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- Nombre de pages265
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.378 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
- ISBN2-7096-1715-3
- EAN9782709617154
- Date de parution01/09/1996
- ÉditeurJC Lattès
Résumé
"Mon père profitait des regains pour remplir un seau de cuisses de grenouilles rousses. Afin de ne pas s'encombrer d'une charge inutile, les roussettes étaient découpées vivantes, sur le fil de la faux. Je me contentais de livrer les bestioles au bourreau, sans broncher. Dans le seau, les pattes continuaient, si j'ose dire, à fonctionner. Comme celles des canards décapités. Ce sont les nerfs, m'expliquait grand-père.
Et si on coupe la tête à un homme, il peut toujours courir ? Tranchante réponse : A quoi tu vas penser, maboule ! Les temps n'étaient pas aux sentiments inutiles, aux problèmes sans importance. Une seule chose comptait : survivre". L'après-guerre, dans les Ardennes. Le jeune Yanny, huit ans, s'initie aux rites de la terre et aux mystères de la forêt. Cette chronique des racines, émouvante et drôle, servie par une plume étincellante, s'inscrit dans la grande tradition de la littérature.
Et si on coupe la tête à un homme, il peut toujours courir ? Tranchante réponse : A quoi tu vas penser, maboule ! Les temps n'étaient pas aux sentiments inutiles, aux problèmes sans importance. Une seule chose comptait : survivre". L'après-guerre, dans les Ardennes. Le jeune Yanny, huit ans, s'initie aux rites de la terre et aux mystères de la forêt. Cette chronique des racines, émouvante et drôle, servie par une plume étincellante, s'inscrit dans la grande tradition de la littérature.
"Mon père profitait des regains pour remplir un seau de cuisses de grenouilles rousses. Afin de ne pas s'encombrer d'une charge inutile, les roussettes étaient découpées vivantes, sur le fil de la faux. Je me contentais de livrer les bestioles au bourreau, sans broncher. Dans le seau, les pattes continuaient, si j'ose dire, à fonctionner. Comme celles des canards décapités. Ce sont les nerfs, m'expliquait grand-père.
Et si on coupe la tête à un homme, il peut toujours courir ? Tranchante réponse : A quoi tu vas penser, maboule ! Les temps n'étaient pas aux sentiments inutiles, aux problèmes sans importance. Une seule chose comptait : survivre". L'après-guerre, dans les Ardennes. Le jeune Yanny, huit ans, s'initie aux rites de la terre et aux mystères de la forêt. Cette chronique des racines, émouvante et drôle, servie par une plume étincellante, s'inscrit dans la grande tradition de la littérature.
Et si on coupe la tête à un homme, il peut toujours courir ? Tranchante réponse : A quoi tu vas penser, maboule ! Les temps n'étaient pas aux sentiments inutiles, aux problèmes sans importance. Une seule chose comptait : survivre". L'après-guerre, dans les Ardennes. Le jeune Yanny, huit ans, s'initie aux rites de la terre et aux mystères de la forêt. Cette chronique des racines, émouvante et drôle, servie par une plume étincellante, s'inscrit dans la grande tradition de la littérature.