Six cent vers de ma vie
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- FormatMulti-format
- ISBN979-10-203-2632-4
- EAN9791020326324
- Date de parution24/07/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant Accès stre...
- ÉditeurÉditions Baudelaire
Résumé
Dualité, tel pourrait être l'autre titre de ce recueil de cent sizains. Dualité, tout d'abord, des périodes de la vie de l'auteur d'où certains d'eux puisent leur essence. De son enfance jusqu'à sa vie d'étudiant, ils héritent du romantisme parfois naïf de la jeunesse. De sa vie professionnelle, ils se teintent peu à peu d'amertume, puis du pragmatisme avisé annonçant l'aube de la vieillesse. Dualité, enfin, de l'auteur lui-même, scientifique et artiste à la fois.
Il est peu banal que l'auteur d'une ouvre littéraire possède un parcours professionnel essentiellement scientifique.
C'est pourquoi je ne détaillerai pas ce dernier. Que le lecteur sache simplement que je suis ingénieur, docteur, professeur de mathématique et de physique dans une école d'ingénieurs où je fus, successivement, chercheur puis directeur du département de mathématique, informatique et physique. Pour le reste, ma génération était celle où l'orientation des élèves la mieux prisée s'effectuait vers les filières littéraires.
Ainsi, j'ai essentiellement étudié, au collège, la littérature française, le latin, l'allemand et le russe, avant que la réforme des mathématiques modernes ne m'oriente, au lycée, vers les classes scientifiques. Parallèlement, je fis dix années d'études au conservatoire régional de musique de Douai, où j'obtins de nombreux premiers prix. Ainsi, mon premier métier fut, en toute logique, celui de musicien à l'opéra et à l'orchestre philharmonique de Lille.
De toute cette période m'est demeurée la passion des arts, qu'il s'agisse de musique (pratique instrumentale, composition), de littérature (lecture des grands classiques, écriture de poèmes et de prose), ou d'arts graphiques (dessin, peinture, calligraphie, gravure).
C'est pourquoi je ne détaillerai pas ce dernier. Que le lecteur sache simplement que je suis ingénieur, docteur, professeur de mathématique et de physique dans une école d'ingénieurs où je fus, successivement, chercheur puis directeur du département de mathématique, informatique et physique. Pour le reste, ma génération était celle où l'orientation des élèves la mieux prisée s'effectuait vers les filières littéraires.
Ainsi, j'ai essentiellement étudié, au collège, la littérature française, le latin, l'allemand et le russe, avant que la réforme des mathématiques modernes ne m'oriente, au lycée, vers les classes scientifiques. Parallèlement, je fis dix années d'études au conservatoire régional de musique de Douai, où j'obtins de nombreux premiers prix. Ainsi, mon premier métier fut, en toute logique, celui de musicien à l'opéra et à l'orchestre philharmonique de Lille.
De toute cette période m'est demeurée la passion des arts, qu'il s'agisse de musique (pratique instrumentale, composition), de littérature (lecture des grands classiques, écriture de poèmes et de prose), ou d'arts graphiques (dessin, peinture, calligraphie, gravure).
Dualité, tel pourrait être l'autre titre de ce recueil de cent sizains. Dualité, tout d'abord, des périodes de la vie de l'auteur d'où certains d'eux puisent leur essence. De son enfance jusqu'à sa vie d'étudiant, ils héritent du romantisme parfois naïf de la jeunesse. De sa vie professionnelle, ils se teintent peu à peu d'amertume, puis du pragmatisme avisé annonçant l'aube de la vieillesse. Dualité, enfin, de l'auteur lui-même, scientifique et artiste à la fois.
Il est peu banal que l'auteur d'une ouvre littéraire possède un parcours professionnel essentiellement scientifique.
C'est pourquoi je ne détaillerai pas ce dernier. Que le lecteur sache simplement que je suis ingénieur, docteur, professeur de mathématique et de physique dans une école d'ingénieurs où je fus, successivement, chercheur puis directeur du département de mathématique, informatique et physique. Pour le reste, ma génération était celle où l'orientation des élèves la mieux prisée s'effectuait vers les filières littéraires.
Ainsi, j'ai essentiellement étudié, au collège, la littérature française, le latin, l'allemand et le russe, avant que la réforme des mathématiques modernes ne m'oriente, au lycée, vers les classes scientifiques. Parallèlement, je fis dix années d'études au conservatoire régional de musique de Douai, où j'obtins de nombreux premiers prix. Ainsi, mon premier métier fut, en toute logique, celui de musicien à l'opéra et à l'orchestre philharmonique de Lille.
De toute cette période m'est demeurée la passion des arts, qu'il s'agisse de musique (pratique instrumentale, composition), de littérature (lecture des grands classiques, écriture de poèmes et de prose), ou d'arts graphiques (dessin, peinture, calligraphie, gravure).
C'est pourquoi je ne détaillerai pas ce dernier. Que le lecteur sache simplement que je suis ingénieur, docteur, professeur de mathématique et de physique dans une école d'ingénieurs où je fus, successivement, chercheur puis directeur du département de mathématique, informatique et physique. Pour le reste, ma génération était celle où l'orientation des élèves la mieux prisée s'effectuait vers les filières littéraires.
Ainsi, j'ai essentiellement étudié, au collège, la littérature française, le latin, l'allemand et le russe, avant que la réforme des mathématiques modernes ne m'oriente, au lycée, vers les classes scientifiques. Parallèlement, je fis dix années d'études au conservatoire régional de musique de Douai, où j'obtins de nombreux premiers prix. Ainsi, mon premier métier fut, en toute logique, celui de musicien à l'opéra et à l'orchestre philharmonique de Lille.
De toute cette période m'est demeurée la passion des arts, qu'il s'agisse de musique (pratique instrumentale, composition), de littérature (lecture des grands classiques, écriture de poèmes et de prose), ou d'arts graphiques (dessin, peinture, calligraphie, gravure).