2666 L’Ultime refuge n’est pas le récit d’une retraite loin du monde des vivants, bien au contraire. Au début j’ai suivi les hésitations de l’auteur pour trouver sa « voie », tout naturellement je l’ai accompagné dans la haute montagne, mettant mes pas dans les siens avec un sentiment de sécurité. Il connait et aime cette nature qui me semble hostile. Cette passion l’auteur nous la fait partager avec beaucoup de poésie. Il arrive à nous faire rêver dans le froid, au milieu de la tempête. Il émane de ce texte une grande générosité, moteur au milieu de ce monde de solitude ainsi qu’une endurance et une ténacité impressionnante au service de cette passion.
Un hymne à la nature et un plaidoyer pour faire perdurer une cohabitation gagnant gagnant entre elle et les hommes. Un bel éclairage sur ce « métier » de gardien de refuge.
Je vous recommande vivement ce livre.
Simone M
2666 L’Ultime refuge n’est pas le récit d’une retraite loin du monde des vivants, bien au contraire. Au début j’ai suivi les hésitations de l’auteur pour trouver sa « voie », tout naturellement je l’ai accompagné dans la haute montagne, mettant mes pas dans les siens avec un sentiment de sécurité. Il connait et aime cette nature qui me semble hostile. Cette passion l’auteur nous la fait partager avec beaucoup de poésie. Il arrive à nous faire rêver dans le froid, au milieu de la tempête. Il émane de ce texte une grande générosité, moteur au milieu de ce monde de solitude ainsi qu’une endurance et une ténacité impressionnante au service de cette passion.
Un hymne à la nature et un plaidoyer pour faire perdurer une cohabitation gagnant gagnant entre elle et les hommes. Un bel éclairage sur ce « métier » de gardien de refuge.
Je vous recommande vivement ce livre.
Simone M