Tout le monde veut s’en aller de Cuba. Wendy Guerra nous décrit ce sentiment qu’elle a vécu à Cuba dans les années 80-90. Sous forme de journal intime elle nous raconte la ou sa vie d’adolescence à Cuba. Sa mère vit avec un étranger et est bohème. Divorcée, le père souhaiter récupérer sa fille mais il a des tendances violentes, donc elle atterrit dans un foyer pour orphelins. La première partie de ce journal intime est la vie de l’adolescente, sa relation avec son père et sa mère et sa vie dans un foyer pour enfants « difficiles ». Des pages difficiles sur la situation de cette petite fille qui essaie de se trouver une place dans la vie et dans la société cubaine.
Puis l’enfant devient une adolescente et rentre à La Havane où elle va étudier à l’université des Arts, elle souhaite être peintre, mais va-t-elle pouvoir trouver sa voie, dans cette société où tout le monde souhaite partir. Elle rencontre un artiste plus âgé, qui a une certaines notoriété et qui lui fait découvrir un luxe relatif. Elle va découvrir le monde de l’art officiel, mais un jour celui-ci aussi va partir pour Paris et tenter sa vie d’artiste dans la capitale française.
Elle, elle est toujours là.
Un texte très intime et on est très proche des sentiments de cette enfant et de cette jeune femme, des pages terribles.
Wendy Guerra décrit très bien des sentiments très personnels mais aussi le climat qui règne à Cuba, le milieu artistique et bohème de Cuba.
Tout le monde veut s’en aller de Cuba. Wendy Guerra nous décrit ce sentiment qu’elle a vécu à Cuba dans les années 80-90. Sous forme de journal intime elle nous raconte la ou sa vie d’adolescence à Cuba. Sa mère vit avec un étranger et est bohème. Divorcée, le père souhaiter récupérer sa fille mais il a des tendances violentes, donc elle atterrit dans un foyer pour orphelins. La première partie de ce journal intime est la vie de l’adolescente, sa relation avec son père et sa mère et sa vie dans un foyer pour enfants « difficiles ». Des pages difficiles sur la situation de cette petite fille qui essaie de se trouver une place dans la vie et dans la société cubaine.
Puis l’enfant devient une adolescente et rentre à La Havane où elle va étudier à l’université des Arts, elle souhaite être peintre, mais va-t-elle pouvoir trouver sa voie, dans cette société où tout le monde souhaite partir. Elle rencontre un artiste plus âgé, qui a une certaines notoriété et qui lui fait découvrir un luxe relatif. Elle va découvrir le monde de l’art officiel, mais un jour celui-ci aussi va partir pour Paris et tenter sa vie d’artiste dans la capitale française.
Elle, elle est toujours là.
Un texte très intime et on est très proche des sentiments de cette enfant et de cette jeune femme, des pages terribles.
Wendy Guerra décrit très bien des sentiments très personnels mais aussi le climat qui règne à Cuba, le milieu artistique et bohème de Cuba.