Les violons ont toujours raison. Chroniques cinéma - télé, 1998 - 1999

Par : Louis Skorecki, Paul Audi, Roland Jaccard

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  • Nombre de pages388
  • FormatePub
  • ISBN2-7059-1763-2
  • EAN9782705917630
  • Date de parution01/01/2000
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPresses universitaires de France...

Résumé

Écrire sur le cinéma, c'est réécrire le monde. Imaginer des royaumes parallèles, des pays pirates, des rêves crus. C'était encore possible au début des années soixante, quand la télévision n'avait pas achevé de faire du cinéma une industrie de recyclage, pour le meilleur et pour le pire. Depuis, c'est évidemment pire. Culturellement isolés par une exception absurde censée nous protéger du froid, nous ne sommes même plus capables de parler des films du seul endroit d'où ces films sont envisagés et produits : l'industrie mondiale des jeux vidéo.
Les textes de ce petit recueil viennent du froid. Ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des « spécialistes » du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour, il y a eu des films. Un jour, ils ont fait rêver des filles et des garçons. Et si on jouait au docteur ? L. S.
Écrire sur le cinéma, c'est réécrire le monde. Imaginer des royaumes parallèles, des pays pirates, des rêves crus. C'était encore possible au début des années soixante, quand la télévision n'avait pas achevé de faire du cinéma une industrie de recyclage, pour le meilleur et pour le pire. Depuis, c'est évidemment pire. Culturellement isolés par une exception absurde censée nous protéger du froid, nous ne sommes même plus capables de parler des films du seul endroit d'où ces films sont envisagés et produits : l'industrie mondiale des jeux vidéo.
Les textes de ce petit recueil viennent du froid. Ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des « spécialistes » du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour, il y a eu des films. Un jour, ils ont fait rêver des filles et des garçons. Et si on jouait au docteur ? L. S.