Le regard froid
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- Nombre de pages226
- FormatePub
- ISBN978-2-246-16649-8
- EAN9782246166498
- Date de parution17/10/2007
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille545 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
Dans Le Regard froid, publié en 1963, Vailland réunit plusieurs de ses textes, parmi lesquels « Les Quatre figures du libertinage » et « Le Carnet de comptes d'un homme heureux ». Il admire Laclos. Il envie Casanova, son bonheur, il épluche même ses dettes. Il évoque le Cardinal de Bernis, dans lequel il reconnaît du Julien Sorel et du comte Mosca. Surtout, il aime l'esprit français, cette légèreté qui s'oublie et se connaît.
Au fil des pages, l'auteur des Mauvais coups revient sur les thèmes qui lui sont chers : le plaisir, l'érotisme, le libertinage, la poursuite du bonheur, et bien sûr, le jeu. Roger Vailland dit lui-même : « Entre les essais divers qui composent ce livre, il y a un lien. Ce sont des variations sur le jeu de société. Le libertinage en est un, le cyclisme en est un autre. Tous deux ont leurs règles, leurs rites, leurs performances, leurs connaisseurs, leurs champions.
C'est le fondement même de la vie de société que de métamorphoser les activités spontanées de toutes sortes en jeux strictement codifiés. » Roger Vailland se fait donc moraliste. Son style est sec, sa pensée concise. Elle éclaire ainsi la phrase de Sade : « Il posa sur moi le regard froid du vrai libertin. »
Au fil des pages, l'auteur des Mauvais coups revient sur les thèmes qui lui sont chers : le plaisir, l'érotisme, le libertinage, la poursuite du bonheur, et bien sûr, le jeu. Roger Vailland dit lui-même : « Entre les essais divers qui composent ce livre, il y a un lien. Ce sont des variations sur le jeu de société. Le libertinage en est un, le cyclisme en est un autre. Tous deux ont leurs règles, leurs rites, leurs performances, leurs connaisseurs, leurs champions.
C'est le fondement même de la vie de société que de métamorphoser les activités spontanées de toutes sortes en jeux strictement codifiés. » Roger Vailland se fait donc moraliste. Son style est sec, sa pensée concise. Elle éclaire ainsi la phrase de Sade : « Il posa sur moi le regard froid du vrai libertin. »
Dans Le Regard froid, publié en 1963, Vailland réunit plusieurs de ses textes, parmi lesquels « Les Quatre figures du libertinage » et « Le Carnet de comptes d'un homme heureux ». Il admire Laclos. Il envie Casanova, son bonheur, il épluche même ses dettes. Il évoque le Cardinal de Bernis, dans lequel il reconnaît du Julien Sorel et du comte Mosca. Surtout, il aime l'esprit français, cette légèreté qui s'oublie et se connaît.
Au fil des pages, l'auteur des Mauvais coups revient sur les thèmes qui lui sont chers : le plaisir, l'érotisme, le libertinage, la poursuite du bonheur, et bien sûr, le jeu. Roger Vailland dit lui-même : « Entre les essais divers qui composent ce livre, il y a un lien. Ce sont des variations sur le jeu de société. Le libertinage en est un, le cyclisme en est un autre. Tous deux ont leurs règles, leurs rites, leurs performances, leurs connaisseurs, leurs champions.
C'est le fondement même de la vie de société que de métamorphoser les activités spontanées de toutes sortes en jeux strictement codifiés. » Roger Vailland se fait donc moraliste. Son style est sec, sa pensée concise. Elle éclaire ainsi la phrase de Sade : « Il posa sur moi le regard froid du vrai libertin. »
Au fil des pages, l'auteur des Mauvais coups revient sur les thèmes qui lui sont chers : le plaisir, l'érotisme, le libertinage, la poursuite du bonheur, et bien sûr, le jeu. Roger Vailland dit lui-même : « Entre les essais divers qui composent ce livre, il y a un lien. Ce sont des variations sur le jeu de société. Le libertinage en est un, le cyclisme en est un autre. Tous deux ont leurs règles, leurs rites, leurs performances, leurs connaisseurs, leurs champions.
C'est le fondement même de la vie de société que de métamorphoser les activités spontanées de toutes sortes en jeux strictement codifiés. » Roger Vailland se fait donc moraliste. Son style est sec, sa pensée concise. Elle éclaire ainsi la phrase de Sade : « Il posa sur moi le regard froid du vrai libertin. »