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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.1 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-253-10165-9
  • EAN9782253101659
  • Date de parution02/01/2020
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

"La personne qui aime est toujours la plus forte". Fidèle à son style fluide, léger, poétique, la romancière conduit son intrigue avec un bon sens du tempo. Jean-Luc Wachthausen, Le Point. Amélie Nothomb est une auteure affûtée, qui ausculte, de façon de plus en plus nette et précise au fil des ans et des livres, la cruauté des rapports humains. Nathalie Crom, Télérama.
"La personne qui aime est toujours la plus forte". Fidèle à son style fluide, léger, poétique, la romancière conduit son intrigue avec un bon sens du tempo. Jean-Luc Wachthausen, Le Point. Amélie Nothomb est une auteure affûtée, qui ausculte, de façon de plus en plus nette et précise au fil des ans et des livres, la cruauté des rapports humains. Nathalie Crom, Télérama.

Avis libraires
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1 Coup de cœur
de nos libraires
Charlotte WnDecitre Levallois-Perret
3/5
EPICENE
Amélie Nothomb revient cette année avec trois personnages : Dominique, Claude et leur fille Epicène. Une famille dysfonctionnelle, une tension latente entre le père et la fille, un jeu de manipulation... L'auteur parvient une nouvelle fois à dévoiler une fine psychologie des personnages grâce à des dialogues précis, un fort imaginaire et une fin parfaite.
Amélie Nothomb revient cette année avec trois personnages : Dominique, Claude et leur fille Epicène. Une famille dysfonctionnelle, une tension latente entre le père et la fille, un jeu de manipulation... L'auteur parvient une nouvelle fois à dévoiler une fine psychologie des personnages grâce à des dialogues précis, un fort imaginaire et une fin parfaite.
  • famille
  • manipulation
  • mensonge

Avis des lecteurs
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3/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Au coeur d'une famille toxique !
Mes Chers Vous, Pour son vingt-septième roman, il semblerait bien qu'Amélie Nothomb fasse suite à Frappe-toi le coeur, son roman précédent. Si le vingt-sixième roman de l'auteur belge faisait la part belle à la relation mère-fille et son lot de jalousie, rancoeur et autre amour-haine, c'est cette fois à la relation père-fille qu'elle s'attaque. Dominique a vingt-cinq, elle est plutôt jolie et habite en province. Elle ne se voit aucun avenir acceptable et se sait vouée à s'ennuyer à mourir. Lorsqu'elle croise le regarde de Claude, en terrasse d'un café, que celui lui annonce qu'il prépare son avenir et va partir pour Paris, elle voit en lui l'Homme de sa vie. De leur mariage va naître une petite fille qui portera le prénom, comme eux un prénom épicène... comme une marque de fabrique, une marque de famille ! Alors qu'elle grandit tranquillement, Epicène observe ses parents, dissèque leur vie et se conclut très vite qu'elle ne devra sa survie qu'à la fuite, qu'à quitter cette prison qu'est le couple formé par ses parents ! Et comme il faut bien un responsable au naufrage d'une vie, Epicène décide que son père est définitivement responsable de leur échec commun... et la haine qu'elle lui concédera désormais sera sa bouée de survie. "Parce que la colère est précieuse, qui protège du désespoir." Amélie Nothomb crée, comme elle seule sait le faire, un roman entre fable et difficile réalité. Le style est fluide, chaque phrase est travaillée pour tomber juste et se dévêtir de tout superflu. Mais voilà, à force d'épurer, de ciseler, de retirer par ici, de raccourcir par là, l'histoire perd en substance. Le sujet est passionnant, la psychologie de chacun des personnages est pourvue de la fantaisie de l'auteur mais... parce que oui il y a un mais, le lecteur reste en surface. Il est difficile d'entrer en empathie avec cette famille parfaitement dysfonctionnelle puisqu'au final, que savons-nous réellement d'eux ? Une jolie histoire, des personnages simples et banals mais un livre court, bien trop court pour avoir suffisamment de substance et marquer les esprits ! C. http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/12/03/37278114.html
Mes Chers Vous, Pour son vingt-septième roman, il semblerait bien qu'Amélie Nothomb fasse suite à Frappe-toi le coeur, son roman précédent. Si le vingt-sixième roman de l'auteur belge faisait la part belle à la relation mère-fille et son lot de jalousie, rancoeur et autre amour-haine, c'est cette fois à la relation père-fille qu'elle s'attaque. Dominique a vingt-cinq, elle est plutôt jolie et habite en province. Elle ne se voit aucun avenir acceptable et se sait vouée à s'ennuyer à mourir. Lorsqu'elle croise le regarde de Claude, en terrasse d'un café, que celui lui annonce qu'il prépare son avenir et va partir pour Paris, elle voit en lui l'Homme de sa vie. De leur mariage va naître une petite fille qui portera le prénom, comme eux un prénom épicène... comme une marque de fabrique, une marque de famille ! Alors qu'elle grandit tranquillement, Epicène observe ses parents, dissèque leur vie et se conclut très vite qu'elle ne devra sa survie qu'à la fuite, qu'à quitter cette prison qu'est le couple formé par ses parents ! Et comme il faut bien un responsable au naufrage d'une vie, Epicène décide que son père est définitivement responsable de leur échec commun... et la haine qu'elle lui concédera désormais sera sa bouée de survie. "Parce que la colère est précieuse, qui protège du désespoir." Amélie Nothomb crée, comme elle seule sait le faire, un roman entre fable et difficile réalité. Le style est fluide, chaque phrase est travaillée pour tomber juste et se dévêtir de tout superflu. Mais voilà, à force d'épurer, de ciseler, de retirer par ici, de raccourcir par là, l'histoire perd en substance. Le sujet est passionnant, la psychologie de chacun des personnages est pourvue de la fantaisie de l'auteur mais... parce que oui il y a un mais, le lecteur reste en surface. Il est difficile d'entrer en empathie avec cette famille parfaitement dysfonctionnelle puisqu'au final, que savons-nous réellement d'eux ? Une jolie histoire, des personnages simples et banals mais un livre court, bien trop court pour avoir suffisamment de substance et marquer les esprits ! C. http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/12/03/37278114.html
Effet doublon ?
Chaque nouvel opus signé Amélie Nothomb est attendu à la maison car je n’en suis pas la seule et unique lectrice régulière. Mon mari s’est pris au jeu et il m’a même encore une fois devancé pour celui-ci. Heureusement, il ne m’avait rien dévoilé sinon il y aurait eu de sacrés représailles. Bref, là n’est pas le sujet qui nous préoccupe. Est-il bon alors ce cru 2018 ? Déjà, il repart sur une thématique déjà vu dans l’univers Nothomb : la famille. Ce sera pour servir une autre cause plus dévorante encore : la vengeance, la haine aussi. On avait eu à ce propos la haine avec le côté maternel l’an dernier, la voici côté paternel. Question de parité sans doute lol ! Plus qu’un simple roman, on est de nouveau dans la fable, le conte car dans le monde réel, les choses se passent différemment même si on n’est jamais au bout de nos surprises tant la nature humaine est fantasque. Il faut donc recevoir cet écrit pour ce qu’il est et pas pour ce qu’il n’est donc pas. Le style est toujours ultra fluide, les mots, les phrases, pourtant très travaillés, recherchés, coulent comme l’eau vive d’une rivière rafraichissante. On s’y abreuve et jamais notre soif n’est étanchée car aucune lassitude. On a notre lot de trouvailles surprenantes, cocasses, amusantes. C’est du Nothomb pur jus. Mais j’avoue être restée sur ma faim en revanche et contrairement à mon mari qui l’a trouvé tout simplement brillant. Je crois y avoir trouver trop de clins d’œil aux marottes d’Amélie, un sentiment de déjà lu même si, comme toujours, je n’ai pu m’arrêter de lire le texte offert. On ne se lasse pas des bons petits plats, c’est le cas aussi pour les écrits signés Nothomb. Reste que je n’ai pas été assez surprise par l’intrigue (le point faible à mon sens, même si c’est très ingénieux) pour que ce cru 2018 reste dans mes favoris. Celui de l’an dernier était autrement plus fort.
Chaque nouvel opus signé Amélie Nothomb est attendu à la maison car je n’en suis pas la seule et unique lectrice régulière. Mon mari s’est pris au jeu et il m’a même encore une fois devancé pour celui-ci. Heureusement, il ne m’avait rien dévoilé sinon il y aurait eu de sacrés représailles. Bref, là n’est pas le sujet qui nous préoccupe. Est-il bon alors ce cru 2018 ? Déjà, il repart sur une thématique déjà vu dans l’univers Nothomb : la famille. Ce sera pour servir une autre cause plus dévorante encore : la vengeance, la haine aussi. On avait eu à ce propos la haine avec le côté maternel l’an dernier, la voici côté paternel. Question de parité sans doute lol ! Plus qu’un simple roman, on est de nouveau dans la fable, le conte car dans le monde réel, les choses se passent différemment même si on n’est jamais au bout de nos surprises tant la nature humaine est fantasque. Il faut donc recevoir cet écrit pour ce qu’il est et pas pour ce qu’il n’est donc pas. Le style est toujours ultra fluide, les mots, les phrases, pourtant très travaillés, recherchés, coulent comme l’eau vive d’une rivière rafraichissante. On s’y abreuve et jamais notre soif n’est étanchée car aucune lassitude. On a notre lot de trouvailles surprenantes, cocasses, amusantes. C’est du Nothomb pur jus. Mais j’avoue être restée sur ma faim en revanche et contrairement à mon mari qui l’a trouvé tout simplement brillant. Je crois y avoir trouver trop de clins d’œil aux marottes d’Amélie, un sentiment de déjà lu même si, comme toujours, je n’ai pu m’arrêter de lire le texte offert. On ne se lasse pas des bons petits plats, c’est le cas aussi pour les écrits signés Nothomb. Reste que je n’ai pas été assez surprise par l’intrigue (le point faible à mon sens, même si c’est très ingénieux) pour que ce cru 2018 reste dans mes favoris. Celui de l’an dernier était autrement plus fort.
Amélie Nothomb
Amélie Nothomb est une écrivaine belge possédant un univers singulier aux personnages attachants. Si vous cherchez un livre de poche à la fois divertissant et profond, nous vous conseillons Barbe bleue . Découvrez sa révision du célèbre conte avec son lot de personnages et de situations insolites. Faites-vous plaisir et achetez-le dès maintenant ! Votre libraire en ligne a aussi sélectionné pour vous : Une forme de vie , Stupeur et tremblements ou encore Hygiène de l'assassin . Nos romans sont disponibles en format e-books , poche, audio, livres électroniques...
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