Cher Vous,
Dans une autre vie, j’ai pratiqué le moulage, travaillé l’alginate, le latex et surtout le silicone. Tous les silicones, dont le fameux Skin FX 10, celui qui donne un résultat proche, très proche de la peau humaine…
Non, n’imagine pas que je me suis confectionné une esclave sexuelle, c’était pour « reconstruire » ou des effets spéciaux !
Dans Sex Doll, nous suivons une fois de plus les aventures du commissaire Marion et son équipe.
Une enquête aux multiples rebondissements comme sait le faire Danielle.
Ce qui est très intéressant dans cet opus, c’est le
sujet, le point de départ est un hôtel de passe où les pensionnaires sont des poupées de silicone…
Comment ce bordel va se retrouver le point névralgique d’une enquête où l’on retrouve des femmes atrocement mutilées ?
On peut se poser la question de savoir si Danielle Thiéry est vraiment saine d’esprit pour imaginer une telle intrigue… ou alors, on peut se poser une autre question : savoir si notre monde ne part pas vraiment en quenouille puisque l’on connait son ancienne profession…
Est-ce son imagination, où bien ce roman possède-t-il une trace de vérité, aussi infime soit-elle ?
En fait, il ne vaut mieux pas réfléchir, ce genre d’établissements existe vraiment, il y a même pire, certains sont zoophiles, l’homme courre à sa propre perte depuis des années et n’hésite pas à faire dans la surenchère du côté de l’ignominie.
Les personnages fétiches de Danielle sont mis à rude épreuve, rien ne leur est épargné, oserai-je dire pour notre plus grand plaisir ?
Un polar qui change, dans lequel on ne s’ennuie pas une seule seconde, et c’est bien ce que l’on demande à ce genre d’ouvrage non ?
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2019/09/24/37658768.html
Un polar particulièrement originial !
Cher Vous,
Dans une autre vie, j’ai pratiqué le moulage, travaillé l’alginate, le latex et surtout le silicone. Tous les silicones, dont le fameux Skin FX 10, celui qui donne un résultat proche, très proche de la peau humaine…
Non, n’imagine pas que je me suis confectionné une esclave sexuelle, c’était pour « reconstruire » ou des effets spéciaux !
Dans Sex Doll, nous suivons une fois de plus les aventures du commissaire Marion et son équipe.
Une enquête aux multiples rebondissements comme sait le faire Danielle.
Ce qui est très intéressant dans cet opus, c’est le sujet, le point de départ est un hôtel de passe où les pensionnaires sont des poupées de silicone…
Comment ce bordel va se retrouver le point névralgique d’une enquête où l’on retrouve des femmes atrocement mutilées ?
On peut se poser la question de savoir si Danielle Thiéry est vraiment saine d’esprit pour imaginer une telle intrigue… ou alors, on peut se poser une autre question : savoir si notre monde ne part pas vraiment en quenouille puisque l’on connait son ancienne profession…
Est-ce son imagination, où bien ce roman possède-t-il une trace de vérité, aussi infime soit-elle ?
En fait, il ne vaut mieux pas réfléchir, ce genre d’établissements existe vraiment, il y a même pire, certains sont zoophiles, l’homme courre à sa propre perte depuis des années et n’hésite pas à faire dans la surenchère du côté de l’ignominie.
Les personnages fétiches de Danielle sont mis à rude épreuve, rien ne leur est épargné, oserai-je dire pour notre plus grand plaisir ?
Un polar qui change, dans lequel on ne s’ennuie pas une seule seconde, et c’est bien ce que l’on demande à ce genre d’ouvrage non ?
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2019/09/24/37658768.html