Le patois du Bois-d'Oingt comme il se parlait en 1900
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- Nombre de pages202
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.34 kg
- Dimensions15,8 cm × 23,6 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-8240-1185-1
- EAN9782824011851
- Date de parution20/04/2025
- CollectionRadics
- ÉditeurEditions des régionalismes
- Directeur de publicationClaude Michel
Résumé
Pierre Marie Gourd (1900-1991), mécanicien à Saint-Laurent-d'Oingt, a laissé deux manuscrits concernant sa commune et Le Bois-d'Oingt, dans le Beaujolais. L'un s'intéresse à l'histoire de ces villages et aux coutumes de cette région. L'autre, que nous publions ici, Lo Patois du Boë comme y se parlove in diz-nu san, est un recueil d'anecdotes et d'histoires à rire en patois du Bois-d'Oingt, avec leur traduction.
Il est précédé d'une grammaire et d'un lexique permettant d'observer le fonctionnement de cette langue francoprovençale au XXe siècle. C'est un témoignage précieux qui rapproche, à sept siècles d'intervalle, la langue des écrits de Marguerite d'Oingt, moniale du XIIIe siècle, fille du seigneur d'Oingt, et le patois utilisé dans une commune voisine, au moment où cette langue est en train de disparaître.
On s'aperçoit que malgré le temps, le parler de ces deux auteurs est fort proche. Comme beaucoup de travaux de ce type, l'intérêt linguistique se double d'un intérêt ethnographique. Le lecteur voit revivre les gens de cette première partie du XXe siècle et les réflexions de l'auteur, qui a connu les évolutions techniques et les guerres de cette époque, montrent le charme de cette vie pourtant rude et laborieuse, où le rapport au temps et à l'argent n'a pas encore entièrement modifié les mentalités.
Il est précédé d'une grammaire et d'un lexique permettant d'observer le fonctionnement de cette langue francoprovençale au XXe siècle. C'est un témoignage précieux qui rapproche, à sept siècles d'intervalle, la langue des écrits de Marguerite d'Oingt, moniale du XIIIe siècle, fille du seigneur d'Oingt, et le patois utilisé dans une commune voisine, au moment où cette langue est en train de disparaître.
On s'aperçoit que malgré le temps, le parler de ces deux auteurs est fort proche. Comme beaucoup de travaux de ce type, l'intérêt linguistique se double d'un intérêt ethnographique. Le lecteur voit revivre les gens de cette première partie du XXe siècle et les réflexions de l'auteur, qui a connu les évolutions techniques et les guerres de cette époque, montrent le charme de cette vie pourtant rude et laborieuse, où le rapport au temps et à l'argent n'a pas encore entièrement modifié les mentalités.
Pierre Marie Gourd (1900-1991), mécanicien à Saint-Laurent-d'Oingt, a laissé deux manuscrits concernant sa commune et Le Bois-d'Oingt, dans le Beaujolais. L'un s'intéresse à l'histoire de ces villages et aux coutumes de cette région. L'autre, que nous publions ici, Lo Patois du Boë comme y se parlove in diz-nu san, est un recueil d'anecdotes et d'histoires à rire en patois du Bois-d'Oingt, avec leur traduction.
Il est précédé d'une grammaire et d'un lexique permettant d'observer le fonctionnement de cette langue francoprovençale au XXe siècle. C'est un témoignage précieux qui rapproche, à sept siècles d'intervalle, la langue des écrits de Marguerite d'Oingt, moniale du XIIIe siècle, fille du seigneur d'Oingt, et le patois utilisé dans une commune voisine, au moment où cette langue est en train de disparaître.
On s'aperçoit que malgré le temps, le parler de ces deux auteurs est fort proche. Comme beaucoup de travaux de ce type, l'intérêt linguistique se double d'un intérêt ethnographique. Le lecteur voit revivre les gens de cette première partie du XXe siècle et les réflexions de l'auteur, qui a connu les évolutions techniques et les guerres de cette époque, montrent le charme de cette vie pourtant rude et laborieuse, où le rapport au temps et à l'argent n'a pas encore entièrement modifié les mentalités.
Il est précédé d'une grammaire et d'un lexique permettant d'observer le fonctionnement de cette langue francoprovençale au XXe siècle. C'est un témoignage précieux qui rapproche, à sept siècles d'intervalle, la langue des écrits de Marguerite d'Oingt, moniale du XIIIe siècle, fille du seigneur d'Oingt, et le patois utilisé dans une commune voisine, au moment où cette langue est en train de disparaître.
On s'aperçoit que malgré le temps, le parler de ces deux auteurs est fort proche. Comme beaucoup de travaux de ce type, l'intérêt linguistique se double d'un intérêt ethnographique. Le lecteur voit revivre les gens de cette première partie du XXe siècle et les réflexions de l'auteur, qui a connu les évolutions techniques et les guerres de cette époque, montrent le charme de cette vie pourtant rude et laborieuse, où le rapport au temps et à l'argent n'a pas encore entièrement modifié les mentalités.