Vers l'esthétique. Penser avec les Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture (1719) de Jean-Baptiste Du Bos
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- Nombre de pages298
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-2614-9
- EAN9791037026149
- Date de parution13/07/2015
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
- PréfacierMarc Buhot de Launay
Résumé
Les Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture, publiées pour la première fois par l'abbé Jean-Baptiste Du Bos en 1719, apparaissent comme l'un des textes fondateurs de l'esthétique philosophique. Ni peintre ni dramaturge, ni curieux ou marchand d'art, ni critique d'art au sens d'une profession qui n'existe certes pas encore, leur auteur se présente comme un simple citoyen de la République des arts, face à ceux qui s'en veulent les législateurs.
Cet amateurisme, qui enveloppe immédiatement de se tenir du côté des ouvres faites et de leur réception, plutôt que d'interroger la fabrique de l'ouvre d'art, comporte néanmoins positivement la prétention de tenir un discours philosophique sur l'effet artistique, sur la fonction de l'art, sur la force comparée des arts, sur le génie et sur le goût. Cette dimension philosophique, qui se marque moins par quelque souci de fondation métaphysique que dans le déploiement de considérations anthropologiques permettant la compréhension des arts et de leurs paradoxes, est placée ici sous l'interrogation croisée de dix spécialistes de la théorie de la peinture, de la rhétorique et de l'esthétique.
Cet amateurisme, qui enveloppe immédiatement de se tenir du côté des ouvres faites et de leur réception, plutôt que d'interroger la fabrique de l'ouvre d'art, comporte néanmoins positivement la prétention de tenir un discours philosophique sur l'effet artistique, sur la fonction de l'art, sur la force comparée des arts, sur le génie et sur le goût. Cette dimension philosophique, qui se marque moins par quelque souci de fondation métaphysique que dans le déploiement de considérations anthropologiques permettant la compréhension des arts et de leurs paradoxes, est placée ici sous l'interrogation croisée de dix spécialistes de la théorie de la peinture, de la rhétorique et de l'esthétique.
Les Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture, publiées pour la première fois par l'abbé Jean-Baptiste Du Bos en 1719, apparaissent comme l'un des textes fondateurs de l'esthétique philosophique. Ni peintre ni dramaturge, ni curieux ou marchand d'art, ni critique d'art au sens d'une profession qui n'existe certes pas encore, leur auteur se présente comme un simple citoyen de la République des arts, face à ceux qui s'en veulent les législateurs.
Cet amateurisme, qui enveloppe immédiatement de se tenir du côté des ouvres faites et de leur réception, plutôt que d'interroger la fabrique de l'ouvre d'art, comporte néanmoins positivement la prétention de tenir un discours philosophique sur l'effet artistique, sur la fonction de l'art, sur la force comparée des arts, sur le génie et sur le goût. Cette dimension philosophique, qui se marque moins par quelque souci de fondation métaphysique que dans le déploiement de considérations anthropologiques permettant la compréhension des arts et de leurs paradoxes, est placée ici sous l'interrogation croisée de dix spécialistes de la théorie de la peinture, de la rhétorique et de l'esthétique.
Cet amateurisme, qui enveloppe immédiatement de se tenir du côté des ouvres faites et de leur réception, plutôt que d'interroger la fabrique de l'ouvre d'art, comporte néanmoins positivement la prétention de tenir un discours philosophique sur l'effet artistique, sur la fonction de l'art, sur la force comparée des arts, sur le génie et sur le goût. Cette dimension philosophique, qui se marque moins par quelque souci de fondation métaphysique que dans le déploiement de considérations anthropologiques permettant la compréhension des arts et de leurs paradoxes, est placée ici sous l'interrogation croisée de dix spécialistes de la théorie de la peinture, de la rhétorique et de l'esthétique.