Une femme seule

Par : Marie Vindy
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  • Nombre de pages400
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.55 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,9 cm
  • ISBN978-2-213-66158-2
  • EAN9782213661582
  • Date de parution14/03/2012
  • CollectionFayard Noir
  • ÉditeurFayard

Résumé

Un petit matin de janvier, au lieu-dit de L’Ermitage, Marianne Gil est réveillée par une pluie de coups frappés à sa porte. Son ami Joe, affolé, a découvert le corps sans vie d’une jeune fille derrière les granges, au fond de la propriété. Ils préviennent les autorités. Le capitaine Francis Humbert, de la brigade de recherches de Chaumont, prend la tête des opérations. Les premières constatations révèlent que la victime a été étranglée, mais rien ne permet d’établir son identité.
Qui est-elle ? Et que faisait-elle seule, dans les bois, en plein hiver ? Mystérieuse Marianne, qui vit cachée et porte un secret que ni le silence ni la solitude n’ont su consoler. Écrivain de renom, cette femme seule à la beauté sauvage dégage une fragilité à laquelle Humbert sent confusément qu’il ne peut résister. Divorcé, englué dans une vie de caserne qui ne lui convient plus, cet enquêteur acharné va tout risquer pour la protéger de son passé...Fascinée par les grands paysages, Marie Vindy révèle un territoire traversé d’ombres, animés de personnages partagés entre désir d’ordre et tentation des limites.
Avec Une femme seule, elle inaugure une série au cœur de la gendarmerie française qui l’impose comme une des nouvelles voix du polar aujourd’hui.
Un petit matin de janvier, au lieu-dit de L’Ermitage, Marianne Gil est réveillée par une pluie de coups frappés à sa porte. Son ami Joe, affolé, a découvert le corps sans vie d’une jeune fille derrière les granges, au fond de la propriété. Ils préviennent les autorités. Le capitaine Francis Humbert, de la brigade de recherches de Chaumont, prend la tête des opérations. Les premières constatations révèlent que la victime a été étranglée, mais rien ne permet d’établir son identité.
Qui est-elle ? Et que faisait-elle seule, dans les bois, en plein hiver ? Mystérieuse Marianne, qui vit cachée et porte un secret que ni le silence ni la solitude n’ont su consoler. Écrivain de renom, cette femme seule à la beauté sauvage dégage une fragilité à laquelle Humbert sent confusément qu’il ne peut résister. Divorcé, englué dans une vie de caserne qui ne lui convient plus, cet enquêteur acharné va tout risquer pour la protéger de son passé...Fascinée par les grands paysages, Marie Vindy révèle un territoire traversé d’ombres, animés de personnages partagés entre désir d’ordre et tentation des limites.
Avec Une femme seule, elle inaugure une série au cœur de la gendarmerie française qui l’impose comme une des nouvelles voix du polar aujourd’hui.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Quand l'auteur joue avec les stéréotypes
La 4ème de couverture devra vous suffire quant à l’intrigue ! Dans ce livre, Marie Vindy, joue beaucoup avec les stéréotypes. Le flic, ici un gendarme, pas mal fait de sa personne, bourru, bourreau de travail, lâché par sa femme (par contre, celui-ci ne boit pas comme un trou, il y a du progrès !). Nous avons l’héroïne belle comme un cœur, mystérieuse et solitaire, traînant un lourd secret. Là, je dois avouer qu’il y en a plusieurs couches ! Les « accompagnants » ou seconds couteaux (très bon ça pour un polar !!) sont nettement moins affriolants (de peur qu’on les confonde avec les Héros ??). L’adjoint d’Humbert, Ladro, répond également à l’archétype du second. Je pense qu’il doit y avoir ces codes à respecter dans l’écriture des polars. Ceci étant établi, j’ai passé une super nuit à lire ce livre très bien ficelé. J’aime ces polars où cela ne défouraille pas à chaque page. Humbert, le capitaine est un type sérieux (quoique…) qui suit son enquête pas à pas, il n’a aucune fulgurance (que ça fait du bien !), il ouvre toutes les pistes, suit les moindres indices jusqu’à se trouver très, très près de Marianne, l’héroïne. L’enquête nous ait bien expliquée, on suit les progrès des enquêteurs jusqu’au dénouement final, sans exaltation, mais avec beaucoup d’intérêt. Impossible de lâcher le livre et je n’ai pas sauté de pages pour arriver plus vite au dénouement, j’ai aimé suivre le capitaine dans ses détours. Le livre à de la chair, de la tripe, ce n’est pas qu’une enquête froide et méthodique, nous entrons dans la vie privée des « héros », ce sont des êtres vivant dans un milieu géographique bien décrit. Il faisait froid à Chaumont et dans sa région. J’ai bien retrouvé cette sensation de boue, pluie, neige, vent que je connais lorsque je vais dans la région nord-est. Que j’étais bien sous ma couette bien au chaud à lire leurs aventures. J’aimerais bien que Marie Vindy revienne avec une nouvelle enquête du capitaine Humbert dans sa nouvelle région de Bourgogne.
La 4ème de couverture devra vous suffire quant à l’intrigue ! Dans ce livre, Marie Vindy, joue beaucoup avec les stéréotypes. Le flic, ici un gendarme, pas mal fait de sa personne, bourru, bourreau de travail, lâché par sa femme (par contre, celui-ci ne boit pas comme un trou, il y a du progrès !). Nous avons l’héroïne belle comme un cœur, mystérieuse et solitaire, traînant un lourd secret. Là, je dois avouer qu’il y en a plusieurs couches ! Les « accompagnants » ou seconds couteaux (très bon ça pour un polar !!) sont nettement moins affriolants (de peur qu’on les confonde avec les Héros ??). L’adjoint d’Humbert, Ladro, répond également à l’archétype du second. Je pense qu’il doit y avoir ces codes à respecter dans l’écriture des polars. Ceci étant établi, j’ai passé une super nuit à lire ce livre très bien ficelé. J’aime ces polars où cela ne défouraille pas à chaque page. Humbert, le capitaine est un type sérieux (quoique…) qui suit son enquête pas à pas, il n’a aucune fulgurance (que ça fait du bien !), il ouvre toutes les pistes, suit les moindres indices jusqu’à se trouver très, très près de Marianne, l’héroïne. L’enquête nous ait bien expliquée, on suit les progrès des enquêteurs jusqu’au dénouement final, sans exaltation, mais avec beaucoup d’intérêt. Impossible de lâcher le livre et je n’ai pas sauté de pages pour arriver plus vite au dénouement, j’ai aimé suivre le capitaine dans ses détours. Le livre à de la chair, de la tripe, ce n’est pas qu’une enquête froide et méthodique, nous entrons dans la vie privée des « héros », ce sont des êtres vivant dans un milieu géographique bien décrit. Il faisait froid à Chaumont et dans sa région. J’ai bien retrouvé cette sensation de boue, pluie, neige, vent que je connais lorsque je vais dans la région nord-est. Que j’étais bien sous ma couette bien au chaud à lire leurs aventures. J’aimerais bien que Marie Vindy revienne avec une nouvelle enquête du capitaine Humbert dans sa nouvelle région de Bourgogne.
Polar rural
Les avis sur ce polar m’ont donné une impression favorable pour plusieurs raisons, la première étant le lieu de l’enquête, la campagne haut-marnaise… J’aime bien aussi les enquêtes hivernales et ici, le froid, la brume et le brouillard ne manquent pas ! Une très jeune femme est trouvée morte aux alentours d’une grosse bâtisse habitée par une femme écrivain. C’est le vétérinaire qui s’occupe de ses chevaux qui fait la découverte. Personne dans les environs ne connaît la jeune fille, qui a été étranglée, et aucun élément ne permet tout d’abord de l’identifier. Le capitaine Francis Humbert, chargé de l’enquête, est fasciné par Marianne Gil, l’auteur, et se pose des questions sur son passé, notamment la période où elle a partagé la vie d’un chanteur très connu. L’enquête est menée à un rythme plausible, c’est-à-dire avec une certaine lenteur, qui n’empêche pas de tourner les pages avec avidité, bien au contraire. Les personnages sont attachants, bien que l’histoire d’amour qui se noue au cœur du roman m’ait laissée quelque peu dubitative. Les thèmes abordés, dont je ne dirai rien, car cela ouvrirait des perspectives sur l’une des facettes de ce crime, les thèmes donc, sont intéressants, et donnent de la profondeur au roman. La campagne champenoise, aux confins de la Bourgogne, est un cadre parfait pour faire évoluer les protagonistes, dont Marianne, passionnée de chevaux. On croit humer l’odeur du crottin, des feux de cheminée, dans le froid hivernal, voir quelques corneilles sautiller dans les grasses terres poudrées de givre… J’ai lu, je ne sais plus où, que Marie Vindy compte prolonger ce roman par une série avec les mêmes personnages. Tant mieux, ce capitaine n’est pas désagréable du tout à suivre !
Les avis sur ce polar m’ont donné une impression favorable pour plusieurs raisons, la première étant le lieu de l’enquête, la campagne haut-marnaise… J’aime bien aussi les enquêtes hivernales et ici, le froid, la brume et le brouillard ne manquent pas ! Une très jeune femme est trouvée morte aux alentours d’une grosse bâtisse habitée par une femme écrivain. C’est le vétérinaire qui s’occupe de ses chevaux qui fait la découverte. Personne dans les environs ne connaît la jeune fille, qui a été étranglée, et aucun élément ne permet tout d’abord de l’identifier. Le capitaine Francis Humbert, chargé de l’enquête, est fasciné par Marianne Gil, l’auteur, et se pose des questions sur son passé, notamment la période où elle a partagé la vie d’un chanteur très connu. L’enquête est menée à un rythme plausible, c’est-à-dire avec une certaine lenteur, qui n’empêche pas de tourner les pages avec avidité, bien au contraire. Les personnages sont attachants, bien que l’histoire d’amour qui se noue au cœur du roman m’ait laissée quelque peu dubitative. Les thèmes abordés, dont je ne dirai rien, car cela ouvrirait des perspectives sur l’une des facettes de ce crime, les thèmes donc, sont intéressants, et donnent de la profondeur au roman. La campagne champenoise, aux confins de la Bourgogne, est un cadre parfait pour faire évoluer les protagonistes, dont Marianne, passionnée de chevaux. On croit humer l’odeur du crottin, des feux de cheminée, dans le froid hivernal, voir quelques corneilles sautiller dans les grasses terres poudrées de givre… J’ai lu, je ne sais plus où, que Marie Vindy compte prolonger ce roman par une série avec les mêmes personnages. Tant mieux, ce capitaine n’est pas désagréable du tout à suivre !
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