Seule la haine

Par : David Ruiz Martin
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-490288-99-1
  • EAN9782490288991
  • Date de parution10/02/2020
  • ÉditeurEditions Nouvelle Bibliothèque
  • PréfacierNicolas Feuz

Résumé

Elliot est intelligent. Elliot est sensible. Elliot a quinze ans aujourd'hui. Elliot a tout pour être heureux. Mais Elliot a vécu un drame. Elliot est dévasté. Elliot cherche des réponses... ... alors Elliot s'est pointé avec un flingue chargé. Persuadé que Larry Barney, psychanalyste spécialisé dans les troubles de l'adolescence, est responsable du suicide de son frère, Elliot, quinze ans, se présente armé dans son cabinet.
Séquestré, Larry n'a d'autre choix que de laisser le jeune homme lui relater les derniers mois. Mais très vite, c'est l'escalade de l'horreur : Larry est jeté dans un monde qui le dépasse, aux frontières de l'abject et de l'inhumanité. Au fil du récit, tandis que les détails se succèdent, une seule idée l'obsède : celle de s'en sortir, à tout prix...
Elliot est intelligent. Elliot est sensible. Elliot a quinze ans aujourd'hui. Elliot a tout pour être heureux. Mais Elliot a vécu un drame. Elliot est dévasté. Elliot cherche des réponses... ... alors Elliot s'est pointé avec un flingue chargé. Persuadé que Larry Barney, psychanalyste spécialisé dans les troubles de l'adolescence, est responsable du suicide de son frère, Elliot, quinze ans, se présente armé dans son cabinet.
Séquestré, Larry n'a d'autre choix que de laisser le jeune homme lui relater les derniers mois. Mais très vite, c'est l'escalade de l'horreur : Larry est jeté dans un monde qui le dépasse, aux frontières de l'abject et de l'inhumanité. Au fil du récit, tandis que les détails se succèdent, une seule idée l'obsède : celle de s'en sortir, à tout prix...

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5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Un huis clos oppressant
Larry Barney, un psychanalyste, est retenu en otage par un adolescent de quinze ans. Menotté et sous la menace d’une arme, le praticien est forcé d’écouter le récit du jeune Elliot, qui le tient pour responsable du suicide de son frère. Il lui indique que pour connaître la raison de cet acte irréparable, il a mis ses pas dans les traces de son frère. Maintenant, c’est au tour de Larry de connaître le quotidien de celui qu’il n’a pas su sauver, alors qu’il le suivait en thérapie. Elliot explique qu’il a suivi deux garçons et les a espionnés. Il dépeint une escalade d’actes terribles et de crimes. Le psy a la sensation de basculer dans un monde parallèle, composé d’horreurs. Les détails horribles s’incrustent dans son esprit, pourtant, il veut toujours en savoir plus, Elliot l’a bien compris. Alors qu’il déroule son histoire, il resserre l’étau autour du Doc, qui ne sait pas s’il sortira vivant de cette « conversation » : l’arme lui est destinée. À quelle fin ? Les propos de l’adolescent sont insoutenables, il a approché le mal de très près. Comment se relever ? La tension monte de plus en plus, poussant chacun dans ses retranchements. La situation bascule, après certains mots prononcés… Le face à face entre le spécialiste de la psychologie et l’ado surdoué semble suivre un déroulement précis. Larry sent qu’il perd ses réflexes professionnels, en écoutant celui qui l’emmène où il l’a prévu, sans dévier de son objectif. Les paroles agissent comme la flûte de Hamelin et Larry suit le musicien terrible, entraînant le lecteur avec lui. Cela ne peut que se terminer de façon tragique. David Ruiz Martin a un talent énorme pour nous faire passer d’un sentiment à l’autre au sujet de chaque personnage. Chacun d’entre eux provoque empathie, pitié, attachement, rejet, effroi, etc. Il parvient, également, à susciter une réflexion. Et nous, comment aurions-nous réagi ? Quel choix aurions-nous fait ? Que pouvons-nous croire ? Quel mal est le pire ? L’auteur nous fait toucher la folie de près et nous effraie au sujet du pouvoir des mots. Il nous fait douter de ce que nous interprétons, et nous ne savons plus que croire, nous laissant exsangues devant la manipulation. Seule la haine est un huis clos oppressant, qui vous mènera dans une dimension que vous ne pouvez pas envisager. Êtes-vous prêt à sombrer dans le précipice ? Au départ, la fin m’a déstabilisée, mais ensuite, j’ai trouvé qu’elle apportait une pression supplémentaire. C’est le quatrième livre que je lis de David Ruiz Martin et une fois encore, il me pousse dans mes retranchements. J’ai adoré.
Larry Barney, un psychanalyste, est retenu en otage par un adolescent de quinze ans. Menotté et sous la menace d’une arme, le praticien est forcé d’écouter le récit du jeune Elliot, qui le tient pour responsable du suicide de son frère. Il lui indique que pour connaître la raison de cet acte irréparable, il a mis ses pas dans les traces de son frère. Maintenant, c’est au tour de Larry de connaître le quotidien de celui qu’il n’a pas su sauver, alors qu’il le suivait en thérapie. Elliot explique qu’il a suivi deux garçons et les a espionnés. Il dépeint une escalade d’actes terribles et de crimes. Le psy a la sensation de basculer dans un monde parallèle, composé d’horreurs. Les détails horribles s’incrustent dans son esprit, pourtant, il veut toujours en savoir plus, Elliot l’a bien compris. Alors qu’il déroule son histoire, il resserre l’étau autour du Doc, qui ne sait pas s’il sortira vivant de cette « conversation » : l’arme lui est destinée. À quelle fin ? Les propos de l’adolescent sont insoutenables, il a approché le mal de très près. Comment se relever ? La tension monte de plus en plus, poussant chacun dans ses retranchements. La situation bascule, après certains mots prononcés… Le face à face entre le spécialiste de la psychologie et l’ado surdoué semble suivre un déroulement précis. Larry sent qu’il perd ses réflexes professionnels, en écoutant celui qui l’emmène où il l’a prévu, sans dévier de son objectif. Les paroles agissent comme la flûte de Hamelin et Larry suit le musicien terrible, entraînant le lecteur avec lui. Cela ne peut que se terminer de façon tragique. David Ruiz Martin a un talent énorme pour nous faire passer d’un sentiment à l’autre au sujet de chaque personnage. Chacun d’entre eux provoque empathie, pitié, attachement, rejet, effroi, etc. Il parvient, également, à susciter une réflexion. Et nous, comment aurions-nous réagi ? Quel choix aurions-nous fait ? Que pouvons-nous croire ? Quel mal est le pire ? L’auteur nous fait toucher la folie de près et nous effraie au sujet du pouvoir des mots. Il nous fait douter de ce que nous interprétons, et nous ne savons plus que croire, nous laissant exsangues devant la manipulation. Seule la haine est un huis clos oppressant, qui vous mènera dans une dimension que vous ne pouvez pas envisager. Êtes-vous prêt à sombrer dans le précipice ? Au départ, la fin m’a déstabilisée, mais ensuite, j’ai trouvé qu’elle apportait une pression supplémentaire. C’est le quatrième livre que je lis de David Ruiz Martin et une fois encore, il me pousse dans mes retranchements. J’ai adoré.
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