Les violons ont toujours raison. Chroniques cinéma / télé 1998 - 1999
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- Nombre de pages333
- PrésentationBroché
- Poids0.515 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 2,6 cm
- ISBN2-13-051084-1
- EAN9782130510840
- Date de parution11/10/2000
- CollectionPerspectives critiques
- ÉditeurPUF
Résumé
Ecrire sur le cinéma, c'est réécrire le monde. Imaginer des royaumes parallèles, des pays pirates, des rêves crus. C'était encore possible au début des années soixante, quand la télévision n'avait pas achevé de faire du cinéma une industrie de recyclage, pour le meilleur et pour le pire. Depuis, c'est évidemment pire. Culturellement isolés par une exception absurde censée nous protéger du froid, nous ne sommes même plus capables de parler des films du seul endroit d'où ces films sont envisagés et produits : l'industrie mondiale des jeux vidéo.
Les textes de ce petit recueil viennent du froid. Ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des " spécialistes " du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour, il y a eu des films. Un jour, ils ont fait rêver des filles et des garçons. Et si on jouait au docteur ? L. S. Louis Skorecki écrit à Libération. Les violons ont toujours raison rassemble un peu plus de cent cinquante chroniques cinématographiques, parues dans ce journal entre 1998 et 1999.
Les textes de ce petit recueil viennent du froid. Ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des " spécialistes " du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour, il y a eu des films. Un jour, ils ont fait rêver des filles et des garçons. Et si on jouait au docteur ? L. S. Louis Skorecki écrit à Libération. Les violons ont toujours raison rassemble un peu plus de cent cinquante chroniques cinématographiques, parues dans ce journal entre 1998 et 1999.
Ecrire sur le cinéma, c'est réécrire le monde. Imaginer des royaumes parallèles, des pays pirates, des rêves crus. C'était encore possible au début des années soixante, quand la télévision n'avait pas achevé de faire du cinéma une industrie de recyclage, pour le meilleur et pour le pire. Depuis, c'est évidemment pire. Culturellement isolés par une exception absurde censée nous protéger du froid, nous ne sommes même plus capables de parler des films du seul endroit d'où ces films sont envisagés et produits : l'industrie mondiale des jeux vidéo.
Les textes de ce petit recueil viennent du froid. Ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des " spécialistes " du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour, il y a eu des films. Un jour, ils ont fait rêver des filles et des garçons. Et si on jouait au docteur ? L. S. Louis Skorecki écrit à Libération. Les violons ont toujours raison rassemble un peu plus de cent cinquante chroniques cinématographiques, parues dans ce journal entre 1998 et 1999.
Les textes de ce petit recueil viennent du froid. Ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des " spécialistes " du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour, il y a eu des films. Un jour, ils ont fait rêver des filles et des garçons. Et si on jouait au docteur ? L. S. Louis Skorecki écrit à Libération. Les violons ont toujours raison rassemble un peu plus de cent cinquante chroniques cinématographiques, parues dans ce journal entre 1998 et 1999.







