au fond David Peace : saisir l'atmosphère de la société anglaise à la fin des années 1970, malsaine et pourrie, qui suinte de toutes les pages... L'écriture est toujours autant rythmée, presque incantatoire, avec des souvenirs qui tournent en boucle dans l'esprit de nos deux anti héros, et des phrases toujours abruptes, sèches, lacunaires sans sujet ni verbe.
On retrouve Jack Whitehead et Bob Fraser, tous deux rescapés des enfers de 1974. Ce deuxième volet de la tétralogie du Red Riding Quartet rentre dans le vif du sujet : les crimes de l'éventreur du Yorkshire se multiplient, le désespoir se propage, et les protagonistes s'enfoncent toujours plus profondément dans un univers de violence et de corruption, très sombre, où il n'y a plus de lumière ni d'espoir. Dans le roman, deux voix s'entremêlent en une longue supplique douloureuse et angoissante : celle d'un sergent flic amoureux fou d'une prostituée et celle d'un journaliste alcoolique, ancienne gloire de l'Evening Post. Entre chaque chapitre, s'intercalent des extraits d'une émission de radio de l'époque, le John Shark Show, qui participent à poser l'ambiance poisseuse et glauque du polar car c'est ce qui intéresse au fond David Peace : saisir l'atmosphère de la société anglaise à la fin des années 1970, malsaine et pourrie, qui suinte de toutes les pages... L'écriture est toujours autant rythmée, presque incantatoire, avec des souvenirs qui tournent en boucle dans l'esprit de nos deux anti héros, et des phrases toujours abruptes, sèches, lacunaires sans sujet ni verbe.
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