Valérie Valère. Un seul regard m'aurait suffi
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- Nombre de pages204
- FormatePub
- ISBN2-262-07812-2
- EAN9782262078126
- Date de parution01/01/2001
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPerrin (réédition numérique Feni...
Résumé
Valérie Valère est née la veille du Jour des Morts, le 1er novembre 1961. chez un couple désuni. La mère se dispute sans cesse avec son mari et a mal accepté la naissance de cette fille. Valérie va ressentir très vite et s'exagérer ce refus, comme elle devinera la mésentente de ses parents avant de la comprendre. Elle refuse un jour de manger. Psychiatres et psychanalystes se heurtent à un mur de béton.
Sa mère la fait enfermer dans un asile pour enfants anorexiques ou fous. Son refus est sa façon de s'affirmer. Sortie du « Pavillon des enfants fous », elle cherche une évasion, sans persévérer, à l'école du Cirque où elle devient funambule, puis au cinéma (elle tourne avec Jeanne Moreau et dans un film tiré d'un roman de Balzac). Elle croit enfin trouver libération et identité dans l'écriture. A 17 ans, elle écrit en trois mois Le Pavillon des enfants fous.
C'est un best-seller. Elle fait à « Apostrophes » un passage inoubliable. La presse s'empare d'elle. La mal-aimée paraît sortir enfin d'elle-même, trouver çà et là les regards et l'écoute après lesquels elle court. Grâce à ses droits d'auteur, elle est indépendante. Boulimique d'écriture, elle écrit encore plusieurs romans. Mais rien n'y fait, elle se replie dans le rêve et la solitude, le refus. Elle se drogue de médicaments.
Le 18 décembre 1982, à 21 ans, elle ne se réveillera pas. En fait, dans ce monde si étranger à ses rêves, elle a toujours été sûre de sa mort prochaine. Elle a fait plusieurs testaments dont le dernier, respecté, demandait Que l'on disperse ses cendres dans la mer. Le souvenir de Valérie Valère, dont la célébrité parmi les jeunes a été fulgurante et brève comme sa vie, valait d'être ranimé. En elle s'entrechoquaient l'enfance et la maturité.
Elle a été le reflet pathétique d'une frange obscure, angoissée, trop lucide, de sa génération. Ce Qui fut un témoignage exceptionnel il y a vingt ans est devenu aujourd'hui un véritable phénomène de société. Son histoire est un appel aux parents pour Qu'ils regardent encore plus leurs enfants.
Sa mère la fait enfermer dans un asile pour enfants anorexiques ou fous. Son refus est sa façon de s'affirmer. Sortie du « Pavillon des enfants fous », elle cherche une évasion, sans persévérer, à l'école du Cirque où elle devient funambule, puis au cinéma (elle tourne avec Jeanne Moreau et dans un film tiré d'un roman de Balzac). Elle croit enfin trouver libération et identité dans l'écriture. A 17 ans, elle écrit en trois mois Le Pavillon des enfants fous.
C'est un best-seller. Elle fait à « Apostrophes » un passage inoubliable. La presse s'empare d'elle. La mal-aimée paraît sortir enfin d'elle-même, trouver çà et là les regards et l'écoute après lesquels elle court. Grâce à ses droits d'auteur, elle est indépendante. Boulimique d'écriture, elle écrit encore plusieurs romans. Mais rien n'y fait, elle se replie dans le rêve et la solitude, le refus. Elle se drogue de médicaments.
Le 18 décembre 1982, à 21 ans, elle ne se réveillera pas. En fait, dans ce monde si étranger à ses rêves, elle a toujours été sûre de sa mort prochaine. Elle a fait plusieurs testaments dont le dernier, respecté, demandait Que l'on disperse ses cendres dans la mer. Le souvenir de Valérie Valère, dont la célébrité parmi les jeunes a été fulgurante et brève comme sa vie, valait d'être ranimé. En elle s'entrechoquaient l'enfance et la maturité.
Elle a été le reflet pathétique d'une frange obscure, angoissée, trop lucide, de sa génération. Ce Qui fut un témoignage exceptionnel il y a vingt ans est devenu aujourd'hui un véritable phénomène de société. Son histoire est un appel aux parents pour Qu'ils regardent encore plus leurs enfants.
Valérie Valère est née la veille du Jour des Morts, le 1er novembre 1961. chez un couple désuni. La mère se dispute sans cesse avec son mari et a mal accepté la naissance de cette fille. Valérie va ressentir très vite et s'exagérer ce refus, comme elle devinera la mésentente de ses parents avant de la comprendre. Elle refuse un jour de manger. Psychiatres et psychanalystes se heurtent à un mur de béton.
Sa mère la fait enfermer dans un asile pour enfants anorexiques ou fous. Son refus est sa façon de s'affirmer. Sortie du « Pavillon des enfants fous », elle cherche une évasion, sans persévérer, à l'école du Cirque où elle devient funambule, puis au cinéma (elle tourne avec Jeanne Moreau et dans un film tiré d'un roman de Balzac). Elle croit enfin trouver libération et identité dans l'écriture. A 17 ans, elle écrit en trois mois Le Pavillon des enfants fous.
C'est un best-seller. Elle fait à « Apostrophes » un passage inoubliable. La presse s'empare d'elle. La mal-aimée paraît sortir enfin d'elle-même, trouver çà et là les regards et l'écoute après lesquels elle court. Grâce à ses droits d'auteur, elle est indépendante. Boulimique d'écriture, elle écrit encore plusieurs romans. Mais rien n'y fait, elle se replie dans le rêve et la solitude, le refus. Elle se drogue de médicaments.
Le 18 décembre 1982, à 21 ans, elle ne se réveillera pas. En fait, dans ce monde si étranger à ses rêves, elle a toujours été sûre de sa mort prochaine. Elle a fait plusieurs testaments dont le dernier, respecté, demandait Que l'on disperse ses cendres dans la mer. Le souvenir de Valérie Valère, dont la célébrité parmi les jeunes a été fulgurante et brève comme sa vie, valait d'être ranimé. En elle s'entrechoquaient l'enfance et la maturité.
Elle a été le reflet pathétique d'une frange obscure, angoissée, trop lucide, de sa génération. Ce Qui fut un témoignage exceptionnel il y a vingt ans est devenu aujourd'hui un véritable phénomène de société. Son histoire est un appel aux parents pour Qu'ils regardent encore plus leurs enfants.
Sa mère la fait enfermer dans un asile pour enfants anorexiques ou fous. Son refus est sa façon de s'affirmer. Sortie du « Pavillon des enfants fous », elle cherche une évasion, sans persévérer, à l'école du Cirque où elle devient funambule, puis au cinéma (elle tourne avec Jeanne Moreau et dans un film tiré d'un roman de Balzac). Elle croit enfin trouver libération et identité dans l'écriture. A 17 ans, elle écrit en trois mois Le Pavillon des enfants fous.
C'est un best-seller. Elle fait à « Apostrophes » un passage inoubliable. La presse s'empare d'elle. La mal-aimée paraît sortir enfin d'elle-même, trouver çà et là les regards et l'écoute après lesquels elle court. Grâce à ses droits d'auteur, elle est indépendante. Boulimique d'écriture, elle écrit encore plusieurs romans. Mais rien n'y fait, elle se replie dans le rêve et la solitude, le refus. Elle se drogue de médicaments.
Le 18 décembre 1982, à 21 ans, elle ne se réveillera pas. En fait, dans ce monde si étranger à ses rêves, elle a toujours été sûre de sa mort prochaine. Elle a fait plusieurs testaments dont le dernier, respecté, demandait Que l'on disperse ses cendres dans la mer. Le souvenir de Valérie Valère, dont la célébrité parmi les jeunes a été fulgurante et brève comme sa vie, valait d'être ranimé. En elle s'entrechoquaient l'enfance et la maturité.
Elle a été le reflet pathétique d'une frange obscure, angoissée, trop lucide, de sa génération. Ce Qui fut un témoignage exceptionnel il y a vingt ans est devenu aujourd'hui un véritable phénomène de société. Son histoire est un appel aux parents pour Qu'ils regardent encore plus leurs enfants.