Trois romans
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- Nombre de pages408
- FormatePub
- ISBN978-2-246-16639-9
- EAN9782246166399
- Date de parution01/04/2014
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille457 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
C'est entre 1948 et 1951 que Roger Vailland écrivit les trois romans rassemblés dans ce volume. À l'époque, leur auteur vient de franchir la quarantaine, il entre dans l'âge où les frayeurs, les timidités et les niaiseries de la jeunesse doivent se transformer en maturité souveraine - c'est ce que Vailland lui-même, si attentif à sa météorologie intérieure, appelait " l'âge de l'équinoxe ". Comme le précise François Bott dans sa préface, le romancier qui va publier successivement les Mauvais Coups, Bon pied bon oeil et Un jeune homme seul a déjà exercé plusieurs métiers : l'adolescence, le surréalisme, les voyages, les flâneries nocturnes, le libertinage, la Résistance, la littérature.
Il revendique, de surcroît, une double nationalité puisque, à son passeport français, il ajoute une âme d'incorrigible stendhalien, et c'est à travers une succession d'identités qu'il composera ces trois ouvrages qui ont, en commun, plus qu'une simple proximité chronologique. À l'image de son maître - qui, dans un chapitre célèbre de De l'amour, tremblait de n'avoir écrit qu'un soupir quand il croyait avoir noté une vérité -, Roger Vailland s'y abrite derrière un style sec, sans concession, plus ciselé qu'une pierre rare.
Il y évoque aussi sa solitude, ses passions, son incurable ennui, son go-t pour la séduction. Il offre ainsi, à une France douloureuse, le bréviaire romanesque de sa mélancolie d'après-guerre.
Il revendique, de surcroît, une double nationalité puisque, à son passeport français, il ajoute une âme d'incorrigible stendhalien, et c'est à travers une succession d'identités qu'il composera ces trois ouvrages qui ont, en commun, plus qu'une simple proximité chronologique. À l'image de son maître - qui, dans un chapitre célèbre de De l'amour, tremblait de n'avoir écrit qu'un soupir quand il croyait avoir noté une vérité -, Roger Vailland s'y abrite derrière un style sec, sans concession, plus ciselé qu'une pierre rare.
Il y évoque aussi sa solitude, ses passions, son incurable ennui, son go-t pour la séduction. Il offre ainsi, à une France douloureuse, le bréviaire romanesque de sa mélancolie d'après-guerre.
C'est entre 1948 et 1951 que Roger Vailland écrivit les trois romans rassemblés dans ce volume. À l'époque, leur auteur vient de franchir la quarantaine, il entre dans l'âge où les frayeurs, les timidités et les niaiseries de la jeunesse doivent se transformer en maturité souveraine - c'est ce que Vailland lui-même, si attentif à sa météorologie intérieure, appelait " l'âge de l'équinoxe ". Comme le précise François Bott dans sa préface, le romancier qui va publier successivement les Mauvais Coups, Bon pied bon oeil et Un jeune homme seul a déjà exercé plusieurs métiers : l'adolescence, le surréalisme, les voyages, les flâneries nocturnes, le libertinage, la Résistance, la littérature.
Il revendique, de surcroît, une double nationalité puisque, à son passeport français, il ajoute une âme d'incorrigible stendhalien, et c'est à travers une succession d'identités qu'il composera ces trois ouvrages qui ont, en commun, plus qu'une simple proximité chronologique. À l'image de son maître - qui, dans un chapitre célèbre de De l'amour, tremblait de n'avoir écrit qu'un soupir quand il croyait avoir noté une vérité -, Roger Vailland s'y abrite derrière un style sec, sans concession, plus ciselé qu'une pierre rare.
Il y évoque aussi sa solitude, ses passions, son incurable ennui, son go-t pour la séduction. Il offre ainsi, à une France douloureuse, le bréviaire romanesque de sa mélancolie d'après-guerre.
Il revendique, de surcroît, une double nationalité puisque, à son passeport français, il ajoute une âme d'incorrigible stendhalien, et c'est à travers une succession d'identités qu'il composera ces trois ouvrages qui ont, en commun, plus qu'une simple proximité chronologique. À l'image de son maître - qui, dans un chapitre célèbre de De l'amour, tremblait de n'avoir écrit qu'un soupir quand il croyait avoir noté une vérité -, Roger Vailland s'y abrite derrière un style sec, sans concession, plus ciselé qu'une pierre rare.
Il y évoque aussi sa solitude, ses passions, son incurable ennui, son go-t pour la séduction. Il offre ainsi, à une France douloureuse, le bréviaire romanesque de sa mélancolie d'après-guerre.