Huguette Clara, diplômée de maitrise en littérature italienne, a fait de l'enseignement puis de la traduction auprès du CNRS. Parallèlement à ça elle est violoncelliste amateur.
Chroniques de Couraurges
Pierres vives. Chroniques de Couraurgues - Tome 2
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- Nombre de pages278
- PrésentationBroché
- Poids0.407 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-322-57175-8
- EAN9782322571758
- Date de parution07/04/2025
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Après avoir démissionné de la police l'inspecteur De brume s'est installé dans le village, lieu de ses exploits, situé sur les premiers contreforts des Préalpes du Sud Est de la France. Il espérait y vivre des jours tranquilles gardant en souvenir les belles rencontres qu'il y avait faites. Un assassinat maquillé en pendaison lui fait reprendre du service avec le brigadier responsable de la police du village.
Le brigadier Achille Marino se faisait fort d'être lui aussi pour quelque chose dans le maintien de la paix et de la concorde entre les villageois, conformément au but assigné à sa mission. Son rutilant uniforme, digne reflet de la magnificence du pouvoir, y était pour beaucoup. Il faisait grande impression. Seul, parmi cette population de paysans et de bergers, le brigadier Marino était porteur des insignes de l'Empire, qui assuraient la puissance de la loi à coups de dorures et de galons.
C'était dire que le harnachement de son cheval devait être à la hauteur. Le village n'avait jamais été aussi calme. Rien ne troublait sa paix. L'automne était particulièrement chaud et les vieilles pierres semblaient endormies sous le soleil nonchalant qui s'attardait, comme s'il avait oublié le rythme des saisons. Quelques belles averses avaient fait reverdir les prés. Et si on faisait abstraction, pendant un instant, du sens inéluctable de la marche du temps, il semblait qu'on revenait en arrière, que le printemps allait refleurir et que la sécheresse de l'été ne tarderait pas à s'installer.
Le brigadier Achille Marino se faisait fort d'être lui aussi pour quelque chose dans le maintien de la paix et de la concorde entre les villageois, conformément au but assigné à sa mission. Son rutilant uniforme, digne reflet de la magnificence du pouvoir, y était pour beaucoup. Il faisait grande impression. Seul, parmi cette population de paysans et de bergers, le brigadier Marino était porteur des insignes de l'Empire, qui assuraient la puissance de la loi à coups de dorures et de galons.
C'était dire que le harnachement de son cheval devait être à la hauteur. Le village n'avait jamais été aussi calme. Rien ne troublait sa paix. L'automne était particulièrement chaud et les vieilles pierres semblaient endormies sous le soleil nonchalant qui s'attardait, comme s'il avait oublié le rythme des saisons. Quelques belles averses avaient fait reverdir les prés. Et si on faisait abstraction, pendant un instant, du sens inéluctable de la marche du temps, il semblait qu'on revenait en arrière, que le printemps allait refleurir et que la sécheresse de l'été ne tarderait pas à s'installer.
Après avoir démissionné de la police l'inspecteur De brume s'est installé dans le village, lieu de ses exploits, situé sur les premiers contreforts des Préalpes du Sud Est de la France. Il espérait y vivre des jours tranquilles gardant en souvenir les belles rencontres qu'il y avait faites. Un assassinat maquillé en pendaison lui fait reprendre du service avec le brigadier responsable de la police du village.
Le brigadier Achille Marino se faisait fort d'être lui aussi pour quelque chose dans le maintien de la paix et de la concorde entre les villageois, conformément au but assigné à sa mission. Son rutilant uniforme, digne reflet de la magnificence du pouvoir, y était pour beaucoup. Il faisait grande impression. Seul, parmi cette population de paysans et de bergers, le brigadier Marino était porteur des insignes de l'Empire, qui assuraient la puissance de la loi à coups de dorures et de galons.
C'était dire que le harnachement de son cheval devait être à la hauteur. Le village n'avait jamais été aussi calme. Rien ne troublait sa paix. L'automne était particulièrement chaud et les vieilles pierres semblaient endormies sous le soleil nonchalant qui s'attardait, comme s'il avait oublié le rythme des saisons. Quelques belles averses avaient fait reverdir les prés. Et si on faisait abstraction, pendant un instant, du sens inéluctable de la marche du temps, il semblait qu'on revenait en arrière, que le printemps allait refleurir et que la sécheresse de l'été ne tarderait pas à s'installer.
Le brigadier Achille Marino se faisait fort d'être lui aussi pour quelque chose dans le maintien de la paix et de la concorde entre les villageois, conformément au but assigné à sa mission. Son rutilant uniforme, digne reflet de la magnificence du pouvoir, y était pour beaucoup. Il faisait grande impression. Seul, parmi cette population de paysans et de bergers, le brigadier Marino était porteur des insignes de l'Empire, qui assuraient la puissance de la loi à coups de dorures et de galons.
C'était dire que le harnachement de son cheval devait être à la hauteur. Le village n'avait jamais été aussi calme. Rien ne troublait sa paix. L'automne était particulièrement chaud et les vieilles pierres semblaient endormies sous le soleil nonchalant qui s'attardait, comme s'il avait oublié le rythme des saisons. Quelques belles averses avaient fait reverdir les prés. Et si on faisait abstraction, pendant un instant, du sens inéluctable de la marche du temps, il semblait qu'on revenait en arrière, que le printemps allait refleurir et que la sécheresse de l'été ne tarderait pas à s'installer.