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  • Poids0.075 kg
  • EAN9782356416278
  • ÉditeurAudiolib

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.2/5
sur 20 notes dont 16 avis lecteurs
L'éternel
Je connais l'auteur pour sa série Le Chat du Rabbin, que j'ai pu apprécier. Alors, c'est assez confiante que je me suis penchée sur ce roman, en me demandant ce que Joann Sfar allait pouvoir imaginer autour de cette figure mythique du vampire. Cette figure ne lui ai pas étrangère puisqu'il a travaillé sur les bandes dessinées jeunesse Le Petit Vampire. Tragédie, ironie, et une pointe de surnaturel sont présents pour nous présenter Ionas, jeune officier russe qui se planque avec son régiment pour éviter les Allemands. Ceux-ci vont les massacrer et seul Ionas reviendra d'entre les morts. S'il comprend bien vite qui il est devenu, il refuse de faire le mal et se pose moult questions sur les raisons de son retour. S'oppose alors Nature et Volonté. Ce récit est très encré dans les traditions juives aurait pu être intéressantes si elles ne perdaient pas le lecteur au bout d'un moment. Car, personnellement, je n'y connais rien, et l'incursion du fantastique rend difficile le distinguo entre tradition religieuse et fiction. Et puis tout se mélange : la religion, la condition humaine, la guerre, la psychanalyse, la famille, l'amour. Beaucoup trop de thématiques à mon sens. J'ai lu que certains comparaient ce roman à des films de Woody Allen. La comparaison me semble juste : c'est bavard et nombriliste comme ces films. Vous l'aurez compris, je n'aime pas W. Allen et je n'ai pas aimé cette lecture. 460 pages d'introspection et de "je voudrais bien mais je n'ose point", c'est longuet et lassant. Ionas subit sa condition de vampire, ne veut pas tuer, mais y est bien contraint car l'étincelle de vie refuse de s'éteindre en lui. Tout se termine en eau de boudin, sans qu'on comprenne vraiment au final le pourquoi de cette résurrection. A l'exception de cette phrase, qui se détache fortement de toute cette logorrhée : "J'ai voulu croire qu'il y avait un monstre magique, mais tout était normal." Petit hommage à Hannah Harendt et sa banalité du mal... La seule phrase à retenir et qui fait forcément réfléchir. Je remercie tout de même Entrée Livre pour cette découverte. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2013/09/leternel-joann-sfar.html
Je connais l'auteur pour sa série Le Chat du Rabbin, que j'ai pu apprécier. Alors, c'est assez confiante que je me suis penchée sur ce roman, en me demandant ce que Joann Sfar allait pouvoir imaginer autour de cette figure mythique du vampire. Cette figure ne lui ai pas étrangère puisqu'il a travaillé sur les bandes dessinées jeunesse Le Petit Vampire. Tragédie, ironie, et une pointe de surnaturel sont présents pour nous présenter Ionas, jeune officier russe qui se planque avec son régiment pour éviter les Allemands. Ceux-ci vont les massacrer et seul Ionas reviendra d'entre les morts. S'il comprend bien vite qui il est devenu, il refuse de faire le mal et se pose moult questions sur les raisons de son retour. S'oppose alors Nature et Volonté. Ce récit est très encré dans les traditions juives aurait pu être intéressantes si elles ne perdaient pas le lecteur au bout d'un moment. Car, personnellement, je n'y connais rien, et l'incursion du fantastique rend difficile le distinguo entre tradition religieuse et fiction. Et puis tout se mélange : la religion, la condition humaine, la guerre, la psychanalyse, la famille, l'amour. Beaucoup trop de thématiques à mon sens. J'ai lu que certains comparaient ce roman à des films de Woody Allen. La comparaison me semble juste : c'est bavard et nombriliste comme ces films. Vous l'aurez compris, je n'aime pas W. Allen et je n'ai pas aimé cette lecture. 460 pages d'introspection et de "je voudrais bien mais je n'ose point", c'est longuet et lassant. Ionas subit sa condition de vampire, ne veut pas tuer, mais y est bien contraint car l'étincelle de vie refuse de s'éteindre en lui. Tout se termine en eau de boudin, sans qu'on comprenne vraiment au final le pourquoi de cette résurrection. A l'exception de cette phrase, qui se détache fortement de toute cette logorrhée : "J'ai voulu croire qu'il y avait un monstre magique, mais tout était normal." Petit hommage à Hannah Harendt et sa banalité du mal... La seule phrase à retenir et qui fait forcément réfléchir. Je remercie tout de même Entrée Livre pour cette découverte. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2013/09/leternel-joann-sfar.html
Déçueeee ...!!!
J'ai été passablement déçue par ce roman que je tenais pourtant à lire. Et ce vivement ! Heureusement, on trouve quelques perles stylistiques et des pointes d'humour bien satiriques... Ma critique complète se trouve ici : http://www.christelle-pigere-legrand.com/l-eternel-joann-sfar.php
J'ai été passablement déçue par ce roman que je tenais pourtant à lire. Et ce vivement ! Heureusement, on trouve quelques perles stylistiques et des pointes d'humour bien satiriques... Ma critique complète se trouve ici : http://www.christelle-pigere-legrand.com/l-eternel-joann-sfar.php
2/5
Sans plus
Un jeune soldat russe meurt et se réincarne en vampire. Il ne comprend pas ce qu'il lui arrive et ne supporte pas cet état. Il part alors à la quête du sens de sa mort. On trouve, ici, pêle-mêle, des références cinématographiques et littéraires telles que les amours impossibles ou le fantastique. Des scènes insolites, improbables, parfois drôles. Un roman farfelu qui ne m'a pas emballé. Le récit est difficile à suivre, notamment la deuxième partie qui regorge de ces références culturelles. Je ne connais pas bien l'univers de Joann Sfar, ses fans peuvent adorer, mais moi cela ne m'incite pas à en connaître plus.
Un jeune soldat russe meurt et se réincarne en vampire. Il ne comprend pas ce qu'il lui arrive et ne supporte pas cet état. Il part alors à la quête du sens de sa mort. On trouve, ici, pêle-mêle, des références cinématographiques et littéraires telles que les amours impossibles ou le fantastique. Des scènes insolites, improbables, parfois drôles. Un roman farfelu qui ne m'a pas emballé. Le récit est difficile à suivre, notamment la deuxième partie qui regorge de ces références culturelles. Je ne connais pas bien l'univers de Joann Sfar, ses fans peuvent adorer, mais moi cela ne m'incite pas à en connaître plus.
  • Inattendu
Joann Sfar
Joann Sfar naît le 28 août 1971 à Nice, dans une famille moitié séfarade moitié ashkénaze, où on lui raconte toutes sortes de mythes et d'histoires. Dès qu'il sait par quel bout tenir un crayon, il se met à dessiner. Vers quinze ans, il commence à expédier aux éditeurs un projet de BD par mois, qu'on lui refuse au même rythme. C'est aussi vers cet âge qu'il rencontre ses "mentors", Fred, Baudoin et Pierre Dubois (le modèle du Minuscule Mousquetaire). "Ils m'ont mis dans la tête des trucs sains. Tout ce que je fais, c'est pour leur plaire". Au début des années 80, armé d'une maîtrise de philo mention TB obtenue pour faire plaisir à son père, il entre aux Beaux-Arts à Paris, où il suit les cours du département de morphologie et dessine des natures mortes vraiment très mortes, comme les enfants à deux têtes et autres monstres de la collection de Geoffroy Saint-Hilaire, au Museum d'histoire naturelle. Il assiste même à des autopsies avec un copain légiste et dessine toutes sortes de boyaux. Ce qu'il tire finalement de cette expérience, c'est le plaisir de dessiner un être vivant, habillé, qui marche dans la rue. A 23 ans, surprise. Le même mois, Dargaud, Delcourt et l'Association répondent favorablement à ses envois. Depuis, il n'arrête plus. "La BD est quelque chose de compulsif, on doit en faire beaucoup. Et comme disait Charlier, c'est plus facile de mener dix histoires de front qu'une seule." D'où un foisonnement d'univers dont la cohérence est assurée par un cocktail très personnel de sentiment, d'humour et d'intelligence — sans oublier un charme graphique à tomber par terre.
Que faire des juifs ?
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