Simon Velez architecte. La maîtrise du bambou
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- Nombre de pages257
- FormatPDF
- ISBN978-2-330-14590-3
- EAN9782330145903
- Date de parution12/05/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille91 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurActes Sud
- PhotographeDeidi von Schaewen
Résumé
Avec pour seuls outils un cahier Clairefontaine et des crayons de couleur, l'architecte colombien Simon Vélez décline des structures complexes en bambou guadua (« guadua angustifolia »), espèce endémique des vallées colombiennes. Le travail de Simon Vélez, fils d'architecte, est largement déterminé par les conditions du climat tropical - équivalence immuable du jour et de la nuit, absence de saisons, luxuriance et diversité phénoménales de la végétation, y compris dans les altitudes élevées au climat frais.
Chez lui, comme pour les Colombiens, la botanique est une sorte de seconde nature, qu'il manie magistralement dans son travail. En étroite collaboration avec l'ingénieur-constructeur Marcello Villegas, il a imaginé une série d'assemblages de tiges de bambou et développé un savoir-faire à la fois très spécifique et d'une grande précision. Sa mise en oeuvre est exigeante, mais d'un niveau technique suffisamment simple pour qu'il puisse l'appliquer dans des conditions de chantiers forains ne disposant que d'un outillage assez simple.
L'optimisation de cette technologie est à la base de l'organisation de ses chantiers, où il opère à l'aide d'une importante main-d'oeuvre qualifiée. Avec cette monographie illustrée par des photographies de Deidi von Schaewen, Pierre Frey nous offre l'un des rares ouvrages sur ce créateur. Tout au long de ce portrait, textes et images nous font découvrir un panorama des édifices et des méthodes de construction de l'architecte colombien, relevant d'une architecture vernaculaire que l'auteur considère comme un "symptôme de l'état du monde et des sociétés qui le peuplent".
Le pragmatisme développé par Simon Vélez pour ses constructions en bambou guadua est typique de toute sa démarche. Il agit de manière analogue, qu'il travaille le béton, d'autres espèces de bois ou l'acier. Il se défend d'ailleurs énergiquement d'être un « bambousero » et s'entend à merveille à distinguer les matériaux en leur assignant les fonctions les plus spécifiquement conformes à leurs performances.
Il a ainsi su persuader ses clients les plus fortunés de se faire bâtir des résidences luxueuses, édifiées dans le matériau utilisé par les simples paysans ! Il a également réussi à convaincre maintes grandes administrations publiques, municipalités ou entreprises soucieuses de leur empreinte environnementale d'adopter le bambou guadua et d'assumer l'image qui lui est liée.
Chez lui, comme pour les Colombiens, la botanique est une sorte de seconde nature, qu'il manie magistralement dans son travail. En étroite collaboration avec l'ingénieur-constructeur Marcello Villegas, il a imaginé une série d'assemblages de tiges de bambou et développé un savoir-faire à la fois très spécifique et d'une grande précision. Sa mise en oeuvre est exigeante, mais d'un niveau technique suffisamment simple pour qu'il puisse l'appliquer dans des conditions de chantiers forains ne disposant que d'un outillage assez simple.
L'optimisation de cette technologie est à la base de l'organisation de ses chantiers, où il opère à l'aide d'une importante main-d'oeuvre qualifiée. Avec cette monographie illustrée par des photographies de Deidi von Schaewen, Pierre Frey nous offre l'un des rares ouvrages sur ce créateur. Tout au long de ce portrait, textes et images nous font découvrir un panorama des édifices et des méthodes de construction de l'architecte colombien, relevant d'une architecture vernaculaire que l'auteur considère comme un "symptôme de l'état du monde et des sociétés qui le peuplent".
Le pragmatisme développé par Simon Vélez pour ses constructions en bambou guadua est typique de toute sa démarche. Il agit de manière analogue, qu'il travaille le béton, d'autres espèces de bois ou l'acier. Il se défend d'ailleurs énergiquement d'être un « bambousero » et s'entend à merveille à distinguer les matériaux en leur assignant les fonctions les plus spécifiquement conformes à leurs performances.
Il a ainsi su persuader ses clients les plus fortunés de se faire bâtir des résidences luxueuses, édifiées dans le matériau utilisé par les simples paysans ! Il a également réussi à convaincre maintes grandes administrations publiques, municipalités ou entreprises soucieuses de leur empreinte environnementale d'adopter le bambou guadua et d'assumer l'image qui lui est liée.
Avec pour seuls outils un cahier Clairefontaine et des crayons de couleur, l'architecte colombien Simon Vélez décline des structures complexes en bambou guadua (« guadua angustifolia »), espèce endémique des vallées colombiennes. Le travail de Simon Vélez, fils d'architecte, est largement déterminé par les conditions du climat tropical - équivalence immuable du jour et de la nuit, absence de saisons, luxuriance et diversité phénoménales de la végétation, y compris dans les altitudes élevées au climat frais.
Chez lui, comme pour les Colombiens, la botanique est une sorte de seconde nature, qu'il manie magistralement dans son travail. En étroite collaboration avec l'ingénieur-constructeur Marcello Villegas, il a imaginé une série d'assemblages de tiges de bambou et développé un savoir-faire à la fois très spécifique et d'une grande précision. Sa mise en oeuvre est exigeante, mais d'un niveau technique suffisamment simple pour qu'il puisse l'appliquer dans des conditions de chantiers forains ne disposant que d'un outillage assez simple.
L'optimisation de cette technologie est à la base de l'organisation de ses chantiers, où il opère à l'aide d'une importante main-d'oeuvre qualifiée. Avec cette monographie illustrée par des photographies de Deidi von Schaewen, Pierre Frey nous offre l'un des rares ouvrages sur ce créateur. Tout au long de ce portrait, textes et images nous font découvrir un panorama des édifices et des méthodes de construction de l'architecte colombien, relevant d'une architecture vernaculaire que l'auteur considère comme un "symptôme de l'état du monde et des sociétés qui le peuplent".
Le pragmatisme développé par Simon Vélez pour ses constructions en bambou guadua est typique de toute sa démarche. Il agit de manière analogue, qu'il travaille le béton, d'autres espèces de bois ou l'acier. Il se défend d'ailleurs énergiquement d'être un « bambousero » et s'entend à merveille à distinguer les matériaux en leur assignant les fonctions les plus spécifiquement conformes à leurs performances.
Il a ainsi su persuader ses clients les plus fortunés de se faire bâtir des résidences luxueuses, édifiées dans le matériau utilisé par les simples paysans ! Il a également réussi à convaincre maintes grandes administrations publiques, municipalités ou entreprises soucieuses de leur empreinte environnementale d'adopter le bambou guadua et d'assumer l'image qui lui est liée.
Chez lui, comme pour les Colombiens, la botanique est une sorte de seconde nature, qu'il manie magistralement dans son travail. En étroite collaboration avec l'ingénieur-constructeur Marcello Villegas, il a imaginé une série d'assemblages de tiges de bambou et développé un savoir-faire à la fois très spécifique et d'une grande précision. Sa mise en oeuvre est exigeante, mais d'un niveau technique suffisamment simple pour qu'il puisse l'appliquer dans des conditions de chantiers forains ne disposant que d'un outillage assez simple.
L'optimisation de cette technologie est à la base de l'organisation de ses chantiers, où il opère à l'aide d'une importante main-d'oeuvre qualifiée. Avec cette monographie illustrée par des photographies de Deidi von Schaewen, Pierre Frey nous offre l'un des rares ouvrages sur ce créateur. Tout au long de ce portrait, textes et images nous font découvrir un panorama des édifices et des méthodes de construction de l'architecte colombien, relevant d'une architecture vernaculaire que l'auteur considère comme un "symptôme de l'état du monde et des sociétés qui le peuplent".
Le pragmatisme développé par Simon Vélez pour ses constructions en bambou guadua est typique de toute sa démarche. Il agit de manière analogue, qu'il travaille le béton, d'autres espèces de bois ou l'acier. Il se défend d'ailleurs énergiquement d'être un « bambousero » et s'entend à merveille à distinguer les matériaux en leur assignant les fonctions les plus spécifiquement conformes à leurs performances.
Il a ainsi su persuader ses clients les plus fortunés de se faire bâtir des résidences luxueuses, édifiées dans le matériau utilisé par les simples paysans ! Il a également réussi à convaincre maintes grandes administrations publiques, municipalités ou entreprises soucieuses de leur empreinte environnementale d'adopter le bambou guadua et d'assumer l'image qui lui est liée.