La Petite Fabrique du bonheur

Par : Alice Quinn
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  • Nombre de pages442
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.397 kg
  • Dimensions13,0 cm × 18,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN979-10-359-4499-5
  • EAN9791035944995
  • Date de parution25/05/2020
  • CollectionAlliage poche
  • ÉditeurEditions Alliage

Résumé

Un roman feel good sur la résilience et le pouvoir de l'amour. Meryl est une jeune danseuse brisée en plein élan par un accident. Elle devient serveuse à La Petite Fabrique, café fréquenté par des personnes meurtries par la vie. Elle y rencontre Robin, sportif qui cache sa blessure derrière un comportement asocial. Une tendre histoire d'amour se tisse au fil des pages de ce roman feelgood, sous le regard bienveillant d'êtres qui cherchent à se reconstruire.
Ce récit de destins entrecroisés, tissé d'émotions, se déroule au temps du coronavirus, acteur involontaire qui s'est introduit sans prévenir dans le roman comme dans notre quotidien. Heureusement grâce à ses goûters littéraires, Amanda, la patronne de "La Petite Fabrique du Bonheur" redonne de l'espoir aux plus cabossés. Et si pour retrouver le goût du bonheur, il suffisait d'un simple chocolat chaud, d'un chat porte-bonheur et d'un bon livre, le tout saupoudré de l'étincelle de l'amitié et de l'irrésistible force de l'amour ?
Un roman feel good sur la résilience et le pouvoir de l'amour. Meryl est une jeune danseuse brisée en plein élan par un accident. Elle devient serveuse à La Petite Fabrique, café fréquenté par des personnes meurtries par la vie. Elle y rencontre Robin, sportif qui cache sa blessure derrière un comportement asocial. Une tendre histoire d'amour se tisse au fil des pages de ce roman feelgood, sous le regard bienveillant d'êtres qui cherchent à se reconstruire.
Ce récit de destins entrecroisés, tissé d'émotions, se déroule au temps du coronavirus, acteur involontaire qui s'est introduit sans prévenir dans le roman comme dans notre quotidien. Heureusement grâce à ses goûters littéraires, Amanda, la patronne de "La Petite Fabrique du Bonheur" redonne de l'espoir aux plus cabossés. Et si pour retrouver le goût du bonheur, il suffisait d'un simple chocolat chaud, d'un chat porte-bonheur et d'un bon livre, le tout saupoudré de l'étincelle de l'amitié et de l'irrésistible force de l'amour ?

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Une véritable bouffée d'oxygène en plein Covid !
Merci à Alice pour m’avoir permis de découvrir son nouveau roman avant sa sortie. J’ai passé un agréable moment de lecture, j’adore ces âmes brisées qui trouvent un sens, une lumière grâce à un lieu et/ou à des personnes. Je ne savais pas à trop quoi m’attendre quand j’ai compris que le Coronavirus faisait partie de l’histoire, j’ai vu bon nombre de livres paraître centré sur le Coronavirus ou comment se faire de l’argent sur une catastrophe mondiale. Alice l’a très bien intégré, sans en faire trop, en se mettant à la place de tous les Français qui ne savent pas qui croire face aux mesures qui se contredisent tout le temps et certaines qui n’ont aucun sens. 2006. Meryl est l’enjeu des rêves de son père. Pour être sa fille parfaite, elle s’entraîne pour intégrer une prestigieuse école de danse. A l’inverse des autres pères, le sien ne fait que l’entraîner, ne fait que la juger, elle est devenue sa marionnette, sa chose. Pour espérer son amour, elle s’auto-culpabilise en permanence comme ce fut le cas lorsqu’elle n’a pas été retenue à l’audition dont son père rêvait pour sa carrière de danseuse étoile. Janvier 2020. C’est sous un déluge que Meryl arrive à La Petite Fabrique, le café local tenu par Amanda et Antoine où se côtoient des habitués comme Hélène, une bibliothécaire qui fait tout pour rester invisible ; Amédée, aveugle accompagné de sa chienne Flora, Amanda qui tient à sauver les âmes perdues, humains ou animaux… C’est ici que Meryl qui se sent coupable de tout va découvrir qu’elle peut aider beaucoup de gens et va retrouver goût à la vie. Serveuse, elle se sent bien dans La Petite Fabrique avec ses habitués et notamment Robin qui est comme elle, une âme égarée. Réciproquement, ils sont attirés l’un par l’autre mais leur culpabilité et leurs secrets vont-elles ruiner toutes tentatives de premier pas ? Meryl retrouvera-t-elle le goût de son rêve perdu avant même qu’il ait commencé ? Robin saura-t’il trouver un sens à sa vie qui lui paraît si vide, si inutile ? Le combat s’annonce rude et il leur faudra lutter pour une fin heureuse ! Sur fond de Coronavirus, Alice Quinn dévoile un beau feel-good sur ces lieux improbables où on soigne les vies brisées. Les rêves, les espoirs, l’amour… La liberté d’Alice et celle que prennent ses personnages sont une force et que dire de la manière dont perçoivent les habitués de La Petite Fabrique du confinement, des mesures du gouvernement… C’est ce qu’ont pensé les français, de par leurs avis, leurs caractères, on a l’impression d’échanger nos points de vue avec eux. Plus qu’un feel-good, Alice Quinn nous fait connaître des gens pour qui l’entraide est le quotidien, un moment de partage où le temps de notre lecture, on a l’impression de faire partit nous aussi d’une famille. Hommage à mes racines italiennes, l’auteur donne son avis sur le plan mis en place par le gouvernement face à cette pandémie, amenant une réflexion et une prise de conscience. La résilience et la renaissance quand tout nous semble perdu, que notre vie est décidée d’avance, l’impression de n’être plus libre de ce que l’on veut être, d’être incompris, de ne pas se sentir intégré dans une société où on ne rentre pas dans les cases… Cette histoire a fait écho en moi de par les ressemblances avec Meryl, je suis très fière d’avoir pu découvrir son histoire grâce à la gentillesse de son auteur. Dans ce lieu si accueillant, Meryl va prendre confiance en elle et se lancer dans des initiatives pour éviter que son refuge ne soit fermé. Un club de lecture entre mélange des sens et du goût, un chat particulier, un bon chocolat chaud, une écoute et un intérêt dénué d’intérêts pour chacun, La Petite Fabrique a une âme, celle des nombreuses personnes qui veulent une fin heureuse. Tout comme ce virus dont on ne sait quasiment rien et qui a semé la paranoïa dans toute la France, le Coronavirus sème le chaos parmi les habitudes des clients quotidiens de La Petite Fabrique… N’hésitez pas à découvrir le nouveau roman d’Alice Quinn, une vraie bouffée d’oxygène et de vie qui permet une certaine réflexion sur ce qui est important en ces temps où notre vie n’est qu’un chiffre pour certains et où l’humain est au cœur de la vie pour d’autres ! Prenez le temps de vous installer confortablement avec un bon chocolat chaud accompagné d’une madeleine au cours d’une séance de lecture avec un chat polydactyle sur vos genoux… Vous êtes au bon endroit, à La Petite Fabrique où on répare les âmes brisées !
Merci à Alice pour m’avoir permis de découvrir son nouveau roman avant sa sortie. J’ai passé un agréable moment de lecture, j’adore ces âmes brisées qui trouvent un sens, une lumière grâce à un lieu et/ou à des personnes. Je ne savais pas à trop quoi m’attendre quand j’ai compris que le Coronavirus faisait partie de l’histoire, j’ai vu bon nombre de livres paraître centré sur le Coronavirus ou comment se faire de l’argent sur une catastrophe mondiale. Alice l’a très bien intégré, sans en faire trop, en se mettant à la place de tous les Français qui ne savent pas qui croire face aux mesures qui se contredisent tout le temps et certaines qui n’ont aucun sens. 2006. Meryl est l’enjeu des rêves de son père. Pour être sa fille parfaite, elle s’entraîne pour intégrer une prestigieuse école de danse. A l’inverse des autres pères, le sien ne fait que l’entraîner, ne fait que la juger, elle est devenue sa marionnette, sa chose. Pour espérer son amour, elle s’auto-culpabilise en permanence comme ce fut le cas lorsqu’elle n’a pas été retenue à l’audition dont son père rêvait pour sa carrière de danseuse étoile. Janvier 2020. C’est sous un déluge que Meryl arrive à La Petite Fabrique, le café local tenu par Amanda et Antoine où se côtoient des habitués comme Hélène, une bibliothécaire qui fait tout pour rester invisible ; Amédée, aveugle accompagné de sa chienne Flora, Amanda qui tient à sauver les âmes perdues, humains ou animaux… C’est ici que Meryl qui se sent coupable de tout va découvrir qu’elle peut aider beaucoup de gens et va retrouver goût à la vie. Serveuse, elle se sent bien dans La Petite Fabrique avec ses habitués et notamment Robin qui est comme elle, une âme égarée. Réciproquement, ils sont attirés l’un par l’autre mais leur culpabilité et leurs secrets vont-elles ruiner toutes tentatives de premier pas ? Meryl retrouvera-t-elle le goût de son rêve perdu avant même qu’il ait commencé ? Robin saura-t’il trouver un sens à sa vie qui lui paraît si vide, si inutile ? Le combat s’annonce rude et il leur faudra lutter pour une fin heureuse ! Sur fond de Coronavirus, Alice Quinn dévoile un beau feel-good sur ces lieux improbables où on soigne les vies brisées. Les rêves, les espoirs, l’amour… La liberté d’Alice et celle que prennent ses personnages sont une force et que dire de la manière dont perçoivent les habitués de La Petite Fabrique du confinement, des mesures du gouvernement… C’est ce qu’ont pensé les français, de par leurs avis, leurs caractères, on a l’impression d’échanger nos points de vue avec eux. Plus qu’un feel-good, Alice Quinn nous fait connaître des gens pour qui l’entraide est le quotidien, un moment de partage où le temps de notre lecture, on a l’impression de faire partit nous aussi d’une famille. Hommage à mes racines italiennes, l’auteur donne son avis sur le plan mis en place par le gouvernement face à cette pandémie, amenant une réflexion et une prise de conscience. La résilience et la renaissance quand tout nous semble perdu, que notre vie est décidée d’avance, l’impression de n’être plus libre de ce que l’on veut être, d’être incompris, de ne pas se sentir intégré dans une société où on ne rentre pas dans les cases… Cette histoire a fait écho en moi de par les ressemblances avec Meryl, je suis très fière d’avoir pu découvrir son histoire grâce à la gentillesse de son auteur. Dans ce lieu si accueillant, Meryl va prendre confiance en elle et se lancer dans des initiatives pour éviter que son refuge ne soit fermé. Un club de lecture entre mélange des sens et du goût, un chat particulier, un bon chocolat chaud, une écoute et un intérêt dénué d’intérêts pour chacun, La Petite Fabrique a une âme, celle des nombreuses personnes qui veulent une fin heureuse. Tout comme ce virus dont on ne sait quasiment rien et qui a semé la paranoïa dans toute la France, le Coronavirus sème le chaos parmi les habitudes des clients quotidiens de La Petite Fabrique… N’hésitez pas à découvrir le nouveau roman d’Alice Quinn, une vraie bouffée d’oxygène et de vie qui permet une certaine réflexion sur ce qui est important en ces temps où notre vie n’est qu’un chiffre pour certains et où l’humain est au cœur de la vie pour d’autres ! Prenez le temps de vous installer confortablement avec un bon chocolat chaud accompagné d’une madeleine au cours d’une séance de lecture avec un chat polydactyle sur vos genoux… Vous êtes au bon endroit, à La Petite Fabrique où on répare les âmes brisées !
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