Poète, essayiste de réputation internationale, Yves Bonnefoy doit son talent et sa célébrité à son uvre poétique d'une belle ampleur (derniers recueils : Les Planches courbes -inscrit au programme du baccalauréat littéraire-, La Longue Chaîne de l'ancre, Rature outre), ses traductions de Shakespeare, Yeats, Pétrarque, Léopardi et d'importants travaux critiques sur la littérature (Rimbaud, l'Imaginaire métaphysique) et l'art (Rome, 1630, Giacometti, Goya, etc.) couronnée par son enseignement au collège de France.
Shakespeare et quelques autres
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- Nombre de pages276
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.335 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7056-9348-0
- EAN9782705693480
- Date de parution17/07/2017
- CollectionSavoir lettres
- ÉditeurHermann
Résumé
"Il me parait impossible d'imaginer qu'il n'y ait pas entre ceux qui aiment vraiment Shakespeare le partage de quelques valeurs fondamentales, dont, en premier lieu la vérité, le respect de la vérité." Autour de cette idée, Yves Bonnefoy a réuni quelques amis pour examiner, dans le cadre de la Fondation Hugot du Collège de France, les rapports que l'oeuvre de Shakespeare a entretenus avec d'autres auteurs : Pétrarque, Castiglione, Cervantès, Machiavel, Keats, Blake, Hugo, Mallarmé, Verdi, René Girard.
Sont ainsi présentés et analysés l'influence du dramaturge élisabéthain, mais aussi les échos et parentés entre certains écrivains et Shakespeare. Il s'en dégage une ambition commune, réaffirmée à de nombreuses reprises par Yves Bonnefoy concernant la critique, celle de l'étude des faits : "Donner priorité [...] à la recherche des faits, c'est prendre le parti de la vérité, c'est s'éveiller de ses rêves.
Ou bien, si l'on ne cesse ou ne veut cesser de rêver, [...], ce sera substituer au rêve du "moi", heureux de ses illusions, celui d'un "Je" dont autrui pourrait être partie prenante."
Sont ainsi présentés et analysés l'influence du dramaturge élisabéthain, mais aussi les échos et parentés entre certains écrivains et Shakespeare. Il s'en dégage une ambition commune, réaffirmée à de nombreuses reprises par Yves Bonnefoy concernant la critique, celle de l'étude des faits : "Donner priorité [...] à la recherche des faits, c'est prendre le parti de la vérité, c'est s'éveiller de ses rêves.
Ou bien, si l'on ne cesse ou ne veut cesser de rêver, [...], ce sera substituer au rêve du "moi", heureux de ses illusions, celui d'un "Je" dont autrui pourrait être partie prenante."
"Il me parait impossible d'imaginer qu'il n'y ait pas entre ceux qui aiment vraiment Shakespeare le partage de quelques valeurs fondamentales, dont, en premier lieu la vérité, le respect de la vérité." Autour de cette idée, Yves Bonnefoy a réuni quelques amis pour examiner, dans le cadre de la Fondation Hugot du Collège de France, les rapports que l'oeuvre de Shakespeare a entretenus avec d'autres auteurs : Pétrarque, Castiglione, Cervantès, Machiavel, Keats, Blake, Hugo, Mallarmé, Verdi, René Girard.
Sont ainsi présentés et analysés l'influence du dramaturge élisabéthain, mais aussi les échos et parentés entre certains écrivains et Shakespeare. Il s'en dégage une ambition commune, réaffirmée à de nombreuses reprises par Yves Bonnefoy concernant la critique, celle de l'étude des faits : "Donner priorité [...] à la recherche des faits, c'est prendre le parti de la vérité, c'est s'éveiller de ses rêves.
Ou bien, si l'on ne cesse ou ne veut cesser de rêver, [...], ce sera substituer au rêve du "moi", heureux de ses illusions, celui d'un "Je" dont autrui pourrait être partie prenante."
Sont ainsi présentés et analysés l'influence du dramaturge élisabéthain, mais aussi les échos et parentés entre certains écrivains et Shakespeare. Il s'en dégage une ambition commune, réaffirmée à de nombreuses reprises par Yves Bonnefoy concernant la critique, celle de l'étude des faits : "Donner priorité [...] à la recherche des faits, c'est prendre le parti de la vérité, c'est s'éveiller de ses rêves.
Ou bien, si l'on ne cesse ou ne veut cesser de rêver, [...], ce sera substituer au rêve du "moi", heureux de ses illusions, celui d'un "Je" dont autrui pourrait être partie prenante."