Une Faillite Si Convenable. Histoire De La Banque Pallas Stern
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- Nombre de pages200
- FormatePub
- ISBN2-7021-7326-8
- EAN9782702173268
- Date de parution31/12/1998
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille297 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurCalmann-Lévy (réédition numériqu...
Résumé
Oui, les banques sont mortelles. Créée en 1992, Pallas Stern n'est pas le Crédit lyonnais, qui fut maintenu en vie à coup de perfusions alimentées par le contribuable. Mais son histoire est au moins aussi instructive, que celle de l'établissement public. Car la réputation de toute la place est compromise par la plus grande faillite bancaire privée de l'après-guerre, déclarée en juin 1995. Ni le Trésor, ni la Commission bancaire, ni la COB, n'ont pu empêcher le désastre.
Sans parler du prestigieux conseil d'administration de la banque, où siégeait, sous la houlette de Gérard Eskénazi, tenu pour un magicien de la finance, la fine fleur de l'establishment. Pourquoi ? Qui est vraiment responsable de cette déroute qui aura finalement coûté cinq milliards de francs à quelques grands investisseurs, mais surtout à des milliers de petits créanciers ? Une minutieuse enquête, appuyée sur de nombreux documents confidentiels.
Sans parler du prestigieux conseil d'administration de la banque, où siégeait, sous la houlette de Gérard Eskénazi, tenu pour un magicien de la finance, la fine fleur de l'establishment. Pourquoi ? Qui est vraiment responsable de cette déroute qui aura finalement coûté cinq milliards de francs à quelques grands investisseurs, mais surtout à des milliers de petits créanciers ? Une minutieuse enquête, appuyée sur de nombreux documents confidentiels.
Oui, les banques sont mortelles. Créée en 1992, Pallas Stern n'est pas le Crédit lyonnais, qui fut maintenu en vie à coup de perfusions alimentées par le contribuable. Mais son histoire est au moins aussi instructive, que celle de l'établissement public. Car la réputation de toute la place est compromise par la plus grande faillite bancaire privée de l'après-guerre, déclarée en juin 1995. Ni le Trésor, ni la Commission bancaire, ni la COB, n'ont pu empêcher le désastre.
Sans parler du prestigieux conseil d'administration de la banque, où siégeait, sous la houlette de Gérard Eskénazi, tenu pour un magicien de la finance, la fine fleur de l'establishment. Pourquoi ? Qui est vraiment responsable de cette déroute qui aura finalement coûté cinq milliards de francs à quelques grands investisseurs, mais surtout à des milliers de petits créanciers ? Une minutieuse enquête, appuyée sur de nombreux documents confidentiels.
Sans parler du prestigieux conseil d'administration de la banque, où siégeait, sous la houlette de Gérard Eskénazi, tenu pour un magicien de la finance, la fine fleur de l'establishment. Pourquoi ? Qui est vraiment responsable de cette déroute qui aura finalement coûté cinq milliards de francs à quelques grands investisseurs, mais surtout à des milliers de petits créanciers ? Une minutieuse enquête, appuyée sur de nombreux documents confidentiels.