Qu'il fait froid dans ce roman, un vrai livre de saison.
Le froid transperce les soldats, hésitants à fumer leur cigarette. Bizarrement, c'est le Juif qu'ils capturent qui est le mieux habiller pour affronter le temps polaire.
Même dans la maison abandonnée qu'ils trouvent, il fait froid. Qu'elle m'a parue étrange, leur hésitation à faire brûler le banc pour se réchauffer. Comme si s'asseoir par terre était au-dessus de leur force, et les auraient amener à s'asseoir au sol, comme leur prisonnier.
Des hommes ordinaires que ces soldats, dans une situation pas ordinaire. Ils ne rêvent que de vie civil, s'inquiètent pour leurs enfants.
Un roman dont l'ambiance m'a fait penser aux écrits de Philippe Claudel : le lecteur est projeté d'emblée dans une région sans nom, au coeur du maëlstrom. Des personnages qui subissent ce qui leur arrive.
Un "beau" repas, qui m'a fait penser au film "Joyeux Noël".
L'image que je retiendrai :
Celle du flocon sur le bonnet du prisonnier.
Qu'il fait froid dans ce roman, un vrai livre de saison.
Le froid transperce les soldats, hésitants à fumer leur cigarette. Bizarrement, c'est le Juif qu'ils capturent qui est le mieux habiller pour affronter le temps polaire.
Même dans la maison abandonnée qu'ils trouvent, il fait froid. Qu'elle m'a parue étrange, leur hésitation à faire brûler le banc pour se réchauffer. Comme si s'asseoir par terre était au-dessus de leur force, et les auraient amener à s'asseoir au sol, comme leur prisonnier.
Des hommes ordinaires que ces soldats, dans une situation pas ordinaire. Ils ne rêvent que de vie civil, s'inquiètent pour leurs enfants.
Un roman dont l'ambiance m'a fait penser aux écrits de Philippe Claudel : le lecteur est projeté d'emblée dans une région sans nom, au coeur du maëlstrom. Des personnages qui subissent ce qui leur arrive.
Un "beau" repas, qui m'a fait penser au film "Joyeux Noël".
L'image que je retiendrai :
Celle du flocon sur le bonnet du prisonnier.