Le désir malade. (Dans un monde libre et sans tabous...)
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- Nombre de pages258
- PrésentationBroché
- Poids0.294 kg
- Dimensions13,0 cm × 22,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-7096-3105-1
- EAN9782709631051
- Date de parution18/05/2011
- ÉditeurJC Lattès
Résumé
Longtemps, le plaisir a été un péché, et la quête du plaisir, surtout lorsqu’il était déviant par rapport aux normes - masturbation, homosexualité, etc.- une maladie. Notre époque, depuis quelques décennies, l’a libéré. Puis elle en a contrôlé à nouveau l’usage, imposé ses normes au nom de la santé publique ou privée (tabac, alcool, sexe, etc.) Parallèlement, au nom de l’hygiène et de la valeur « bonheur », d’exercice de la liberté, elle en a fait une contrainte, un nouveau conformisme.
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter… Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé… A force de vouloir ainsi l’imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l’a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d’angoisse, de perte de l’estime de soi ; d’où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido… Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d’autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C’est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C’est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les…
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter… Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé… A force de vouloir ainsi l’imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l’a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d’angoisse, de perte de l’estime de soi ; d’où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido… Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d’autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C’est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C’est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les…
Longtemps, le plaisir a été un péché, et la quête du plaisir, surtout lorsqu’il était déviant par rapport aux normes - masturbation, homosexualité, etc.- une maladie. Notre époque, depuis quelques décennies, l’a libéré. Puis elle en a contrôlé à nouveau l’usage, imposé ses normes au nom de la santé publique ou privée (tabac, alcool, sexe, etc.) Parallèlement, au nom de l’hygiène et de la valeur « bonheur », d’exercice de la liberté, elle en a fait une contrainte, un nouveau conformisme.
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter… Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé… A force de vouloir ainsi l’imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l’a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d’angoisse, de perte de l’estime de soi ; d’où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido… Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d’autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C’est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C’est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les…
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter… Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé… A force de vouloir ainsi l’imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l’a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d’angoisse, de perte de l’estime de soi ; d’où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido… Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d’autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C’est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C’est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les…