Thomas Hobbes. Philosopher par temps de crises
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.245 kg
- Dimensions14,7 cm × 20,2 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-13-060695-6
- EAN9782130606956
- Date de parution21/11/2012
- CollectionSérie Philosophie
- ÉditeurCoédition CNED/PUF
Résumé
Il s’agit de comprendre Hobbes en partant de l’époque et du moment où il a décidé de devenir philosophe, de saisir comment il percevait son époque et le moment singulier qui oriente le contenu de chacun de ses livres. Aux problèmes qui sont posés par le temps de crises où il écrit, Hobbes répond par une anthropologie, une politique et une réflexion sur les religions. L’anthropologie veut mettre en évidence la spécificité du corps humain dans un univers désenchanté.
Elle tient au pouvoir de désirer qui arrache sans cesse l’homme au présent, en direction d’un avenir en partie imprévisible. C’est la difficulté du problème politique : le renouvellement sans fin des désirs et la quête de puissance qui en découle mettent en danger les relations sociales que les hommes sont pourtant contraints de rechercher s’ils veulent continuer à désirer dans une relative sécurité.
Hobbes voit dans la science politique le moyen de construire des édifices politiques enfin assez solides pour résoudre cette difficulté. Il voit aussi les limites de cette tentative : l’homme restera toujours un animal religieux parce que la dynamique de ses désirs suscite des problèmes qu’aucune politique humaine ne peut résoudre.
Elle tient au pouvoir de désirer qui arrache sans cesse l’homme au présent, en direction d’un avenir en partie imprévisible. C’est la difficulté du problème politique : le renouvellement sans fin des désirs et la quête de puissance qui en découle mettent en danger les relations sociales que les hommes sont pourtant contraints de rechercher s’ils veulent continuer à désirer dans une relative sécurité.
Hobbes voit dans la science politique le moyen de construire des édifices politiques enfin assez solides pour résoudre cette difficulté. Il voit aussi les limites de cette tentative : l’homme restera toujours un animal religieux parce que la dynamique de ses désirs suscite des problèmes qu’aucune politique humaine ne peut résoudre.
Il s’agit de comprendre Hobbes en partant de l’époque et du moment où il a décidé de devenir philosophe, de saisir comment il percevait son époque et le moment singulier qui oriente le contenu de chacun de ses livres. Aux problèmes qui sont posés par le temps de crises où il écrit, Hobbes répond par une anthropologie, une politique et une réflexion sur les religions. L’anthropologie veut mettre en évidence la spécificité du corps humain dans un univers désenchanté.
Elle tient au pouvoir de désirer qui arrache sans cesse l’homme au présent, en direction d’un avenir en partie imprévisible. C’est la difficulté du problème politique : le renouvellement sans fin des désirs et la quête de puissance qui en découle mettent en danger les relations sociales que les hommes sont pourtant contraints de rechercher s’ils veulent continuer à désirer dans une relative sécurité.
Hobbes voit dans la science politique le moyen de construire des édifices politiques enfin assez solides pour résoudre cette difficulté. Il voit aussi les limites de cette tentative : l’homme restera toujours un animal religieux parce que la dynamique de ses désirs suscite des problèmes qu’aucune politique humaine ne peut résoudre.
Elle tient au pouvoir de désirer qui arrache sans cesse l’homme au présent, en direction d’un avenir en partie imprévisible. C’est la difficulté du problème politique : le renouvellement sans fin des désirs et la quête de puissance qui en découle mettent en danger les relations sociales que les hommes sont pourtant contraints de rechercher s’ils veulent continuer à désirer dans une relative sécurité.
Hobbes voit dans la science politique le moyen de construire des édifices politiques enfin assez solides pour résoudre cette difficulté. Il voit aussi les limites de cette tentative : l’homme restera toujours un animal religieux parce que la dynamique de ses désirs suscite des problèmes qu’aucune politique humaine ne peut résoudre.