La douleur et le droit. [actes du colloque, Montpellier
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- Nombre de pages514
- PrésentationBroché
- Poids0.69 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,6 cm × 3,0 cm
- ISBN2-13-048944-3
- EAN9782130489443
- Date de parution02/12/1997
- ÉditeurPUF
Résumé
Douleurs muettes, douleurs racontées, douleurs vécues... il fallait bien qu'un jour, parmi les nombreuses monographies jalonnant l'approche de la douleur, les juristes viennent apporter leur contribution. Par leur "savoir", ils se situent à tous les maillons d'une longue chaîne comme à ses deux extrémités: la douleur qu'on utilise et celle qu'on répare. Quel a donc pu être leur rapport à une meilleure compréhension, à une définition de la douleur ? La chose était suffisamment osée (et surprenante si l'on en juge par le questionnement amusé des psychiatres intrigués par cet intérêt des juristes) pour que soient réunis dans cette démarche des spécialistes venant d'horizons différents et qu'ait été donnée à tous une grande liberté dans l'approche choisie.
Un essai en fin de compte, mêlant l'histoire à la jurisprudence la plus récente, passant de la torture à la répression de la barbarie, plongeant dans les traditions africaines ou indiennes comme dans l'approche du droit communautaire le plus moderne, s'interrogeant sur "le coeur des juristes" ou sur "leurs larmes", allant même jusqu'à s'interroger sur l'efficacité des drogues artisanales dont usaient les accusés soumis à la torture judiciaire.
Un essai hors du temps, hors des modes, cherchant à concilier la recherche la plus sérieuse et les questions les plus originales, confrontant sociologues, juristes et historiens du droit, universitaires et chercheurs, jeunes chercheurs et leurs anciens, sur un thème associant la douleur, connue de tous et si personnelle, à un art, le droit, qui entend régir le tout et "attribuer à chacun le sien".
Un essai enfin, qui n'a pas tout dit mais qui a donné "faim" pour d'autres tables rondes et qui peut tenter un lecteur, pas nécessairement juriste ou historien ou sociologue, mais curieux d'un rapprochement qui n'avait pas encore été fait.
Un essai en fin de compte, mêlant l'histoire à la jurisprudence la plus récente, passant de la torture à la répression de la barbarie, plongeant dans les traditions africaines ou indiennes comme dans l'approche du droit communautaire le plus moderne, s'interrogeant sur "le coeur des juristes" ou sur "leurs larmes", allant même jusqu'à s'interroger sur l'efficacité des drogues artisanales dont usaient les accusés soumis à la torture judiciaire.
Un essai hors du temps, hors des modes, cherchant à concilier la recherche la plus sérieuse et les questions les plus originales, confrontant sociologues, juristes et historiens du droit, universitaires et chercheurs, jeunes chercheurs et leurs anciens, sur un thème associant la douleur, connue de tous et si personnelle, à un art, le droit, qui entend régir le tout et "attribuer à chacun le sien".
Un essai enfin, qui n'a pas tout dit mais qui a donné "faim" pour d'autres tables rondes et qui peut tenter un lecteur, pas nécessairement juriste ou historien ou sociologue, mais curieux d'un rapprochement qui n'avait pas encore été fait.
Douleurs muettes, douleurs racontées, douleurs vécues... il fallait bien qu'un jour, parmi les nombreuses monographies jalonnant l'approche de la douleur, les juristes viennent apporter leur contribution. Par leur "savoir", ils se situent à tous les maillons d'une longue chaîne comme à ses deux extrémités: la douleur qu'on utilise et celle qu'on répare. Quel a donc pu être leur rapport à une meilleure compréhension, à une définition de la douleur ? La chose était suffisamment osée (et surprenante si l'on en juge par le questionnement amusé des psychiatres intrigués par cet intérêt des juristes) pour que soient réunis dans cette démarche des spécialistes venant d'horizons différents et qu'ait été donnée à tous une grande liberté dans l'approche choisie.
Un essai en fin de compte, mêlant l'histoire à la jurisprudence la plus récente, passant de la torture à la répression de la barbarie, plongeant dans les traditions africaines ou indiennes comme dans l'approche du droit communautaire le plus moderne, s'interrogeant sur "le coeur des juristes" ou sur "leurs larmes", allant même jusqu'à s'interroger sur l'efficacité des drogues artisanales dont usaient les accusés soumis à la torture judiciaire.
Un essai hors du temps, hors des modes, cherchant à concilier la recherche la plus sérieuse et les questions les plus originales, confrontant sociologues, juristes et historiens du droit, universitaires et chercheurs, jeunes chercheurs et leurs anciens, sur un thème associant la douleur, connue de tous et si personnelle, à un art, le droit, qui entend régir le tout et "attribuer à chacun le sien".
Un essai enfin, qui n'a pas tout dit mais qui a donné "faim" pour d'autres tables rondes et qui peut tenter un lecteur, pas nécessairement juriste ou historien ou sociologue, mais curieux d'un rapprochement qui n'avait pas encore été fait.
Un essai en fin de compte, mêlant l'histoire à la jurisprudence la plus récente, passant de la torture à la répression de la barbarie, plongeant dans les traditions africaines ou indiennes comme dans l'approche du droit communautaire le plus moderne, s'interrogeant sur "le coeur des juristes" ou sur "leurs larmes", allant même jusqu'à s'interroger sur l'efficacité des drogues artisanales dont usaient les accusés soumis à la torture judiciaire.
Un essai hors du temps, hors des modes, cherchant à concilier la recherche la plus sérieuse et les questions les plus originales, confrontant sociologues, juristes et historiens du droit, universitaires et chercheurs, jeunes chercheurs et leurs anciens, sur un thème associant la douleur, connue de tous et si personnelle, à un art, le droit, qui entend régir le tout et "attribuer à chacun le sien".
Un essai enfin, qui n'a pas tout dit mais qui a donné "faim" pour d'autres tables rondes et qui peut tenter un lecteur, pas nécessairement juriste ou historien ou sociologue, mais curieux d'un rapprochement qui n'avait pas encore été fait.