L'histoire, dès son départ, n'a rien de banal, elle est même extraordinaire : une vingtaine de personnages, issus de classes sociales diverses, mais étant tous gagnants d'une improbable loterie organisée par la ville de Buenos Aires, se retrouvent sur un bateau pour une croisière au destin inconnu. Les choses, évidemment, se compliquent, et ce qui était censé être un paisible séjour se révèle une aventure autrement mystérieuse, voire sordide, pendant lequel la quête de la vérité devient tout à coup le moteur et le noyau du récit.
Roman d'aventure, roman métaphysique, Les Gagnants est aussi le portrait critique, caricatural, d'une société tiraillée. Un roman qui nous laisse, tel un cocktail nouveau, une fois la dernière page tournée, la dernière gorgée bue, un goût bien étrange dans la bouche. Une certaine nostalgie. L'envie d'être là, avec ces personnages, de participer à leur histoire. Et l'envie, elle aussi prenante, de rouvrir le livre, à la première page, et de revivre cette aventure.
L'histoire, dès son départ, n'a rien de banal, elle est même extraordinaire : une vingtaine de personnages, issus de classes sociales diverses, mais étant tous gagnants d'une improbable loterie organisée par la ville de Buenos Aires, se retrouvent sur un bateau pour une croisière au destin inconnu. Les choses, évidemment, se compliquent, et ce qui était censé être un paisible séjour se révèle une aventure autrement mystérieuse, voire sordide, pendant lequel la quête de la vérité devient tout à coup le moteur et le noyau du récit.
Roman d'aventure, roman métaphysique, Les Gagnants est aussi le portrait critique, caricatural, d'une société tiraillée. Un roman qui nous laisse, tel un cocktail nouveau, une fois la dernière page tournée, la dernière gorgée bue, un goût bien étrange dans la bouche. Une certaine nostalgie. L'envie d'être là, avec ces personnages, de participer à leur histoire. Et l'envie, elle aussi prenante, de rouvrir le livre, à la première page, et de revivre cette aventure.