Le désir malade
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- Nombre de pages200
- FormatePub
- ISBN978-2-7096-3756-5
- EAN9782709637565
- Date de parution18/05/2011
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille365 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurJC Lattès
Résumé
Longtemps, le plaisir a été un péché, et la quête du plaisir, surtout lorsqu'il était déviant par rapport aux normes - masturbation, homosexualité, etc.- une maladie. Notre époque, depuis quelques décennies, l'a libéré. Puis elle en a contrôlé à nouveau l'usage, imposé ses normes au nom de la santé publique ou privée (tabac, alcool, sexe, etc.) Parallèlement, au nom de l'hygiène et de la valeur « bonheur », d'exercice de la liberté, elle en a fait une contrainte, un nouveau conformisme.
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter. Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé. A force de vouloir ainsi l'imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l'a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d'angoisse, de perte de l'estime de soi ; d'où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido. Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d'autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C'est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C'est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les.
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter. Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé. A force de vouloir ainsi l'imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l'a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d'angoisse, de perte de l'estime de soi ; d'où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido. Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d'autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C'est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C'est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les.
Longtemps, le plaisir a été un péché, et la quête du plaisir, surtout lorsqu'il était déviant par rapport aux normes - masturbation, homosexualité, etc.- une maladie. Notre époque, depuis quelques décennies, l'a libéré. Puis elle en a contrôlé à nouveau l'usage, imposé ses normes au nom de la santé publique ou privée (tabac, alcool, sexe, etc.) Parallèlement, au nom de l'hygiène et de la valeur « bonheur », d'exercice de la liberté, elle en a fait une contrainte, un nouveau conformisme.
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter. Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé. A force de vouloir ainsi l'imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l'a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d'angoisse, de perte de l'estime de soi ; d'où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido. Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d'autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C'est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C'est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les.
Vous ne jouissez pas ? Allez consulter. Le plaisir, obligatoire pour tous, mais de plus en plus contrôlé. A force de vouloir ainsi l'imposer à tous, et sous une norme unique, notre société l'a peut-être « rendu malade », cause de souffrance, d'angoisse, de perte de l'estime de soi ; d'où le développement des « maladies du désir » -boulimie, anorexie, addictions, ou absence de libido. Et si, pour retrouver le vrai sens du désir, il fallait le réinvestir de sa liberté, de sa capacité à générer des excès, à accepter ses déviances, voire ses transgressions ? Tout en sachant trouver une expression respectueuse d'autrui de cette liberté individuelle, bien sûr. C'est à cette seule condition que le désir, qui a été infantilisé, pourra redevenir « adulte », libre - mais aussi responsable -.
Porteur de sens et de bonheur. C'est toute la réflexion de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak. Suivons-les.















