La matrice de l'âme : Le siège des antennes psychiques. Tome I. L'effet de l'esprit sur le corps. De l'unité du Soi à la matrice énergétique.. Tome I. L'effet de l'esprit sur le corps. De l'unité du Soi à la matrice énergétique.

Par : Sekou Sanogo

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  • Nombre de pages842
  • PrésentationBroché
  • Poids2.113 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 6,1 cm
  • ISBN978-2-312-02358-8
  • EAN9782312023588
  • Date de parution05/08/2014
  • ÉditeurDU NET

Résumé

Penser le Cosmos est un acte qui l'introduit dans notre organisme et le vivifie, un acte souverain et sublime qui nous projette, lentement mais sûrement, par des chemins inconnus vers la transparence de la Vérité. Une vérité qui fait résonner notre âme aux dimensions de son essence spirituelle. Il faut y parvenir consciemment et maintenir cette attitude. C'est difficile, car cela implique l'entraînement aux paradoxes, qui est le secret du désintéressement spirituel.
Sous cet angle optique, elle permet de toucher à ce "terrain fondamental" de toute existence qui, remarque Krishnamurti, au-delà de la pensée, du temps, du "moi" , de toute chose, n'est qu'énergie et ondes de forme. Aussi David Bohm nous enseigne-t-il que l'assimilation de ce terrain fondamental par la science à la matière ne répond pas aux aspects les plus intérieurs de notre vie. La science, en même temps qu'elle progresse à pas de géant, ne marque-t- elle pas elle-même ses limites ?
Penser le Cosmos est un acte qui l'introduit dans notre organisme et le vivifie, un acte souverain et sublime qui nous projette, lentement mais sûrement, par des chemins inconnus vers la transparence de la Vérité. Une vérité qui fait résonner notre âme aux dimensions de son essence spirituelle. Il faut y parvenir consciemment et maintenir cette attitude. C'est difficile, car cela implique l'entraînement aux paradoxes, qui est le secret du désintéressement spirituel.
Sous cet angle optique, elle permet de toucher à ce "terrain fondamental" de toute existence qui, remarque Krishnamurti, au-delà de la pensée, du temps, du "moi" , de toute chose, n'est qu'énergie et ondes de forme. Aussi David Bohm nous enseigne-t-il que l'assimilation de ce terrain fondamental par la science à la matière ne répond pas aux aspects les plus intérieurs de notre vie. La science, en même temps qu'elle progresse à pas de géant, ne marque-t- elle pas elle-même ses limites ?