Vieillir et mourir au XVIIIe siècle. Longévité et vie sociale à Haveluy
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- Nombre de pages288
- FormatPDF
- ISBN2-296-37580-4
- EAN9782296375802
- Date de parution01/01/1998
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Longtemps, les familles ont connu de nombreux décès précoces. Quand enfin meurent moins de jeunes, la vie change. C'est parce que la mort est moins insistante dans sa tyrannie que l'on peut mettre moins d'enfants au monde. Quand la durée de la vie augmente, le regard sur l'âge peut aussi changer. Le souci de la santé est plus marqué, le désarroi devant la mort de l'autre mieux exprimé. La meilleure longévité, en particulier des femmes, fait subsister plus de vieux couples.
Le vieillard est ainsi moins souvent isolé et la vie conjugale, carrière au plus long cours, y gagne en complicité. L'amour colore le deuil.
Le vieillard est ainsi moins souvent isolé et la vie conjugale, carrière au plus long cours, y gagne en complicité. L'amour colore le deuil.
Longtemps, les familles ont connu de nombreux décès précoces. Quand enfin meurent moins de jeunes, la vie change. C'est parce que la mort est moins insistante dans sa tyrannie que l'on peut mettre moins d'enfants au monde. Quand la durée de la vie augmente, le regard sur l'âge peut aussi changer. Le souci de la santé est plus marqué, le désarroi devant la mort de l'autre mieux exprimé. La meilleure longévité, en particulier des femmes, fait subsister plus de vieux couples.
Le vieillard est ainsi moins souvent isolé et la vie conjugale, carrière au plus long cours, y gagne en complicité. L'amour colore le deuil.
Le vieillard est ainsi moins souvent isolé et la vie conjugale, carrière au plus long cours, y gagne en complicité. L'amour colore le deuil.