Un ordre et sa destruction
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages446
- FormatePub
- ISBN2-402-14135-2
- EAN9782402141352
- Date de parution01/01/1982
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (ORST...
Résumé
Ce livre constitue le premier volet d'un ensemble de travaux sur les campagnes du Congo. Je m'y efforce de relever, à l'intérieur de la situation de dépendance où se trouvent les sociétés rurales congolaises, toutes les potentialités, toutes les tentatives même si elles sont vaincues qui doivent être prises en compte par tous ceux qui s'attellent à la tâche immense mais surmontable de mettre fin à une domination qui n'est nullement inscrite à jamais dans l'ordre des choses.
Cette position ramène l'histoire sur le terrain de l'anthropologie.
Ce travail n'est pas une histoire mais une anthropologie qui utilise l'histoire comme révélateur nécessaire des capacités qu'a une société particulière à se produire elle-même et à se situer aujourd'hui, de façon dialectique, dans une dépendance qu'il n'est pas question de nier (il suffira de me lire pour en être convaincu) mais à laquelle elle ne peut être réduite. La dépendance des sociétés africaines n'est plus alors le seul statut historique qui leur est accordé.
Avant de considérer les société africaines immergées dans les eaux d'une histoire qui les domine, il faut montrer comment ces sociétés se produisent elles-mêmes, comment, ce faisant, elles s'orientent dans le temps, c'est-à-dire comment elles produisent leur histoire.
Ce travail n'est pas une histoire mais une anthropologie qui utilise l'histoire comme révélateur nécessaire des capacités qu'a une société particulière à se produire elle-même et à se situer aujourd'hui, de façon dialectique, dans une dépendance qu'il n'est pas question de nier (il suffira de me lire pour en être convaincu) mais à laquelle elle ne peut être réduite. La dépendance des sociétés africaines n'est plus alors le seul statut historique qui leur est accordé.
Avant de considérer les société africaines immergées dans les eaux d'une histoire qui les domine, il faut montrer comment ces sociétés se produisent elles-mêmes, comment, ce faisant, elles s'orientent dans le temps, c'est-à-dire comment elles produisent leur histoire.
Ce livre constitue le premier volet d'un ensemble de travaux sur les campagnes du Congo. Je m'y efforce de relever, à l'intérieur de la situation de dépendance où se trouvent les sociétés rurales congolaises, toutes les potentialités, toutes les tentatives même si elles sont vaincues qui doivent être prises en compte par tous ceux qui s'attellent à la tâche immense mais surmontable de mettre fin à une domination qui n'est nullement inscrite à jamais dans l'ordre des choses.
Cette position ramène l'histoire sur le terrain de l'anthropologie.
Ce travail n'est pas une histoire mais une anthropologie qui utilise l'histoire comme révélateur nécessaire des capacités qu'a une société particulière à se produire elle-même et à se situer aujourd'hui, de façon dialectique, dans une dépendance qu'il n'est pas question de nier (il suffira de me lire pour en être convaincu) mais à laquelle elle ne peut être réduite. La dépendance des sociétés africaines n'est plus alors le seul statut historique qui leur est accordé.
Avant de considérer les société africaines immergées dans les eaux d'une histoire qui les domine, il faut montrer comment ces sociétés se produisent elles-mêmes, comment, ce faisant, elles s'orientent dans le temps, c'est-à-dire comment elles produisent leur histoire.
Ce travail n'est pas une histoire mais une anthropologie qui utilise l'histoire comme révélateur nécessaire des capacités qu'a une société particulière à se produire elle-même et à se situer aujourd'hui, de façon dialectique, dans une dépendance qu'il n'est pas question de nier (il suffira de me lire pour en être convaincu) mais à laquelle elle ne peut être réduite. La dépendance des sociétés africaines n'est plus alors le seul statut historique qui leur est accordé.
Avant de considérer les société africaines immergées dans les eaux d'une histoire qui les domine, il faut montrer comment ces sociétés se produisent elles-mêmes, comment, ce faisant, elles s'orientent dans le temps, c'est-à-dire comment elles produisent leur histoire.