Mes Loisirs, ou Journal d'événemens tels qu'ils parviennent à ma connoissance (1753 - 1789). Tome 10, 1788

Par : Siméon-Prosper Hardy
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  • Nombre de pages528
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.703 kg
  • Dimensions15,2 cm × 22,9 cm × 0,0 cm
  • ISBN979-10-370-4506-5
  • EAN9791037045065
  • Date de parution27/08/2025
  • CollectionLa République des Lettres
  • ÉditeurHermann

Résumé

Dans le fauteuil de son cabinet de travail, lunettes sur le nez, il dévore les imprimés du jour. Dans la rue, il observe ses compatriotes et sent l'agitation qui les traverse. Chez Edé son boulanger, il capte et partage les inquiétudes provoquées par l'augmentation effrénée du prix du pain. Nourri par ce faisceau d'informations, Siméon-Prosper Hardy poursuit la rédaction de son "histoire du temps présent" et noircit ses grands registres des faits et des rumeurs d'une société qui s'engorge.
Sous sa plume, 1788 multiplie les drames. Les désaccords s'avivent entre les parlements et la Cour. L'orage de juillet est dévastateur et aura des conséquences durables et dramatiques sur les récoltes. De la journée des Tuiles à Grenoble, aux émeutes du pont Neuf et de la place Dauphine à Paris, le peuple ne retient plus sa colère. Présentés comme une évidence dans toutes les brochures qui circulent dans le royaume, les Etats généraux, enfin, sont convoqués pour 1789.
Dans le fauteuil de son cabinet de travail, lunettes sur le nez, il dévore les imprimés du jour. Dans la rue, il observe ses compatriotes et sent l'agitation qui les traverse. Chez Edé son boulanger, il capte et partage les inquiétudes provoquées par l'augmentation effrénée du prix du pain. Nourri par ce faisceau d'informations, Siméon-Prosper Hardy poursuit la rédaction de son "histoire du temps présent" et noircit ses grands registres des faits et des rumeurs d'une société qui s'engorge.
Sous sa plume, 1788 multiplie les drames. Les désaccords s'avivent entre les parlements et la Cour. L'orage de juillet est dévastateur et aura des conséquences durables et dramatiques sur les récoltes. De la journée des Tuiles à Grenoble, aux émeutes du pont Neuf et de la place Dauphine à Paris, le peuple ne retient plus sa colère. Présentés comme une évidence dans toutes les brochures qui circulent dans le royaume, les Etats généraux, enfin, sont convoqués pour 1789.