Saluons ici les Éditions Noir sur Blanc pour cette édition de l’œuvre complète de Branimir Šćepanović !
On connaissait déjà « La bouche pleine de terre » et « La mort de monsieur Goluza », deux textes exceptionnels écrits dans une langue précise, imagée, versée dans un rythme imparable.
Bouleversants, les textes de Šćepanović nous parlent de la fragilité de l'individu face à la puissance anonyme du monde, de la précarité, mais aussi de la beauté paradoxale de l'existence.
Son univers sombre, fragile et mélancolique (entre Tchekhov et Kafka) n'a pas – ou presque – d'égal.
Saluons ici les Éditions Noir sur Blanc pour cette édition de l’œuvre complète de Branimir Šćepanović !
On connaissait déjà « La bouche pleine de terre » et « La mort de monsieur Goluza », deux textes exceptionnels écrits dans une langue précise, imagée, versée dans un rythme imparable.
Bouleversants, les textes de Šćepanović nous parlent de la fragilité de l'individu face à la puissance anonyme du monde, de la précarité, mais aussi de la beauté paradoxale de l'existence.
Son univers sombre, fragile et mélancolique (entre Tchekhov et Kafka) n'a pas – ou presque – d'égal.