MORT A CREDIT DE CELINE. Une naissance payée comptant
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- Nombre de pages125
- PrésentationBroché
- Poids0.11 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-13-045780-0
- EAN9782130457800
- Date de parution01/11/1993
- CollectionLe texte rêve
- ÉditeurPUF
Résumé
" C'est naître qu'il aurait pas fallu !... " Mort à crédit décline les modalités biographiques et romanesques du malheur d'être né, tente d'en saisir l'origine à l'aide du fantasme de rétention utérine, le construit à partir de la collection des symptômes et des souvenirs d'enfance. Pour que la mère lâche prise encore eût-il fallu qu'un père prit consistance, cessât d'offrir le spectacle bouffon de son propre naufrage.
Les impasses du roman familial de Ferdinand sont celles de l'écriture célinienne, qui traîne péniblement sa vie dans le prologue, qui s'allège pour échapper à ce qui l'englue jusqu'à s'identifier à l'inconsistance du père. Que l'écriture échoue à solder l'hypothèque de la naissance la renvoie à l'impassibilité même qui la fonde et qui la met en mouvement.
Les impasses du roman familial de Ferdinand sont celles de l'écriture célinienne, qui traîne péniblement sa vie dans le prologue, qui s'allège pour échapper à ce qui l'englue jusqu'à s'identifier à l'inconsistance du père. Que l'écriture échoue à solder l'hypothèque de la naissance la renvoie à l'impassibilité même qui la fonde et qui la met en mouvement.
" C'est naître qu'il aurait pas fallu !... " Mort à crédit décline les modalités biographiques et romanesques du malheur d'être né, tente d'en saisir l'origine à l'aide du fantasme de rétention utérine, le construit à partir de la collection des symptômes et des souvenirs d'enfance. Pour que la mère lâche prise encore eût-il fallu qu'un père prit consistance, cessât d'offrir le spectacle bouffon de son propre naufrage.
Les impasses du roman familial de Ferdinand sont celles de l'écriture célinienne, qui traîne péniblement sa vie dans le prologue, qui s'allège pour échapper à ce qui l'englue jusqu'à s'identifier à l'inconsistance du père. Que l'écriture échoue à solder l'hypothèque de la naissance la renvoie à l'impassibilité même qui la fonde et qui la met en mouvement.
Les impasses du roman familial de Ferdinand sont celles de l'écriture célinienne, qui traîne péniblement sa vie dans le prologue, qui s'allège pour échapper à ce qui l'englue jusqu'à s'identifier à l'inconsistance du père. Que l'écriture échoue à solder l'hypothèque de la naissance la renvoie à l'impassibilité même qui la fonde et qui la met en mouvement.