1720 à Pékin. Un Jésuite enseigne l’art de mémoire à un jeune prince mandchou, et s’éprend de son élève.
Grosse déception pour ce livre dont j'attendais une réflexion un peu plus fine. Il se lit comme une enfilade de clichés sur la Chine du XVIIIe siècle, à peine différents de ceux que l’on peut trouver dans la littérature de l’époque. Certaines scènes nauséeuses jouent sur de vieux préjugés racistes sans même avoir l’« excuse » du second degré ou de la critique.
Au vu des défauts précédents, les anachronismes ne sont que la cerise sur le gâteau, mais franchement, un Jésuite du début du XVIIIe qui cite Nerval, Beaumarchais et Marx ?!
1720 à Pékin. Un Jésuite enseigne l’art de mémoire à un jeune prince mandchou, et s’éprend de son élève.
Grosse déception pour ce livre dont j'attendais une réflexion un peu plus fine. Il se lit comme une enfilade de clichés sur la Chine du XVIIIe siècle, à peine différents de ceux que l’on peut trouver dans la littérature de l’époque. Certaines scènes nauséeuses jouent sur de vieux préjugés racistes sans même avoir l’« excuse » du second degré ou de la critique.
Au vu des défauts précédents, les anachronismes ne sont que la cerise sur le gâteau, mais franchement, un Jésuite du début du XVIIIe qui cite Nerval, Beaumarchais et Marx ?!