Une dernière petite sieste : Histoires de vie et faits divers
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- Nombre de pages159
- FormatePub
- ISBN2-402-04849-2
- EAN9782402048491
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Bert...
Résumé
Ces « Chroniques d'aujourd'hui » décrivent, sous une forme anecdotique tendue en permanence par le suspense, la vie des gens et leur intimité dans une petite ville normande. L'exergue de Céline donne le ton : on ne sait rien de la véritable histoire des gens et le fait divers révèle, souvent de façon brutale, leur face cachée, leur part d'ombre. Un jeune journaliste, fraîchement nommé dans une Rédaction, tient la rubrique des faits divers.
D'abord indifférent, il se prend au jeu, tente de comprendre. Le lecteur a sur lui un avantage : chaque fait divers est précédé d'un soliloque, à travers lequel les acteurs impliqués expriment leur solitude, leur mal-être, leurs manies, leurs manigances. Le fait divers prend alors toute sa signification. Ainsi défilent, sous notre regard médusé, des ombres insolites : une jeune chômeuse en errance, un lycéen shooté, une nonagénaire maltraitée, un prêtre fugueur, une petite fille abusée, une commerçante hystérique, un magasinier dépressif, une cleptomane enjôleuse, une enseignante affolée et bien d'autres encore.
Dans chacun de ces soliloques, l'auteur se livre à un exercice d'humour grinçant, tout en sculptant avec minutie des vignettes cliniques où s'entrecroisent : une personnalité, un discours typé, une condition sociale, un niveau de conscience, une situation. À travers les mots bruts de tous les jours, se dévoile le côté mystérieux et inconscient des personnages. S'ils parviennent à nous émouvoir, si nous craignons pour eux, n'est-ce pas parce que, quelque part, ils nous ressemblent un peu ?
D'abord indifférent, il se prend au jeu, tente de comprendre. Le lecteur a sur lui un avantage : chaque fait divers est précédé d'un soliloque, à travers lequel les acteurs impliqués expriment leur solitude, leur mal-être, leurs manies, leurs manigances. Le fait divers prend alors toute sa signification. Ainsi défilent, sous notre regard médusé, des ombres insolites : une jeune chômeuse en errance, un lycéen shooté, une nonagénaire maltraitée, un prêtre fugueur, une petite fille abusée, une commerçante hystérique, un magasinier dépressif, une cleptomane enjôleuse, une enseignante affolée et bien d'autres encore.
Dans chacun de ces soliloques, l'auteur se livre à un exercice d'humour grinçant, tout en sculptant avec minutie des vignettes cliniques où s'entrecroisent : une personnalité, un discours typé, une condition sociale, un niveau de conscience, une situation. À travers les mots bruts de tous les jours, se dévoile le côté mystérieux et inconscient des personnages. S'ils parviennent à nous émouvoir, si nous craignons pour eux, n'est-ce pas parce que, quelque part, ils nous ressemblent un peu ?
Ces « Chroniques d'aujourd'hui » décrivent, sous une forme anecdotique tendue en permanence par le suspense, la vie des gens et leur intimité dans une petite ville normande. L'exergue de Céline donne le ton : on ne sait rien de la véritable histoire des gens et le fait divers révèle, souvent de façon brutale, leur face cachée, leur part d'ombre. Un jeune journaliste, fraîchement nommé dans une Rédaction, tient la rubrique des faits divers.
D'abord indifférent, il se prend au jeu, tente de comprendre. Le lecteur a sur lui un avantage : chaque fait divers est précédé d'un soliloque, à travers lequel les acteurs impliqués expriment leur solitude, leur mal-être, leurs manies, leurs manigances. Le fait divers prend alors toute sa signification. Ainsi défilent, sous notre regard médusé, des ombres insolites : une jeune chômeuse en errance, un lycéen shooté, une nonagénaire maltraitée, un prêtre fugueur, une petite fille abusée, une commerçante hystérique, un magasinier dépressif, une cleptomane enjôleuse, une enseignante affolée et bien d'autres encore.
Dans chacun de ces soliloques, l'auteur se livre à un exercice d'humour grinçant, tout en sculptant avec minutie des vignettes cliniques où s'entrecroisent : une personnalité, un discours typé, une condition sociale, un niveau de conscience, une situation. À travers les mots bruts de tous les jours, se dévoile le côté mystérieux et inconscient des personnages. S'ils parviennent à nous émouvoir, si nous craignons pour eux, n'est-ce pas parce que, quelque part, ils nous ressemblent un peu ?
D'abord indifférent, il se prend au jeu, tente de comprendre. Le lecteur a sur lui un avantage : chaque fait divers est précédé d'un soliloque, à travers lequel les acteurs impliqués expriment leur solitude, leur mal-être, leurs manies, leurs manigances. Le fait divers prend alors toute sa signification. Ainsi défilent, sous notre regard médusé, des ombres insolites : une jeune chômeuse en errance, un lycéen shooté, une nonagénaire maltraitée, un prêtre fugueur, une petite fille abusée, une commerçante hystérique, un magasinier dépressif, une cleptomane enjôleuse, une enseignante affolée et bien d'autres encore.
Dans chacun de ces soliloques, l'auteur se livre à un exercice d'humour grinçant, tout en sculptant avec minutie des vignettes cliniques où s'entrecroisent : une personnalité, un discours typé, une condition sociale, un niveau de conscience, une situation. À travers les mots bruts de tous les jours, se dévoile le côté mystérieux et inconscient des personnages. S'ils parviennent à nous émouvoir, si nous craignons pour eux, n'est-ce pas parce que, quelque part, ils nous ressemblent un peu ?