Roger Marche. Une légende ardennaise, un mythe du sport français
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.19 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-17268-2
- EAN9782343172682
- Date de parution19/04/2019
- CollectionEspaces et temps du sport
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierYanny Hureaux
Résumé
" Au bout de cette brève artère, quand s'interrompent les constructions sans grâce, apparaît un quadrilatère herbeux qui couvre à peine plus de quinze cents mètres carrés, bordé par l'omniprésente voie ferrée et dominé par la route qui, enjambant les mils, mène de Charleville à Sedan : le champ Raynal ! Deux buts sont plantés là, attendant les gosses qui, près d'un siècle après Marche et Flamion, viendront mimer d'improbables triomphes.
Un peu plus loin, on pénètre dans l'ancien Parc des Sports du Football Club Mohonnais, devenu le stade Roger-Marche. Ses gradins, sa cendrée et sa main courante ne semblent pas avoir beaucoup changé depuis l'entre-deux-guerres. Derrière la petite tribune couverte, on aperçoit ce qu'il reste des installations de l'usine d'Estampage de la Vence, où le jeune Roger tira " brièvement avant d'exercer le métier de footballeur.
De retour à Mohon, repartant en direction de Mézières, nous voici au Sports Bar, à l'enseigne fatiguée. Accrochées au mur, non loin d'un carré de clients éteints, quelques photos en noir et blanc rappellent que l'ancien capitaine de l'équipe de France, gloire de la petite ville qui a perdu son nom, régna ici durant de longues années. En face du jadis célèbre bistrot, l'église Saint-Lié, sobre et superbe, où des centaines d'Ardennais vinrent dire adieu à Marche.
Au cimetière de la rue Ferroul, sa tombe, forcément modeste. J'y déposerai, quelque jour, une poignée de fleurs des champs ".
Un peu plus loin, on pénètre dans l'ancien Parc des Sports du Football Club Mohonnais, devenu le stade Roger-Marche. Ses gradins, sa cendrée et sa main courante ne semblent pas avoir beaucoup changé depuis l'entre-deux-guerres. Derrière la petite tribune couverte, on aperçoit ce qu'il reste des installations de l'usine d'Estampage de la Vence, où le jeune Roger tira " brièvement avant d'exercer le métier de footballeur.
De retour à Mohon, repartant en direction de Mézières, nous voici au Sports Bar, à l'enseigne fatiguée. Accrochées au mur, non loin d'un carré de clients éteints, quelques photos en noir et blanc rappellent que l'ancien capitaine de l'équipe de France, gloire de la petite ville qui a perdu son nom, régna ici durant de longues années. En face du jadis célèbre bistrot, l'église Saint-Lié, sobre et superbe, où des centaines d'Ardennais vinrent dire adieu à Marche.
Au cimetière de la rue Ferroul, sa tombe, forcément modeste. J'y déposerai, quelque jour, une poignée de fleurs des champs ".
" Au bout de cette brève artère, quand s'interrompent les constructions sans grâce, apparaît un quadrilatère herbeux qui couvre à peine plus de quinze cents mètres carrés, bordé par l'omniprésente voie ferrée et dominé par la route qui, enjambant les mils, mène de Charleville à Sedan : le champ Raynal ! Deux buts sont plantés là, attendant les gosses qui, près d'un siècle après Marche et Flamion, viendront mimer d'improbables triomphes.
Un peu plus loin, on pénètre dans l'ancien Parc des Sports du Football Club Mohonnais, devenu le stade Roger-Marche. Ses gradins, sa cendrée et sa main courante ne semblent pas avoir beaucoup changé depuis l'entre-deux-guerres. Derrière la petite tribune couverte, on aperçoit ce qu'il reste des installations de l'usine d'Estampage de la Vence, où le jeune Roger tira " brièvement avant d'exercer le métier de footballeur.
De retour à Mohon, repartant en direction de Mézières, nous voici au Sports Bar, à l'enseigne fatiguée. Accrochées au mur, non loin d'un carré de clients éteints, quelques photos en noir et blanc rappellent que l'ancien capitaine de l'équipe de France, gloire de la petite ville qui a perdu son nom, régna ici durant de longues années. En face du jadis célèbre bistrot, l'église Saint-Lié, sobre et superbe, où des centaines d'Ardennais vinrent dire adieu à Marche.
Au cimetière de la rue Ferroul, sa tombe, forcément modeste. J'y déposerai, quelque jour, une poignée de fleurs des champs ".
Un peu plus loin, on pénètre dans l'ancien Parc des Sports du Football Club Mohonnais, devenu le stade Roger-Marche. Ses gradins, sa cendrée et sa main courante ne semblent pas avoir beaucoup changé depuis l'entre-deux-guerres. Derrière la petite tribune couverte, on aperçoit ce qu'il reste des installations de l'usine d'Estampage de la Vence, où le jeune Roger tira " brièvement avant d'exercer le métier de footballeur.
De retour à Mohon, repartant en direction de Mézières, nous voici au Sports Bar, à l'enseigne fatiguée. Accrochées au mur, non loin d'un carré de clients éteints, quelques photos en noir et blanc rappellent que l'ancien capitaine de l'équipe de France, gloire de la petite ville qui a perdu son nom, régna ici durant de longues années. En face du jadis célèbre bistrot, l'église Saint-Lié, sobre et superbe, où des centaines d'Ardennais vinrent dire adieu à Marche.
Au cimetière de la rue Ferroul, sa tombe, forcément modeste. J'y déposerai, quelque jour, une poignée de fleurs des champs ".