L'iconicité et ses images. Etudes sémiotiques
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- Nombre de pages197
- PrésentationBroché
- Poids0.302 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,7 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-13-058485-8
- EAN9782130584858
- Date de parution23/06/2011
- CollectionFormes sémiotiques
- ÉditeurPUF
Résumé
Ce livre cherche à montrer que l'image ne relève pas seulement du domaine visuel mais concerne le domaine entier de notre expérience sensible et intellectuelle. Celle-ci s'exprime selon des sémiotiques multiples. qui ont chacune leurs règles propres, mais qui toutes ont recours, à des degrés divers, à ce que nous appelons la fonction iconique. Cette notion, issue des travaux de Peirce. est réélaborée ici dans une perspective plus phénoménologique.
Elle concerne centralement le problème de la stabilité des formes. problème qui est à la fois grammatical, esthétique et métaphysique. Ce livre comprend une partie théorique dans laquelle est discutée la question de l'iconicité. Elle est précédée de huit études portant sur des oeuvres appartenant aussi bien au domaine de l'art (Poussin, Rothko, Dubuffet) qu'a ceux de la littérature (Proust) ou de la philosophie (Descartes, Maine de Biran, Bergson).
Cette seconde dimension de l'image est sans doute moins familière. Notre hypothèse est que les raisonnements, et tout particulièrement ceux que l'on rencontre dans les textes philosophiques, ne suivent pas seulement des règles logiques mais sont largement inspirés et conduits par des images en grande partie reconstructibles par analyse.
Elle concerne centralement le problème de la stabilité des formes. problème qui est à la fois grammatical, esthétique et métaphysique. Ce livre comprend une partie théorique dans laquelle est discutée la question de l'iconicité. Elle est précédée de huit études portant sur des oeuvres appartenant aussi bien au domaine de l'art (Poussin, Rothko, Dubuffet) qu'a ceux de la littérature (Proust) ou de la philosophie (Descartes, Maine de Biran, Bergson).
Cette seconde dimension de l'image est sans doute moins familière. Notre hypothèse est que les raisonnements, et tout particulièrement ceux que l'on rencontre dans les textes philosophiques, ne suivent pas seulement des règles logiques mais sont largement inspirés et conduits par des images en grande partie reconstructibles par analyse.
Ce livre cherche à montrer que l'image ne relève pas seulement du domaine visuel mais concerne le domaine entier de notre expérience sensible et intellectuelle. Celle-ci s'exprime selon des sémiotiques multiples. qui ont chacune leurs règles propres, mais qui toutes ont recours, à des degrés divers, à ce que nous appelons la fonction iconique. Cette notion, issue des travaux de Peirce. est réélaborée ici dans une perspective plus phénoménologique.
Elle concerne centralement le problème de la stabilité des formes. problème qui est à la fois grammatical, esthétique et métaphysique. Ce livre comprend une partie théorique dans laquelle est discutée la question de l'iconicité. Elle est précédée de huit études portant sur des oeuvres appartenant aussi bien au domaine de l'art (Poussin, Rothko, Dubuffet) qu'a ceux de la littérature (Proust) ou de la philosophie (Descartes, Maine de Biran, Bergson).
Cette seconde dimension de l'image est sans doute moins familière. Notre hypothèse est que les raisonnements, et tout particulièrement ceux que l'on rencontre dans les textes philosophiques, ne suivent pas seulement des règles logiques mais sont largement inspirés et conduits par des images en grande partie reconstructibles par analyse.
Elle concerne centralement le problème de la stabilité des formes. problème qui est à la fois grammatical, esthétique et métaphysique. Ce livre comprend une partie théorique dans laquelle est discutée la question de l'iconicité. Elle est précédée de huit études portant sur des oeuvres appartenant aussi bien au domaine de l'art (Poussin, Rothko, Dubuffet) qu'a ceux de la littérature (Proust) ou de la philosophie (Descartes, Maine de Biran, Bergson).
Cette seconde dimension de l'image est sans doute moins familière. Notre hypothèse est que les raisonnements, et tout particulièrement ceux que l'on rencontre dans les textes philosophiques, ne suivent pas seulement des règles logiques mais sont largement inspirés et conduits par des images en grande partie reconstructibles par analyse.