Une douce anarchie. Les années 68 au Québec
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- Nombre de pages314
- FormatPDF
- ISBN978-2-7646-0813-5
- EAN9782764608135
- Date de parution29/04/2008
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurBoréal (Editions du)
Résumé
La mémoire des « années 1968 » (1967-1970) évoque, pour l'ensemble du mouvement étudiant québécois, un moment de profonde dérive anarchiste. À en croire les témoignages actuels, il semble que l'on n'ait jamais autant rêvé et déliré que pendant cette décennie où les jeunes découvraient en masse les plaisirs du triptyque « sex, drugs and rock & roll ». Qu'en est-il vraiment ? Que s'est-il passé à la fin des années soixante, entre la disparition des collèges classiques et la crise d'Octobre ? Les années soixante furent-elles si douces et si belles pour les acteurs de cette époque parce qu'ils avaient alors vingt ans, et qu'ils sont portés aujourd'hui à idéaliser le temps passé à l'université ou au collège, ou faut-il les croire quand ils nous parlent d'une décennie où l'on avait le courage de se donner corps et âme à la révolution ? C'est afin de cerner la portée et le sens des utopies véhiculées par la jeunesse de l'époque que Jean-Philippe Warren a entrepris l'analyse des chahuts étudiants dans la deuxième moitié de la décennie soixante.
En revenant sur l'histoire turbulente des mouvements les plus radicaux, l'auteur nous oblige à réévaluer la place de ces années mythiques dans la création du Québec contemporain et l'héritage qu'elles nous ont légué.
En revenant sur l'histoire turbulente des mouvements les plus radicaux, l'auteur nous oblige à réévaluer la place de ces années mythiques dans la création du Québec contemporain et l'héritage qu'elles nous ont légué.
La mémoire des « années 1968 » (1967-1970) évoque, pour l'ensemble du mouvement étudiant québécois, un moment de profonde dérive anarchiste. À en croire les témoignages actuels, il semble que l'on n'ait jamais autant rêvé et déliré que pendant cette décennie où les jeunes découvraient en masse les plaisirs du triptyque « sex, drugs and rock & roll ». Qu'en est-il vraiment ? Que s'est-il passé à la fin des années soixante, entre la disparition des collèges classiques et la crise d'Octobre ? Les années soixante furent-elles si douces et si belles pour les acteurs de cette époque parce qu'ils avaient alors vingt ans, et qu'ils sont portés aujourd'hui à idéaliser le temps passé à l'université ou au collège, ou faut-il les croire quand ils nous parlent d'une décennie où l'on avait le courage de se donner corps et âme à la révolution ? C'est afin de cerner la portée et le sens des utopies véhiculées par la jeunesse de l'époque que Jean-Philippe Warren a entrepris l'analyse des chahuts étudiants dans la deuxième moitié de la décennie soixante.
En revenant sur l'histoire turbulente des mouvements les plus radicaux, l'auteur nous oblige à réévaluer la place de ces années mythiques dans la création du Québec contemporain et l'héritage qu'elles nous ont légué.
En revenant sur l'histoire turbulente des mouvements les plus radicaux, l'auteur nous oblige à réévaluer la place de ces années mythiques dans la création du Québec contemporain et l'héritage qu'elles nous ont légué.