Dernière sortie
Gabon entre tradition et post-modernité
Comment se moderniser sans désacraliser ? Comment se
développer sans ignorer les facteurs socio-anthropologiques ? Sur ces questionnements, il est difficile d'apporter des réponses toutes faites. Le présent ouvrage propose une réflexion d'ensemble sur les
transformations sociales et culturelles rapides qui affectent la société gabonaise. Il analyse la coexistence de deux matrices, tradition et post-modernité, qui n'engendrent pas toujours une complémentarité
harmonieuse.
Alors que les progrès technoéconomiques sont réels mais encore lents, le Gabon ne résiste pas à la mutation post-moderne qui se manifeste par l'apparition d'énergies nouvelles, de l'informatique, de l'Internet, l'affirmation de l'égolâtrie, l'impuissance des groupes d'accueil de la personne (famille, lignage, unité résidentielle, l'alliance avec les puissances telluriennes), mais aussi par l'hétéroculture (situation duale qui se caractérise par l'opposition des modèles culturels) et surtout la dysculturation (conséquence d'effets pervers des avancées technologiques et des progrès au rythme trop précipité et souvent mal assimilés).
Face à cette situation, il est plus que nécessaire de sauvegarder le système des valeurs traditionnelles représentées par les structures d'accueil de co-descendance, de co-résidence et de co-transcendance. Cette sauvegarde ne signifie nullement un enfermement dans le passé, elle évoque plutôt l'idée d'un métissage inéluctable aujourd'hui à la survie de la société gabonaise.
Alors que les progrès technoéconomiques sont réels mais encore lents, le Gabon ne résiste pas à la mutation post-moderne qui se manifeste par l'apparition d'énergies nouvelles, de l'informatique, de l'Internet, l'affirmation de l'égolâtrie, l'impuissance des groupes d'accueil de la personne (famille, lignage, unité résidentielle, l'alliance avec les puissances telluriennes), mais aussi par l'hétéroculture (situation duale qui se caractérise par l'opposition des modèles culturels) et surtout la dysculturation (conséquence d'effets pervers des avancées technologiques et des progrès au rythme trop précipité et souvent mal assimilés).
Face à cette situation, il est plus que nécessaire de sauvegarder le système des valeurs traditionnelles représentées par les structures d'accueil de co-descendance, de co-résidence et de co-transcendance. Cette sauvegarde ne signifie nullement un enfermement dans le passé, elle évoque plutôt l'idée d'un métissage inéluctable aujourd'hui à la survie de la société gabonaise.
Comment se moderniser sans désacraliser ? Comment se
développer sans ignorer les facteurs socio-anthropologiques ? Sur ces questionnements, il est difficile d'apporter des réponses toutes faites. Le présent ouvrage propose une réflexion d'ensemble sur les
transformations sociales et culturelles rapides qui affectent la société gabonaise. Il analyse la coexistence de deux matrices, tradition et post-modernité, qui n'engendrent pas toujours une complémentarité
harmonieuse.
Alors que les progrès technoéconomiques sont réels mais encore lents, le Gabon ne résiste pas à la mutation post-moderne qui se manifeste par l'apparition d'énergies nouvelles, de l'informatique, de l'Internet, l'affirmation de l'égolâtrie, l'impuissance des groupes d'accueil de la personne (famille, lignage, unité résidentielle, l'alliance avec les puissances telluriennes), mais aussi par l'hétéroculture (situation duale qui se caractérise par l'opposition des modèles culturels) et surtout la dysculturation (conséquence d'effets pervers des avancées technologiques et des progrès au rythme trop précipité et souvent mal assimilés).
Face à cette situation, il est plus que nécessaire de sauvegarder le système des valeurs traditionnelles représentées par les structures d'accueil de co-descendance, de co-résidence et de co-transcendance. Cette sauvegarde ne signifie nullement un enfermement dans le passé, elle évoque plutôt l'idée d'un métissage inéluctable aujourd'hui à la survie de la société gabonaise.
Alors que les progrès technoéconomiques sont réels mais encore lents, le Gabon ne résiste pas à la mutation post-moderne qui se manifeste par l'apparition d'énergies nouvelles, de l'informatique, de l'Internet, l'affirmation de l'égolâtrie, l'impuissance des groupes d'accueil de la personne (famille, lignage, unité résidentielle, l'alliance avec les puissances telluriennes), mais aussi par l'hétéroculture (situation duale qui se caractérise par l'opposition des modèles culturels) et surtout la dysculturation (conséquence d'effets pervers des avancées technologiques et des progrès au rythme trop précipité et souvent mal assimilés).
Face à cette situation, il est plus que nécessaire de sauvegarder le système des valeurs traditionnelles représentées par les structures d'accueil de co-descendance, de co-résidence et de co-transcendance. Cette sauvegarde ne signifie nullement un enfermement dans le passé, elle évoque plutôt l'idée d'un métissage inéluctable aujourd'hui à la survie de la société gabonaise.
