Dans la lignée de Hors phénomène, cet essai s'efforce non seulement de répondre à des objections, mais d' "enfoncer le clou" . Car il ne suffit pas de dénoncer un point aveugle de la phénoménalité, encore faut-il à nouveau l'argumenter. Hors signification et hors manifestation, certains diront qu'il ne s'agit plus ici "de" phénoménologie, et donc que le discours est d'emblée disqualifié. Mais c'est oublier l'inconscient phénoménologique, qui lui aussi a droit de cité.
"Prendre le bon tournant" , c'est rester phénoménologue sans renoncer aux extrêmes qui font aussi notre existentialité. A la lumière de Freud, Husserl, Fink, Merleau-Ponty, Levinas ou Maldiney, cet ouvrage interroge une autre tradition phénoménologique, à même non pas d'ouvrir de nouveaux espaces, mais de dire ce qu'il en est lorsqu'il n'y a plus d'espace.
Dans la lignée de Hors phénomène, cet essai s'efforce non seulement de répondre à des objections, mais d' "enfoncer le clou" . Car il ne suffit pas de dénoncer un point aveugle de la phénoménalité, encore faut-il à nouveau l'argumenter. Hors signification et hors manifestation, certains diront qu'il ne s'agit plus ici "de" phénoménologie, et donc que le discours est d'emblée disqualifié. Mais c'est oublier l'inconscient phénoménologique, qui lui aussi a droit de cité.
"Prendre le bon tournant" , c'est rester phénoménologue sans renoncer aux extrêmes qui font aussi notre existentialité. A la lumière de Freud, Husserl, Fink, Merleau-Ponty, Levinas ou Maldiney, cet ouvrage interroge une autre tradition phénoménologique, à même non pas d'ouvrir de nouveaux espaces, mais de dire ce qu'il en est lorsqu'il n'y a plus d'espace.