La matrice de l'âme : Le siège des antennes psychiques. Tome I. L'effet de l'esprit sur le corps. De l'unité du Soi à la matrice énergétique.. Tome I. L'effet de l'esprit sur le corps. De l'unité du Soi à la matrice énergétique.
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- Nombre de pages842
- FormatePub
- ISBN978-2-312-02360-1
- EAN9782312023601
- Date de parution05/08/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille54 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Éditions du Net
Résumé
Penser le Cosmos est un acte qui l'introduit dans notre organisme et le vivifie, un acte souverain et sublime qui nous projette, lentement mais sûrement, par des chemins inconnus vers la transparence de la Vérité. Une vérité qui fait résonner notre âme aux dimensions de son essence spirituelle. Il faut y parvenir consciemment et maintenir cette attitude. C'est difficile, car cela implique l'entraînement aux paradoxes, qui est le secret du désintéressement spirituel.
Sous cet angle optique, elle permet de toucher à ce « terrain fondamental » de toute existence qui, remarque Krishnamurti, au-delà de la pensée, du temps, du « moi », de toute chose, n'est qu'énergie et ondes de forme. Aussi David Bohm nous enseigne-t-il que l'assimilation de ce terrain fondamental par la science à la matière ne répond pas aux aspects les plus intérieurs de notre vie. La science, en même temps qu'elle progresse à pas de géant, ne marque-t- elle pas elle-même ses limites?.
La Vérité met en résonnance les réactions intimes de notre faculté de discernement et de notre conscience avec ses immenses capacités d'ouvertures sur la vie. Et ceci, à part entière dans l'Upanishad Brihad-Aramyaka, il est dit : De l'irréel, conduis-moi au réel ! De l'obscurité, conduis-moi à la lumière ! De la mort, conduis-moi à l'immortalité. Le tranchant de la science ne se rapproche-t-il pas plus près des sujets relatifs à Dieu ? L'Esprit existe, nous le vivons et l'éprouvons à chaque instant.
Mais il reste insaisissable. Qu'est-il exactement, cet esprit qui nous habite ? Comment, par ailleurs, notre conscience dialogue-t-elle avec notre corps, c'est-à-dire avec la matière grossière, avec l'Esprit de l'Âme Divine ?
Sous cet angle optique, elle permet de toucher à ce « terrain fondamental » de toute existence qui, remarque Krishnamurti, au-delà de la pensée, du temps, du « moi », de toute chose, n'est qu'énergie et ondes de forme. Aussi David Bohm nous enseigne-t-il que l'assimilation de ce terrain fondamental par la science à la matière ne répond pas aux aspects les plus intérieurs de notre vie. La science, en même temps qu'elle progresse à pas de géant, ne marque-t- elle pas elle-même ses limites?.
La Vérité met en résonnance les réactions intimes de notre faculté de discernement et de notre conscience avec ses immenses capacités d'ouvertures sur la vie. Et ceci, à part entière dans l'Upanishad Brihad-Aramyaka, il est dit : De l'irréel, conduis-moi au réel ! De l'obscurité, conduis-moi à la lumière ! De la mort, conduis-moi à l'immortalité. Le tranchant de la science ne se rapproche-t-il pas plus près des sujets relatifs à Dieu ? L'Esprit existe, nous le vivons et l'éprouvons à chaque instant.
Mais il reste insaisissable. Qu'est-il exactement, cet esprit qui nous habite ? Comment, par ailleurs, notre conscience dialogue-t-elle avec notre corps, c'est-à-dire avec la matière grossière, avec l'Esprit de l'Âme Divine ?
Penser le Cosmos est un acte qui l'introduit dans notre organisme et le vivifie, un acte souverain et sublime qui nous projette, lentement mais sûrement, par des chemins inconnus vers la transparence de la Vérité. Une vérité qui fait résonner notre âme aux dimensions de son essence spirituelle. Il faut y parvenir consciemment et maintenir cette attitude. C'est difficile, car cela implique l'entraînement aux paradoxes, qui est le secret du désintéressement spirituel.
Sous cet angle optique, elle permet de toucher à ce « terrain fondamental » de toute existence qui, remarque Krishnamurti, au-delà de la pensée, du temps, du « moi », de toute chose, n'est qu'énergie et ondes de forme. Aussi David Bohm nous enseigne-t-il que l'assimilation de ce terrain fondamental par la science à la matière ne répond pas aux aspects les plus intérieurs de notre vie. La science, en même temps qu'elle progresse à pas de géant, ne marque-t- elle pas elle-même ses limites?.
La Vérité met en résonnance les réactions intimes de notre faculté de discernement et de notre conscience avec ses immenses capacités d'ouvertures sur la vie. Et ceci, à part entière dans l'Upanishad Brihad-Aramyaka, il est dit : De l'irréel, conduis-moi au réel ! De l'obscurité, conduis-moi à la lumière ! De la mort, conduis-moi à l'immortalité. Le tranchant de la science ne se rapproche-t-il pas plus près des sujets relatifs à Dieu ? L'Esprit existe, nous le vivons et l'éprouvons à chaque instant.
Mais il reste insaisissable. Qu'est-il exactement, cet esprit qui nous habite ? Comment, par ailleurs, notre conscience dialogue-t-elle avec notre corps, c'est-à-dire avec la matière grossière, avec l'Esprit de l'Âme Divine ?
Sous cet angle optique, elle permet de toucher à ce « terrain fondamental » de toute existence qui, remarque Krishnamurti, au-delà de la pensée, du temps, du « moi », de toute chose, n'est qu'énergie et ondes de forme. Aussi David Bohm nous enseigne-t-il que l'assimilation de ce terrain fondamental par la science à la matière ne répond pas aux aspects les plus intérieurs de notre vie. La science, en même temps qu'elle progresse à pas de géant, ne marque-t- elle pas elle-même ses limites?.
La Vérité met en résonnance les réactions intimes de notre faculté de discernement et de notre conscience avec ses immenses capacités d'ouvertures sur la vie. Et ceci, à part entière dans l'Upanishad Brihad-Aramyaka, il est dit : De l'irréel, conduis-moi au réel ! De l'obscurité, conduis-moi à la lumière ! De la mort, conduis-moi à l'immortalité. Le tranchant de la science ne se rapproche-t-il pas plus près des sujets relatifs à Dieu ? L'Esprit existe, nous le vivons et l'éprouvons à chaque instant.
Mais il reste insaisissable. Qu'est-il exactement, cet esprit qui nous habite ? Comment, par ailleurs, notre conscience dialogue-t-elle avec notre corps, c'est-à-dire avec la matière grossière, avec l'Esprit de l'Âme Divine ?