Tristesse ment. Vieux morceaux de poésie
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- Nombre de pages114
- PrésentationBroché
- Poids0.1447 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-414-37190-7
- EAN9782414371907
- Date de parution12/08/2019
- ÉditeurEdilivre
Résumé
On l'avait espérée, et elle advint ! Qu'est-ce ? La pitié d'une mort qui, toujours, vous effleure du regard. Une chose est d'espérer le Temps, une autre de l'éprouver dans la fleur de sa chair. Jamais d'autres collines ne m'ont paru si âpres que lorsque tu es devenue étrangère à ma vie, et jamais d'autres soleils n'ont plus jamais relui sur les arpents de ma volonté. L'été, des gamins austères me jettent des pierres qui glissent sans un bruit sur mon voile de silence, car je suis l'air et l'évanescence ; ce qui, sans résistance, n'a aucun souci de la concentration.
Je te déjouerai, toi, matière, qui n'a de sens que dans l'opposition, je me moque bien de ta forme et de ton tour sensible. Me croiras-tu enfin quand je te dis être fait d'un autre métal ?
Je te déjouerai, toi, matière, qui n'a de sens que dans l'opposition, je me moque bien de ta forme et de ton tour sensible. Me croiras-tu enfin quand je te dis être fait d'un autre métal ?
On l'avait espérée, et elle advint ! Qu'est-ce ? La pitié d'une mort qui, toujours, vous effleure du regard. Une chose est d'espérer le Temps, une autre de l'éprouver dans la fleur de sa chair. Jamais d'autres collines ne m'ont paru si âpres que lorsque tu es devenue étrangère à ma vie, et jamais d'autres soleils n'ont plus jamais relui sur les arpents de ma volonté. L'été, des gamins austères me jettent des pierres qui glissent sans un bruit sur mon voile de silence, car je suis l'air et l'évanescence ; ce qui, sans résistance, n'a aucun souci de la concentration.
Je te déjouerai, toi, matière, qui n'a de sens que dans l'opposition, je me moque bien de ta forme et de ton tour sensible. Me croiras-tu enfin quand je te dis être fait d'un autre métal ?
Je te déjouerai, toi, matière, qui n'a de sens que dans l'opposition, je me moque bien de ta forme et de ton tour sensible. Me croiras-tu enfin quand je te dis être fait d'un autre métal ?