Je pensais relire les aventures d’Amelia Peabody mais il s’est avéré que je n’avais jamais lu un de ses romans car c’est un personnage difficile à oublier, d’autant plus que ses péripéties se déroulent à la fin du XIXème siècle !
Nous faisons sa connaissance dans Un crocodile sur un banc de sable où nous apprenons que son père lui a légué assez d’argent pour qu’elle puisse faire ce dont elle a envie. Jeune fille “ingrate”, toujours célibataire à 30 ans, elle entreprend d’aller visiter l’Egypte dont son père lui a communiqué la passion, non seulement du pays mais aussi de l’archéologie. Après divers petits événements, elle rencontre en Italie celle qui va devenir sa dame de compagnie : Evelyn.
Ce premier tome permet à Elizabeth Peters de mettre en place des personnages qui deviendront récurrents et surtout de nous dépeindre une Amelia dégourdie et indépendante qui n’a aucun désir de se mettre à la merci d’un mari, féministe avant l’heure mais généreuse et plutôt maline, pleine de sang-froid et de hardiesse !
C’est elle qui raconte ses aventures en rédigeant un roman. Elle s’adresse parfois à ses lecteurs et j’ai trouvé ça très amusant, car l’humour et l’auto-dérision sont largement présents même si ces apartés sont là, bien souvent, pour jurer de sa bonne foi !
C’est ainsi que dans cette histoire elle va découvrir l’archéologie de terrain, ses dangers, réels ou imaginés à partir de légendes de malédictions et nous découvrirons avec elle tout ce qu’elle est capable d’accomplir.
J’ai enchainé aussitôt avec le tome 2 présent dans ce recueil, La malédiction des Pharaons, car non seulement Amelia est une personne attach(i)ante mais aussi parce que tout ce qui a trait à l’archéologie égyptienne est authentique et très bien écrit par l’autrice, sans parler des intrigues que j’ai beaucoup aimé.
En dehors du fait qu’Elizabeth Peters a fait de son héroïne une femme indépendante et en avance sur son époque, elle-même n’était pas en reste de modernité pour décrire les sentiments et les mettre en scène. Sans jamais oublier l’humour !!
#UnCrocodilesurunbancdesablesuivideLaMalédictiondespharaons #NetGalleyFrance
Je pensais relire les aventures d’Amelia Peabody mais il s’est avéré que je n’avais jamais lu un de ses romans car c’est un personnage difficile à oublier, d’autant plus que ses péripéties se déroulent à la fin du XIXème siècle !
Nous faisons sa connaissance dans Un crocodile sur un banc de sable où nous apprenons que son père lui a légué assez d’argent pour qu’elle puisse faire ce dont elle a envie. Jeune fille “ingrate”, toujours célibataire à 30 ans, elle entreprend d’aller visiter l’Egypte dont son père lui a communiqué la passion, non seulement du pays mais aussi de l’archéologie. Après divers petits événements, elle rencontre en Italie celle qui va devenir sa dame de compagnie : Evelyn.
Ce premier tome permet à Elizabeth Peters de mettre en place des personnages qui deviendront récurrents et surtout de nous dépeindre une Amelia dégourdie et indépendante qui n’a aucun désir de se mettre à la merci d’un mari, féministe avant l’heure mais généreuse et plutôt maline, pleine de sang-froid et de hardiesse !
C’est elle qui raconte ses aventures en rédigeant un roman. Elle s’adresse parfois à ses lecteurs et j’ai trouvé ça très amusant, car l’humour et l’auto-dérision sont largement présents même si ces apartés sont là, bien souvent, pour jurer de sa bonne foi !
C’est ainsi que dans cette histoire elle va découvrir l’archéologie de terrain, ses dangers, réels ou imaginés à partir de légendes de malédictions et nous découvrirons avec elle tout ce qu’elle est capable d’accomplir.
J’ai enchainé aussitôt avec le tome 2 présent dans ce recueil, La malédiction des Pharaons, car non seulement Amelia est une personne attach(i)ante mais aussi parce que tout ce qui a trait à l’archéologie égyptienne est authentique et très bien écrit par l’autrice, sans parler des intrigues que j’ai beaucoup aimé.
En dehors du fait qu’Elizabeth Peters a fait de son héroïne une femme indépendante et en avance sur son époque, elle-même n’était pas en reste de modernité pour décrire les sentiments et les mettre en scène. Sans jamais oublier l’humour !!
#UnCrocodilesurunbancdesablesuivideLaMalédictiondespharaons #NetGalleyFrance