Huguette Clara, diplômée de maitrise en littérature italienne, a fait de l'enseignement puis de la traduction auprès du CNRS. Parallèlement à ça elle est violoncelliste amateur.
Nouveauté
Chroniques de Couraurgues
Ombre Portée. Chroniques de Couraurgues - Tome 7
Par : Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages244
- FormatePub
- ISBN978-2-322-66764-2
- EAN9782322667642
- Date de parution15/07/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille455 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Depuis qu'Elodie s'est installée à Turin, Debrume consacre son temps à ses chevaux, sans pouvoir imaginer ne plus la revoir tant son amitié a pris de la place dans sa vie. Or Elodie disparaît brutalement, laissant pour seul indice un mot griffonné à la hâte où l'on reconnaît avec peine son écriture. Bouleversé par cette disparition, Debrume part avec Marthe pour rejoindre Utto en Italie afin de participer aux recherches.
Pendant ce temps à Couraurgues il y a des vols dans l'église et des disparitions de personnes.
Les villageois font de macabres découvertes dans le saloir aux cochons. Le brigadier Marino se lance dans l'enquête. En Italie la recherche d'Elodie piétine et Marthe exaspérée congédie Debrume, lequel passablement contrarié, retourne à Couraurgues pour assister Marino mais il disparaît à son tour. Voyager en train était une bien étrange expérience, s'étonnaient Marthe et Charles Debrume quand il se trouvèrent assis face à d'autres néophytes comme eux dans ce wagon où la chaleur était étouffante et le confort tout aussi rustique que celui d'une voiture à cheval.
Mais la voie ferrée inaugurée depuis peu entre Nice et Savone longeait la mer. Et cette côte escarpée à laquelle s'accrochaient de petits villages de couleur rose et ocre, où l'on s'arrêtait pour embarquer ou débarquer des voyageurs, ces terres nues à perte de vue, d'une beauté sauvage, évoquaient les voyages mythiques des héros de la Grèce antique. La lumière du soleil sur les vagues, diffractée en une myriade d'étincelles, les atteignait au visage sans qu'ils puissent s'en protéger : ajoutée au rythme des rails qui les secouait avec régularité et à la gêne due à la promiscuité des voyageurs, elle faisait peser sur Marthe une fatigue inattendue qui tombait mal à propos.
Voyager par le chemin de fer était aussi peu agréable que voyager par la poste, même si la durée du trajet était quelque peu réduite. L'odeur du crottin des chevaux était plus agréable que celle de la fumée du charbon qui noircissait tout, du sac de cuir aux vêtements et aux gants de daim clair qu'elle avait eu la mauvaise idée de choisir pour le voyage.
Les villageois font de macabres découvertes dans le saloir aux cochons. Le brigadier Marino se lance dans l'enquête. En Italie la recherche d'Elodie piétine et Marthe exaspérée congédie Debrume, lequel passablement contrarié, retourne à Couraurgues pour assister Marino mais il disparaît à son tour. Voyager en train était une bien étrange expérience, s'étonnaient Marthe et Charles Debrume quand il se trouvèrent assis face à d'autres néophytes comme eux dans ce wagon où la chaleur était étouffante et le confort tout aussi rustique que celui d'une voiture à cheval.
Mais la voie ferrée inaugurée depuis peu entre Nice et Savone longeait la mer. Et cette côte escarpée à laquelle s'accrochaient de petits villages de couleur rose et ocre, où l'on s'arrêtait pour embarquer ou débarquer des voyageurs, ces terres nues à perte de vue, d'une beauté sauvage, évoquaient les voyages mythiques des héros de la Grèce antique. La lumière du soleil sur les vagues, diffractée en une myriade d'étincelles, les atteignait au visage sans qu'ils puissent s'en protéger : ajoutée au rythme des rails qui les secouait avec régularité et à la gêne due à la promiscuité des voyageurs, elle faisait peser sur Marthe une fatigue inattendue qui tombait mal à propos.
Voyager par le chemin de fer était aussi peu agréable que voyager par la poste, même si la durée du trajet était quelque peu réduite. L'odeur du crottin des chevaux était plus agréable que celle de la fumée du charbon qui noircissait tout, du sac de cuir aux vêtements et aux gants de daim clair qu'elle avait eu la mauvaise idée de choisir pour le voyage.
Depuis qu'Elodie s'est installée à Turin, Debrume consacre son temps à ses chevaux, sans pouvoir imaginer ne plus la revoir tant son amitié a pris de la place dans sa vie. Or Elodie disparaît brutalement, laissant pour seul indice un mot griffonné à la hâte où l'on reconnaît avec peine son écriture. Bouleversé par cette disparition, Debrume part avec Marthe pour rejoindre Utto en Italie afin de participer aux recherches.
Pendant ce temps à Couraurgues il y a des vols dans l'église et des disparitions de personnes.
Les villageois font de macabres découvertes dans le saloir aux cochons. Le brigadier Marino se lance dans l'enquête. En Italie la recherche d'Elodie piétine et Marthe exaspérée congédie Debrume, lequel passablement contrarié, retourne à Couraurgues pour assister Marino mais il disparaît à son tour. Voyager en train était une bien étrange expérience, s'étonnaient Marthe et Charles Debrume quand il se trouvèrent assis face à d'autres néophytes comme eux dans ce wagon où la chaleur était étouffante et le confort tout aussi rustique que celui d'une voiture à cheval.
Mais la voie ferrée inaugurée depuis peu entre Nice et Savone longeait la mer. Et cette côte escarpée à laquelle s'accrochaient de petits villages de couleur rose et ocre, où l'on s'arrêtait pour embarquer ou débarquer des voyageurs, ces terres nues à perte de vue, d'une beauté sauvage, évoquaient les voyages mythiques des héros de la Grèce antique. La lumière du soleil sur les vagues, diffractée en une myriade d'étincelles, les atteignait au visage sans qu'ils puissent s'en protéger : ajoutée au rythme des rails qui les secouait avec régularité et à la gêne due à la promiscuité des voyageurs, elle faisait peser sur Marthe une fatigue inattendue qui tombait mal à propos.
Voyager par le chemin de fer était aussi peu agréable que voyager par la poste, même si la durée du trajet était quelque peu réduite. L'odeur du crottin des chevaux était plus agréable que celle de la fumée du charbon qui noircissait tout, du sac de cuir aux vêtements et aux gants de daim clair qu'elle avait eu la mauvaise idée de choisir pour le voyage.
Les villageois font de macabres découvertes dans le saloir aux cochons. Le brigadier Marino se lance dans l'enquête. En Italie la recherche d'Elodie piétine et Marthe exaspérée congédie Debrume, lequel passablement contrarié, retourne à Couraurgues pour assister Marino mais il disparaît à son tour. Voyager en train était une bien étrange expérience, s'étonnaient Marthe et Charles Debrume quand il se trouvèrent assis face à d'autres néophytes comme eux dans ce wagon où la chaleur était étouffante et le confort tout aussi rustique que celui d'une voiture à cheval.
Mais la voie ferrée inaugurée depuis peu entre Nice et Savone longeait la mer. Et cette côte escarpée à laquelle s'accrochaient de petits villages de couleur rose et ocre, où l'on s'arrêtait pour embarquer ou débarquer des voyageurs, ces terres nues à perte de vue, d'une beauté sauvage, évoquaient les voyages mythiques des héros de la Grèce antique. La lumière du soleil sur les vagues, diffractée en une myriade d'étincelles, les atteignait au visage sans qu'ils puissent s'en protéger : ajoutée au rythme des rails qui les secouait avec régularité et à la gêne due à la promiscuité des voyageurs, elle faisait peser sur Marthe une fatigue inattendue qui tombait mal à propos.
Voyager par le chemin de fer était aussi peu agréable que voyager par la poste, même si la durée du trajet était quelque peu réduite. L'odeur du crottin des chevaux était plus agréable que celle de la fumée du charbon qui noircissait tout, du sac de cuir aux vêtements et aux gants de daim clair qu'elle avait eu la mauvaise idée de choisir pour le voyage.