Al-Qaida contre le capitalisme. Religion et domination
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.27 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-13-054611-0
- EAN9782130546115
- Date de parution05/10/2004
- ÉditeurPUF
Résumé
Le 11 septembre 2001, AI-Qaida déclarait à la fois la guerre à la première puissance de la planète et au capitalisme mondial. Selon la terminologie de Platon, les uns y réagirent en " fougueux " et les autres, en " modérés ". Cet essai sur le malaise mondial provoqué par l'événement a été écrit parce que l'auteur ne supportait pas plus le zèle débridé des Etats-Unis de Georges W. Bush, dont les conséquences géopolitiques pourraient s'avérer catastrophiques, que l'attitude d'une Europe molle, en quête interminable de paix, relayée par des foules pusillanimes.
Et pourtant, les fougueux - prêts à engager la guerre partout et toujours - comme les modérés - qui cultivent l'illusion de l'interdire - sont confrontés aux deux principaux périls mondiaux d'aujourd'hui : le fondamentalisme islamique avec son bras armé, le terrorisme sanglant et planétaire d'AI-Qaida ; et une mondialisation égoïste, où un capitalisme asocial assèche les sociétés et les cultures nationales.
Comment éviter le désastre ? Certainement pas, comme le suggèrent avec un dangereux mépris les néoconservateurs américains, en opposant Mars et Vénus. Pas plus qu'en déclarant la guerre illégale, comme le prônent des opinions publiques timorées en Europe. Il faudra sans doute allier fougue et modération pour neutraliser toute religion de la domination.
Et pourtant, les fougueux - prêts à engager la guerre partout et toujours - comme les modérés - qui cultivent l'illusion de l'interdire - sont confrontés aux deux principaux périls mondiaux d'aujourd'hui : le fondamentalisme islamique avec son bras armé, le terrorisme sanglant et planétaire d'AI-Qaida ; et une mondialisation égoïste, où un capitalisme asocial assèche les sociétés et les cultures nationales.
Comment éviter le désastre ? Certainement pas, comme le suggèrent avec un dangereux mépris les néoconservateurs américains, en opposant Mars et Vénus. Pas plus qu'en déclarant la guerre illégale, comme le prônent des opinions publiques timorées en Europe. Il faudra sans doute allier fougue et modération pour neutraliser toute religion de la domination.
Le 11 septembre 2001, AI-Qaida déclarait à la fois la guerre à la première puissance de la planète et au capitalisme mondial. Selon la terminologie de Platon, les uns y réagirent en " fougueux " et les autres, en " modérés ". Cet essai sur le malaise mondial provoqué par l'événement a été écrit parce que l'auteur ne supportait pas plus le zèle débridé des Etats-Unis de Georges W. Bush, dont les conséquences géopolitiques pourraient s'avérer catastrophiques, que l'attitude d'une Europe molle, en quête interminable de paix, relayée par des foules pusillanimes.
Et pourtant, les fougueux - prêts à engager la guerre partout et toujours - comme les modérés - qui cultivent l'illusion de l'interdire - sont confrontés aux deux principaux périls mondiaux d'aujourd'hui : le fondamentalisme islamique avec son bras armé, le terrorisme sanglant et planétaire d'AI-Qaida ; et une mondialisation égoïste, où un capitalisme asocial assèche les sociétés et les cultures nationales.
Comment éviter le désastre ? Certainement pas, comme le suggèrent avec un dangereux mépris les néoconservateurs américains, en opposant Mars et Vénus. Pas plus qu'en déclarant la guerre illégale, comme le prônent des opinions publiques timorées en Europe. Il faudra sans doute allier fougue et modération pour neutraliser toute religion de la domination.
Et pourtant, les fougueux - prêts à engager la guerre partout et toujours - comme les modérés - qui cultivent l'illusion de l'interdire - sont confrontés aux deux principaux périls mondiaux d'aujourd'hui : le fondamentalisme islamique avec son bras armé, le terrorisme sanglant et planétaire d'AI-Qaida ; et une mondialisation égoïste, où un capitalisme asocial assèche les sociétés et les cultures nationales.
Comment éviter le désastre ? Certainement pas, comme le suggèrent avec un dangereux mépris les néoconservateurs américains, en opposant Mars et Vénus. Pas plus qu'en déclarant la guerre illégale, comme le prônent des opinions publiques timorées en Europe. Il faudra sans doute allier fougue et modération pour neutraliser toute religion de la domination.