Revue Textuel N° 3
Que reste-t-il de la beauté ?

Par : Marik Froidefond, Dominique Rabaté
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  • Nombre de pages142
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.245 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-7056-9245-2
  • EAN9782705692452
  • Date de parution20/06/2016
  • ÉditeurHermann

Résumé

Quelle place faire à la beauté dans la pensée des oeuvres et des pratiques artistiques - contemporaines ou anciennes - aujourd'hui ? Cette Beauté, entendue comme belle forme classique et harmonie, les "modernes" l'ont si bien injuriée ou rendue convulsive qu'il n'en resterait peut-être plus rien. Y a-t-il lieu de la restaurer ? de l'enterrer ? ou faut-il contre cet "oubli" de la beauté, en rappeler la nécessité, la possibilité, les formes nouvelles ? En donnant la parole aux artistes comme aux critiques, ce numéro de Textuel s'intéresse à l'évolution du statut accordé à la beauté comme critère dans les discours et les pratiques littéraires et artistiques, depuis les premiers emplois esthétiques de ce mot jusqu'à aujourd'hui, ainsi qu'aux valeurs qui lui sont associées en fonction des époques (dis-moi ce que tu trouves (encore) beau et je te dirai qui tu es) et à l'intensité des affects qu'elle suscite.
Quelle place faire à la beauté dans la pensée des oeuvres et des pratiques artistiques - contemporaines ou anciennes - aujourd'hui ? Cette Beauté, entendue comme belle forme classique et harmonie, les "modernes" l'ont si bien injuriée ou rendue convulsive qu'il n'en resterait peut-être plus rien. Y a-t-il lieu de la restaurer ? de l'enterrer ? ou faut-il contre cet "oubli" de la beauté, en rappeler la nécessité, la possibilité, les formes nouvelles ? En donnant la parole aux artistes comme aux critiques, ce numéro de Textuel s'intéresse à l'évolution du statut accordé à la beauté comme critère dans les discours et les pratiques littéraires et artistiques, depuis les premiers emplois esthétiques de ce mot jusqu'à aujourd'hui, ainsi qu'aux valeurs qui lui sont associées en fonction des époques (dis-moi ce que tu trouves (encore) beau et je te dirai qui tu es) et à l'intensité des affects qu'elle suscite.