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  • Nombre de pages682
  • FormatePub
  • ISBN978-2-246-80266-2
  • EAN9782246802662
  • Date de parution28/09/2012
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille708 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGrasset

Résumé

Bienvenue à Pagford, petite bourgade en apparence idyllique. Un notable meurt. Sa place est à prendre... Comédie de mours, tragédie teintée d'humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes, ce premier roman pour adultes révèle sous un jour inattendu un écrivain prodige.
Bienvenue à Pagford, petite bourgade en apparence idyllique. Un notable meurt. Sa place est à prendre... Comédie de mours, tragédie teintée d'humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes, ce premier roman pour adultes révèle sous un jour inattendu un écrivain prodige.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
4/5
La vie est un long fleuve...
Dans une petite ville en Angleterre, un conseiller municipal décède brusquement; les élections qui vont se préparent vont déchaîner les passions... Un petit village, une kyrielle de personnages, des passions autour d'une élection, des querelles de clocher, des tensions entre différents groupes sociaux, ceux qui habitent les "Champs" et ceux qui résident à Pagford, tous ces éléments habilement entremêlés permettent à J.K.Rowling de dresser un portrait au vitriol de la société. C'est drôle, bien mené et derrière une apparente farce pointe toujours un humour noir, des plus glacial parfois. Tous adultes, enfants participent de cette immense farce qui sous une apparente légèreté pointe du doigt le défauts de la société mais aussi l'égoïsme de chacun.
Dans une petite ville en Angleterre, un conseiller municipal décède brusquement; les élections qui vont se préparent vont déchaîner les passions... Un petit village, une kyrielle de personnages, des passions autour d'une élection, des querelles de clocher, des tensions entre différents groupes sociaux, ceux qui habitent les "Champs" et ceux qui résident à Pagford, tous ces éléments habilement entremêlés permettent à J.K.Rowling de dresser un portrait au vitriol de la société. C'est drôle, bien mené et derrière une apparente farce pointe toujours un humour noir, des plus glacial parfois. Tous adultes, enfants participent de cette immense farce qui sous une apparente légèreté pointe du doigt le défauts de la société mais aussi l'égoïsme de chacun.
  • Inattendu
  • Passionnant
  • XXIe siècle
  • Angleterre
  • Bouleversant
FabienDecitre Part-Dieu
3/5
Krystal
Le petit village anglais où se déroule l'histoire est certes charmant, mais la découverte de ses habitants laissent courir un frisson de dégoût, sous un vernis des bonnes manières, on découvre des monstres d'égoïsme, des monstres de cynisme, venimeux, sinistres, antipathiques pour ce qui concernent les adultes, - même ceux qui nous laissent parfois entrevoir une lueur d'espoir, nous déçoivent par leurs petites lâchetés - ; et pour ce qui est de leurs enfants, on est pas surpris qu'avec de tels parents, ils nous dévoilent peu à peu des fêlures, et une hargne dévastatrice ; le personnage moteur de l'histoire c'est pour moi Krystal, peut-être parce qu'étant la plus désespérée, elle se montre le plus authentique dans sa soif de vivre. La noirceur reste en demi-teinte, pour mieux basculer, à certains moments, dans la crudité la plus violente. La présentation des personnages est un peu longue, mais la mécanique implacable que l'auteur met en place a toujours attisée mon intérêt. La satire sociale est glaçante, l'humour y baigne dans le vitriol, on grince des dents. Finalement on nous expose en pleine lumière les agissements mesquins d'assassins sans couteaux dont la meilleure arme est l'indifférence. Celle-ci se cache souvent sous les dehors ordinaires de la bêtise de notables bien pensants, qui se permettent de jouir de leur cruauté, en outre, tout en balayant tout espoir. Malgré quelques longueurs, c'est un bon bouquin que j'ai eu du mal à lâcher et qui, au final, m'a prit à la gorge.
Le petit village anglais où se déroule l'histoire est certes charmant, mais la découverte de ses habitants laissent courir un frisson de dégoût, sous un vernis des bonnes manières, on découvre des monstres d'égoïsme, des monstres de cynisme, venimeux, sinistres, antipathiques pour ce qui concernent les adultes, - même ceux qui nous laissent parfois entrevoir une lueur d'espoir, nous déçoivent par leurs petites lâchetés - ; et pour ce qui est de leurs enfants, on est pas surpris qu'avec de tels parents, ils nous dévoilent peu à peu des fêlures, et une hargne dévastatrice ; le personnage moteur de l'histoire c'est pour moi Krystal, peut-être parce qu'étant la plus désespérée, elle se montre le plus authentique dans sa soif de vivre. La noirceur reste en demi-teinte, pour mieux basculer, à certains moments, dans la crudité la plus violente. La présentation des personnages est un peu longue, mais la mécanique implacable que l'auteur met en place a toujours attisée mon intérêt. La satire sociale est glaçante, l'humour y baigne dans le vitriol, on grince des dents. Finalement on nous expose en pleine lumière les agissements mesquins d'assassins sans couteaux dont la meilleure arme est l'indifférence. Celle-ci se cache souvent sous les dehors ordinaires de la bêtise de notables bien pensants, qui se permettent de jouir de leur cruauté, en outre, tout en balayant tout espoir. Malgré quelques longueurs, c'est un bon bouquin que j'ai eu du mal à lâcher et qui, au final, m'a prit à la gorge.
Un roman cru, satirique et à la fois réaliste !
"Une place à prendre" est un roman qui part d’en bas. Adieu héros fantastique et univers fantasmagorique. C’est un roman qui parle du peuple, c’est une satire sociale, sombre et lugubre, avec un ton à la fois populaire et politisé. Finalement on se rend très vite compte lorsque que l’on connaît un peu le parcours de cette auteure hors-norme qu’elle ne fait que parler de ce qu’elle connaît. Elle peint dans ce livre un portrait peu glorieux d’une société qui se vautre dans l’autosatisfaction et la complaisance. Ses thèmes de prédilection sont la classe moyenne, les histoires de voisinage, les querelles de village, les préoccupations individualistes, les mesquineries, l’égoïsme, les coups bas, la vanité, l’hypocrisie…une vraie « comédie de mœurs rurale » comme elle se plaît à le dire. De multiples personnages se croisent, s’entrelacent. Les histoires et les vies s’entremêlent dans cette bourgade du Sud-Ouest de l’Angleterre et donnent toute la saveur de ce livre à l’humour grinçant et au style corrosif. On retrouve toujours, et c’est sous doute le lien le plus facile que l’on peut faire avec ses précédents ouvrages, l’adolescence qui revient comme un refrain entêtant dans son œuvre. Un écho sans doute aux bleus qu’a dû laisser cette période souvent ingrate et révoltante à l’âme de l’auteur. C’est un roman vrai, cru qui taille le monde parfois à la hache et qui montre du doigt les défauts d’une société qui se veut civilisée.
"Une place à prendre" est un roman qui part d’en bas. Adieu héros fantastique et univers fantasmagorique. C’est un roman qui parle du peuple, c’est une satire sociale, sombre et lugubre, avec un ton à la fois populaire et politisé. Finalement on se rend très vite compte lorsque que l’on connaît un peu le parcours de cette auteure hors-norme qu’elle ne fait que parler de ce qu’elle connaît. Elle peint dans ce livre un portrait peu glorieux d’une société qui se vautre dans l’autosatisfaction et la complaisance. Ses thèmes de prédilection sont la classe moyenne, les histoires de voisinage, les querelles de village, les préoccupations individualistes, les mesquineries, l’égoïsme, les coups bas, la vanité, l’hypocrisie…une vraie « comédie de mœurs rurale » comme elle se plaît à le dire. De multiples personnages se croisent, s’entrelacent. Les histoires et les vies s’entremêlent dans cette bourgade du Sud-Ouest de l’Angleterre et donnent toute la saveur de ce livre à l’humour grinçant et au style corrosif. On retrouve toujours, et c’est sous doute le lien le plus facile que l’on peut faire avec ses précédents ouvrages, l’adolescence qui revient comme un refrain entêtant dans son œuvre. Un écho sans doute aux bleus qu’a dû laisser cette période souvent ingrate et révoltante à l’âme de l’auteur. C’est un roman vrai, cru qui taille le monde parfois à la hache et qui montre du doigt les défauts d’une société qui se veut civilisée.
  • Inattendu
  • Passionnant
  • Angleterre
  • Surprenant
  • Pagford
  • Barry Fairbrother

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 118 notes dont 44 avis lecteurs
3/5
Oubliez, le petit sorcier
Voici l’histoire du village de Pagford ou, plutôt, la vie quotidienne de ses habitants. Cela pourrait se passer dans n’importe quel endroit car il est bien vrai que les petites querelles intestines y sont présentes comme partout : différents clans dans le Conseil municipal, lutte pour l’hégémonie avec la ville voisine, premiers émois des adolescents et problèmes avec leurs parents, différentes classes sociales, nombreuses jalousies, idylles cachées … Cependant, voici que des messages virtuels inscrits sur le site du Conseil du Village vont perturber l’équilibre déjà très précaire de ses habitants. L’auteur met en scène deux univers que tout oppose avec, d’une part, le petit village de Pagford aux jardins fleuris et coquets et, d’autre part, le quartier miséreux voisin avec ses junkies et ses sans-emplois. Il est vrai qu’il faut s’accrocher au début afin de se familiariser avec les nombreux personnages mais, ce cap passé, c’est avec une grande curiosité que l’on se retrouve sur « la place du village ». Sous un aspect extérieur de satire, l’auteure nous dresse le constat d’une société contemporaine assez tragique et un jeu de massacre très réussi. Si la maman d’Harry Potter nous présente ici quelque chose de tout différent, on y retrouve, par contre, son incroyable talent de conteuse d’histoires. En résumé, un bon roman pour un tout nouveau style de J. K. Rowling.
Voici l’histoire du village de Pagford ou, plutôt, la vie quotidienne de ses habitants. Cela pourrait se passer dans n’importe quel endroit car il est bien vrai que les petites querelles intestines y sont présentes comme partout : différents clans dans le Conseil municipal, lutte pour l’hégémonie avec la ville voisine, premiers émois des adolescents et problèmes avec leurs parents, différentes classes sociales, nombreuses jalousies, idylles cachées … Cependant, voici que des messages virtuels inscrits sur le site du Conseil du Village vont perturber l’équilibre déjà très précaire de ses habitants. L’auteur met en scène deux univers que tout oppose avec, d’une part, le petit village de Pagford aux jardins fleuris et coquets et, d’autre part, le quartier miséreux voisin avec ses junkies et ses sans-emplois. Il est vrai qu’il faut s’accrocher au début afin de se familiariser avec les nombreux personnages mais, ce cap passé, c’est avec une grande curiosité que l’on se retrouve sur « la place du village ». Sous un aspect extérieur de satire, l’auteure nous dresse le constat d’une société contemporaine assez tragique et un jeu de massacre très réussi. Si la maman d’Harry Potter nous présente ici quelque chose de tout différent, on y retrouve, par contre, son incroyable talent de conteuse d’histoires. En résumé, un bon roman pour un tout nouveau style de J. K. Rowling.
4/5
Un rythme a prendre
Ce pavé, appelons un chat un chat , est un très bon roman de mœurs mais il est vrai qu'il demande un peu de persévérance et un peu de temps aussi pour appréhender les personnages et leurs défauts ou qualité respectifs. Une fois le rythme pris, vous êtes réellement dans cette petite bourgade anglaise et cette peinture d un microcosme anglais assoiffé de pouvoir est aussi délicieuse qu'une tasse de tea. Il faut aussi saluer le talent de JK ROwling qui est loin de son Harry fétiche mais qui a toujours autant de talent...chapeau bas miss.
Ce pavé, appelons un chat un chat , est un très bon roman de mœurs mais il est vrai qu'il demande un peu de persévérance et un peu de temps aussi pour appréhender les personnages et leurs défauts ou qualité respectifs. Une fois le rythme pris, vous êtes réellement dans cette petite bourgade anglaise et cette peinture d un microcosme anglais assoiffé de pouvoir est aussi délicieuse qu'une tasse de tea. Il faut aussi saluer le talent de JK ROwling qui est loin de son Harry fétiche mais qui a toujours autant de talent...chapeau bas miss.
Chiant, chiant chiant et encore chiant !
Ce livre est d'un ennui mortel... JK Rolwling devrait continuer à écrire des livres fantastiques, ça lui réussit beaucoup mieux ! Ce livre est plat, les personnages ne sont absolument pas intéressants et encore moins attachants. Un livre long et absolument sans aucun intérêt du début jusqu’à la fin.
Ce livre est d'un ennui mortel... JK Rolwling devrait continuer à écrire des livres fantastiques, ça lui réussit beaucoup mieux ! Ce livre est plat, les personnages ne sont absolument pas intéressants et encore moins attachants. Un livre long et absolument sans aucun intérêt du début jusqu’à la fin.
  • XXIe siècle